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FRAGILE DREAMS<o:p></o:p>
~ FAREWELL RUINS OF THE MOON ~<o:p></o:p>
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Console : Wii<o:p></o:p>
Développeur : Tri Crescendo (Namco)<o:p></o:p>
Editeur : Rising Star Games<o:p></o:p>
Année : 2010<o:p></o:p>
Genre : Aventure / Survival-horror / RPG, poétique.
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Vous n'êtes pas sans le savoir, les RPG sont monnaie courante au Japon. Pourtant, hors mis les super productions, peu sont ceux qui passent le cap de la localisation (traduction) chère a réalisée et donc pas très rentable. De ce fait, nos contrées s'en trouvent ainsi rendue à l'état de pénurie. C'est tragique n'est t'il pas ? Heureusement, les miracles existes et il arrive parfois qu'un éditeur décide de tenter le coup, c'est ainsi que nous arrivent des OVNI videoludique auxquels nous sommes peu habitué. C'est le cas de Fragile Dreams, jeu hybride a mis chemin entre les genres... Voyons voir ca.<o:p></o:p>
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Dans un futur proche, l'espèce humaine a quasiment disparue. La terre est devenue un immense champ de ruines, hantées par d'innombrables fantômes. Libérée de l'emprise humaine, la nature reprend également peu à peu ses droits. Vous incarnez un jeune garçon, Seto, l'un des rares survivants du drame qui a frappé notre planète. Vivant depuis toujours aux côtés de son grand père, sa vie va basculer lorsque ce dernier meurt. Pour seul héritage, Seto obtient une lampe de poche ainsi qu'une lettre posthume lui demandant de partir à la recherche d'autres survivants. Un scénario bien étrange qui n'aura de cesse de s'étoffer tout au long de l'aventure, au gré des rencontres, jusqu'à nous révéler le pourquoi d'une telle situation.<o:p></o:p>
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"Crossover", le mot est à la mode mais désigne parfaitement le genre de Fragile Dream. A la fois jeu d'aventure et d'exploration, il nous offre en plus un petit coté RPG (plus vous gagnez de combat, plus votre personnage devient fort) le tout dans un monde ravagé, peuplé de fantôme, montres ou autre robot malveillant. Vous l'aurez compris, Fragile dream est un mélange de Zelda, Final Fantasy et Resident Evil... Du moins sur le papier, car sa principale originalité réside dans le traitement de la narration. Bénéficiant d'une direction artistique magistrale, ce jeu nous propose des choses peu communes dans un jeu vidéo : Mélancolie, poésie et romantisme ; Ambiance unique.<o:p></o:p>
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Niveau gameplay, Seto est visible de dos et se dirige librement dans les vastes environnements. Ses principales actions sont d'éclairer sa route avec sa lampe torche afin de faire apparaître les mauvais esprits puis de les frapper avec l'une des nombreuses armes dont il dispose. Il en existe quatre types : attaque rapprochée, (bâton, épée) longue portée (lance) à distance (arc) ou destructrice (masse, marteau). Bel arsenal pour un jeune garçon, mais attention tout de même car la durée de vie de vos armes est limitée et aléatoire, entendez par la qu'elles peuvent se casser a n'importe quel moment (trop de stress). La simplicité du gameplay colle plutôt bien à l'ambiance et n'est en aucun cas un défaut. Par contre la principale lacune réside dans les déplacements, plutôt lourd et peu précis. Même si cela ne gène en rien dans les phases de progression et d'exploration, cela devint en revanche bien plus énervant lors des séquences de combat ! Il ne faudra pas vous lancer dans la bataille sans réfléchir et anticiper les mouvements ennemis, sous peine de vous retrouvez pris à centre d'une bastonnade dont vous êtes la victime ! Outre ce petit désagrément, Fragile Dreams a le mérite de faire une très bonne utilisation de la Wiimote en exploitant très souvent son petit haut parleur a des fin utiles.<o:p></o:p>
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L'un des points fort de ce soft est bien sur sa réalisation atypiquement somptueuse. La Wii nous montre qu'elle en a sous le capot et nous offre un rendu graphique excellent. Tous les environnements sont traités de très belle manière, le tout contribuant à donner cette atmosphère unique et très attachante. L'action se déroule dans un univers contemporain très Japonisant (toute les affiches, enseignes, ou inscriptions présentent dans le jeu sont en Nippon, on s'y croirait), cet univers et volontairement salis et délabré pour nous immerger dans des lieux courants tels qu'un hôtel, une gare ou une galerie marchande rendus inquiétant et mystérieux : Un excellent travail artistique, souvent sombre et triste, mais jamais gore et glauque. Cerise sur le gâteau, quelques cinématiques sont réalisées en "dessin animé" (voir la vidéo a la fin), simplement magnifique. Les musiques ne sont pas en reste, toutes sont très douces et viennent contraster avec l'ambiance visuelle sombre. Ce mariage étrange marche à merveille et contribue grandement à donner à Fragile Dream cette saveur si particulière, tout en douceur.<o:p></o:p>
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Même si techniquement le jeu est parfais, a l'instar d'une maniabilité parfois hasardeuse, il souffre de quelques petits détails agaçants. Un inventaire trop petit qui oblige de nombreux aller retour vers les sauvegardes pour stocker les objets glanés au fils des combats. Certains passages sont un peu longs, notamment lors de marches interminables dans des couloires sombre, même si cela renforce le sentiment de solitude et d'éloignement voulut par les développeurs. Enfin la durée de vie, comptez un plus d'une douzaine d'heure pour venir a bout de l'intrigue. C'est dans la moyenne basse dirons nous, d'autant que le rythme de jeu et très lent (trop lent parfois) donnant de ce fait une aventure pépère et plutôt facile. Je tiens tout de même à vous rassurer, ces quelques petits défaut ne doivent en aucuns cas occultés les nombreuses autres qualités de ce titre. Au final vous parviendrai très facilement à surmonter ces "facteurs agaçant". Aucuns jeu n'est parfait n'est ce pas ? <o:p></o:p>
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Ah que c'est bon, lorsque le doux parfum du Japon s'invite ainsi chez nous. Œuvre unique comme on aimerait en voir plus souvent, Fragile Dreams constitue une expérience de jeu unique pour nous pauvre Européen sevrés de telles gourmandise. Intemporel, le jeu se veut profond et aborde des sujets rarement vus sur console, à savoir la solitude, la tristesse et la mort. Pourtant Fragile n'a rien d'un jeu dépressif et se veux au contraire résolument optimiste malgré la noirceur du fond. Remarquable de maitrise, Fragile Dreams est à savourer sans hésitations.<o:p></o:p>
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Graphisme : 19 /20<o:p></o:p>
La Wii réalise un petit miracle, tout est vraiment très joli et la patte artistique magistrale.<o:p></o:p>
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Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>
Ambiance unique et atypique, faite de douceur et de mélancolie. Tous les effets sonores vous plongent à merveille dans l'ambiance sans jamais trop en faire. Petit plus, les voix sont en Japonais, Gambare !<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 19 /20<o:p></o:p>
C'est un sans faute, aucunes lacunes techniques pour une production au top sur tous les points.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 13 /20<o:p></o:p>
Le petit point noir : Un gameplay légèrement répétitif et une maniabilité trop rigide lors des combats.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 14 /20 <o:p></o:p>
Comptez environ douze heures de jