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    <o:p> RENAULT CLIO Confort Authentique 1.5 dCi 65</o:p>

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    Aujourd’hui est à l’honneur le deuxième véhicule de notre ami Anthony, sa tant désirée Renault Clio, en version dCi power. Let’s go.<o:p></o:p>

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    Arrivée sur nos route en 1998, <st1:personname productid="la Clio" w:st="on">la Clio</st1:personname> 2 aura due attendre plus de 3 ans et un restylage (assez réussit d’ailleurs) pour enfin pouvoir bénéficier des dernières technologie diésel de chez Renault, à savoir le dCi (Diésel à rampe Commune en Injection directe) Le modèle auquel nous avons à faire aujourd’hui constitue en quelque sorte l’entrée de gamme diésel, ou en d’autre terme, l’un des modèles les plus prisé dans la gamme de la muse au losange.<o:p></o:p>

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    Tout d’abord parlons de ce que l’on voit, cette finition confort-expression ne fait pas dans le tape à l’œil, mais plutôt dans l’efficace. Même si sa robe grise platine est assez flatteuse il est important de noter que les rétroviseurs couleur carrosserie et les feux additionnels antibrouillard sont en option, tout comme les jantes alliages… service minimum donc, en ce qui concerne l’aspect extérieur. Fort heureusement notre Clio se rattrape grâce un équipement qui sans être pléthorique, s’avère satisfaisant : ABS et double airbag sont naturellement de série, ajoutez à cela le pack électrique, un lecteur CD et une clim manuelle, vous aurez ainsi de quoi aborder la route avec sérénité.<o:p></o:p>

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    Qu’en est-il au niveau du châssis ? Je n’apprendrai rien à personne en disant que <st1:personname productid="la Clio" w:st="on">la Clio</st1:personname> constitue l’une des référence de sa catégorie en matière de tenue de route (nous n’en n’attendions pas moins d’un constructeur champion du monde de F1…) L’ensemble fait preuve d’une bonne rigidité malgré le surpoids occasionné par une motorisation diésel traditionnellement plus lourde. L’amortissement reste dans les standards de la gamme au losange sachant à la fois se montrer efficace tout en préservant le confort de vos précieux lombaires en filtrant sans le moindre problème, toutes les irrégularités de la chaussée. Attention tout de même aux excès d’optimisme, car si l’ensemble châssis / train roulant se montre très agréable en utilisation normale, il n’est pas du tout adapter à une utilisation intensive ou les qualités citées précédemment deviennent des défauts rédhibitoires. En effet lors de gros appuis et en raison de suspension dites confort, la voiture aura tendance à facilement se camper sur les roues extérieurs entrainant ainsi une prise de roulis, modérée certes mais suffisante pour freiner les ardeurs des plus sportifs… En même temps le sport n’est pas la vocation première de cette Clio qui s’en sort avec les honneurs dans tous les autres domaines.<o:p></o:p>

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    Abordons à présent le nerf de la guerre, le moteur. La gamme dCi offre de multiples déclinaisons avec des cylindrées allant de 1500 à 3500 cm3 (V6 dCi 180 ch sur Espace et Vel Satis) En ce qui concerne <st1:personname productid="la Clio" w:st="on">la Clio</st1:personname> 2, seul le 1,5 est accessible, en 100, 80 ou 65 chevaux c’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui. Alors je vous vois venir, « 65 chevaux dans un moteur diésel ce n’est vraiment pas beaucoup !!! » Et bien pas vraiment… Ce petit bloc moteur fait preuve d’une bonne vitalité notamment à bas régime (merci au turbo) Idéal pour aborder avec assurance la jungle urbaine, il se montre également l’aise sur les autres terrains. Côté performance rien de bien foudroyant, la faible cylindrée n’autorise pas de longue montées en régime si bien qu’il devient inutile de dépasser la barre des 4000 tr/min sous peine de voir rapidement s’essouffler le plus petit des dCi. Cette petitesse de la plage d’utilisation peut notamment d’avérer pénalisante sur autoroute. Attention tout de même, car comme je l’ai déjà dit précédemment, cette Clio n’est pas une sportive aussi, ce dCi 65 saura vous rendre tous les services que vous lui demandez, à condition de ne pas trop être exigeant avec lui.<o:p></o:p>

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    Que peut-on retenir de cette Clio II confort-expression 1,5 dCi 65 ? Et bien que cette version constitue une très bonne entrée en gamme dans l’offre diésel. Sans gros défaut ni grosse qualité, cette Clio se montre à la fois confortable, sure et économique, d’autant que l’ensemble châssis moteur fait preuve d’une bonne polyvalence à condition de se cantonner au registre d’utilisation qui est le sien : aborder la route avec la zen attitude.

     

    NOTE >

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    <o:p>FICHE TECHNIQUE :</o:p>

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     Puissance administrative  4 CV
     Poids  1034 kg
     Cylindrée  1461 cm3
     Puissance maxi  65 ch à 4000 tr/min
     Couple maxi  16,3 mkg à 2000 tr/min
     boite de vitesse  5 râpports
     Pneumatiques  175 / 65 R 14
     Vitesse maximale  165 km/h
     0 à 100 km/h  14,3 secondes
     1000m départ arreté  36,2 secondes

    (année 2003 / prix = 13200 euro)



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    THE LEGEND OF ZELDA :

    OCARINA OF TIME<o:p></o:p>

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    Console : Nintendo 64

    Editeur : Nintendo<o:p></o:p>

    Année : 1998<o:p></o:p>

    Genre : Aventure <o:p></o:p>

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    Attention : Ovni. Les cinq années d’attentes qui ont suivies la sortie du magnifique Link to the past, aurons eu pour effet d’aiguiser telles des lames de rasoirs, les dents des adorateurs de la saga. Autant vous dire donc, que la suite des aventures du petit bonhomme vert se devait d’êtres à la hauteur afin de ne pas être dévorée en un seul coup de mâchoire…

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    Nous sommes en 1998, face au rouleau compresseur Playstation, le succès de la pourtant géniale Nintendo 64 est très mitigée. La firme de Kyoto se devait donc sortir la grosse artillerie : un nouveau Zelda. Plus de sept ans de gestation donnerons enfin le jeu que tout le monde rêvait, le quatrième volet : The Ocarina of Time.

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    Comment dire, acheter un nouveau Zelda c’est un peu comme se gaver de bonbon après plusieurs année d’un sévère régime : on prend son pied tellement c’est bon, mais on a également envie que ça dur longtemps, ça tombe bien car ce Zelda là est à la fois bon et long.

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    Une fois le jeu lancé on s’attend à entendre une fanfare nous claironnant le cultisime thème musical de la série… et bien non, en guise d’intro nous avons droit au bruit des sabots d’un cheval accompagné d’une douce musique à l’ocarina. Il faut reconnaitre qu’à défaut de satisfaire notre égo de Zeldophile, cette première nous met directement dans l’ambiance et nous invite avec délicatesse à débouter une longue, très longue quête à travers les terres d’Hyrule.

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    Le postulat de départ est simple une force maléfique menace d’assombrir le ciel azuréen du royaume Hylien. Nous incarnons un jeune garçon habitant dans le village du peuple de la foret : les Kokiri. Fort des conseils avisés de l’arbre Mojo (grand sage au demeurant) nous devons immédiatement nous mettre en route pour une quête aussi folle qu’incertaine, visant à réunir les trois médaillons qui eux seuls ont le pouvoir de libérer la légendaire et salvatrice épée : Excalibur. Ceci n’est que le début puisque après plusieurs heures de jeu vous aurez la possibilité d’aller et de venir a travers le temps, alternant ainsi entre un Link jeune dans un monde de lumière et un Link adolescent dans un monde de ténèbres… simple mais très efficace.

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    Pourquoi ce Zelda à t’il marqué les esprits ? Tout d’abord c’est le premier à être en full 3D et a ainsi nous proposer un univers immense à explorer à sa guise. Car c’est bien de cela dont il s’agit, ce Zelda 4 est l’un premier jeu à procurer une réelle sensation de liberté en comparaison à des soft jusqu'à lors très voir trop directif.

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    Sur le plan graphique ce titre s’en sort plutôt bien, on peut même dire qu’il a défini certain standard du genre. L’environnement colle parfaitement à l’aventure, foret, montagne, dessert, neige et eau, rien ne manque à l’appel et tout est parfaitement rendu : dieu que c’est beau, on s’y croirait.

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    Que dire des BGM… je pense que le mot somptueuse les définira le mieux. Une fois de plus c’est le génialissime compositeur maison Koji Kondo qui est à la baguette, et une fois de plus il a su réinventer l’univers musical qu’il avait lui-même créé, tout en l’agrémentant de nouveauté marquante qui a leur tour sont devenue récurrente (dans les volets suivants de la série) Du très grand art donc qui d’emblée place le jeu un cran au dessus de la concurrence.

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    Se déplacer librement dans un monde en se laissant charmer les oreilles par de doux son est une chose, le faire facilement en est une autre, parlons donc de jouabilité. Ce n’est pas possible, mais comment font il chez Nintendo pour arriver à sortir des jeux toujours impeccables sous tous rapports ? En effet, autant vous le dire tout de suite, tout comme ses prédécesseur, Ocarina of time est un modèle de gameplay. Les développeurs ne se sont pourtant pas facilité la tache en dotant notre petit Link d’une foultitude de possibilité d’action. Roulade, saut, pas latéraux, attaque en avant, saut de défense en arrière… tout s’exécute avec une grande fluidité. Rajouter à cela les balades à dos de cheval dans la plaine d’Hyrule et la nage au fond du lac Hylia et vous aurez fait un tour d’horizon de ce qu’offre le soft. Cependant il convient d’émettre un tout petit bémol en ce qui concerne la gestion des caméras, 3D temps réelle oblige, il arrive parfois (très rarement) que l’action soit pénalisée par une caméra mal placée (contre un mur ou dans un angle par exemple)

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    Bon ben voilà, tester un Zelda revient souvent à juger de l’excellence et The Ocarina of Time de fait pas exception à la règle. Tout y est présent en puissance 10 : Les graphismes, les musique, la jouabilité, le scénario plein de rebondissement… tout est parfait. Ce quatrième Zelda restera à jamais dans le cœur des amateurs du genre comme celui qui marque le passage de la saga à l’âge adulte. Et oui un Zelda c’est le genre de jeu qui vous suit toute une vie, grandissant  avec vous. Chaque volet apporte une évolution majeur, non seulement dans les habitudes de jeu mais également au monde du jeu vidéo en général… j’en ai la larme à l’œil, arigato gonzaimsu Miyamoto san !!!

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    Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>

    Pour une première en 3D c’est une réussite totale !<o:p></o:p>

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    Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>

    Même des années plus tard on se souvient encore des musiques ! (ah la berceuse de Zelda) idem pour les effets sonores !<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>

    L’équipe de Miyamoto (et d’Aonuma) est au sommet de son art ! Malgré les nombreuses contraintes imposé par la 3D le jeu est très au point techniquement.<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 19 /20<o:p></o:p>

    Vous ne pouvez pas le faire ? Pas d’inquiétude, Link le fait pour vous !<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 19 /20 <o:p></o:p>

    Durée de vie énorme (et quasi infini si vous aimez vous balader a cheval dans la plaine)<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 19 /20<o:p></o:p>

    Link a atteint l’âge de la maturité et ça se sent. Pour la première fois un Zelda nous propose un vrai scénario et accrocheur en plus !<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>

    On reprend toutes les points fort des épisodes précédent et ont les améliore encore : Voila la recette d’un bon Zelda. Ocarina of time nous distille un plaisir permanant et nous offre une réelle sensation de liberté rarement vue jusqu'à lors dans un jeu.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 18.6 /20<o:p>


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    MARIO KART 64<o:p></o:p>

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    Console : Nintendo 64

    Editeur : Nintendo

    Année : 1997

    Genre : Course délirante


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    Sorti en 1992 sur Super NES le premier volet des aventures sur quatre roues de Mario, avait totalement révolutionné le petit monde des consoles, grâce d’une part à un gameplay aux petits oignons et d’autre part à une sacrée dose de fun. 5 ans plus tard, autre console, autre époque, les péripéties mécaniques du plombier trouvaient enfin une suite sur Nintendo 64, je veux bien sur parler du désormais mythique, Mario Kart 64.<o:p></o:p>

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    Welcome to Mario Kart !!! Quel joueur nintendophile n’a jamais ces paroles ? Réponse : aucun !!! Plus qu’une simple suite, MK64 à révolutionné la révolution engendré par son prédécesseur… vous me suivez là ? je m’explique :<o:p></o:p>

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    Un Mario Kart n’est pas un jeu comme les autres pour la simple et bonne raison que le seul mot d’ordre donner aux concepteurs semblent être de donner du fun, du fun et encore du fun. Bien loin de chercher à réaliser des prouesses techniques dans les domaines de l’animation et des graphismes, (les MK sont souvent des jeux moyen dans ces domaines) il faut tout de même reconnaitre que le résultat tape à chaque fois dans le mille. En effet, à quoi servirai d’avoir une Ferrari avec un moteur de super 5 si ce n’est en jeter plein la vue aux joueurs tout en les plongeant dans un profond ennui ? MK64 à fait quant à lui le bon choix, celui de ressembler à une Super 5 avec un moteur de Ferrari dont les douze cylindres sont uniquement dédié a produire du plaisir !!!

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    16 circuits, 4 arènes et 8 personnages jouables, une fois de plus sur le papier, les arguments ne semble pas très convainquant. Rajoutez pourtant à cela de la carapace rouge, verte et violette, des peaux de banane, une étoile et un éclair tombant sur la tronche de Toad, et là, l’ensemble prend déjà plus de tournure. Laissant le choix de s’affronter sur piste ou dans des arènes MK64 prends toute sa valeur en mode multi-joueurs… le rêve absolu, pouvoir se fighter avec trois de ses potes, offrant ainsi des heures et des heures de rire, de cri, de « c’est qui le singe ? » ou de « c’est dégelasse, le CPU triche !!! » (je suis sur que vous l’avait déjà dit hein ?) Enfin tous le monde s’accorde à dire que Mario Kart 64 c’est LE jeu fun par excellence. Pour preuve, quel autre soft peut susciter tant de réactions à <o:p>Cliquez ici</o:p>

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    Au final, Mario Kart 64 joue en hors catégorie. Il réussit son pari de tout miser sur l’amusement du joueur et rien d’autre. Les graphismes ? Balancez une carapace pointue sur Toad et vous n’y ferai plus attention. Les musiques ? Elles sont de toute façon couvertes par vos rires. L’animation ? Du moment qu’il n’y a pas de ralentissement lorsqu’on allume le singe avec trois carapace rouge d’un coup tout va bien. La jouabilité ? On accélère à fond et on serre les fesses lorsqu’une peau de banane se profile en plein virage… Les concepteurs de chez Nintendo ont une fois de plus tout comprit : Une joueur qui rit est un joueur conquit.<o:p></o:p>

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    Graphisme : 15 /20<o:p></o:p>

    Visuel honnête sans être tape à l’œil, la Nintendo 64 peu nettement faire mieux.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 15 /20<o:p></o:p>

    La bande son est sont sans prétentions mais plutôt entrainante. Les effets sonores sont corrects, on identifie bien chaque personnage  (le « I’m the best » lancé par Toad est insupportable !)<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 16 /20<o:p></o:p>

    Niveau réalisation il y a eu mieux chez Nintendo (et bien pire ailleurs). L’animation ne faibli jamais.<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 20 /20<o:p></o:p>

    Tout est fait pour mettre le joueur à l’aise, la prise en main est immédiate et permet de s’amuser dès les premiers tours de roue.<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 20 /20 <o:p></o:p>

    Le plaisir n'a aucune limite, surtout en multi-joueurs avec écran splité en quatre… Délectable.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 14 /20<o:p></o:p>

    C’est un jeu de course donc pas de scénario. En ce qui concerne la mise en scène, on ne peu pas en attendre plus d’un tel type de jeu.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>

    Un genre a lui toit seul, souvent copié mais jamais égalé ! Vous avez dit fun ? Ca tombe bien c'est le deuxième prénom de Mario Kart !<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 17.1 /20



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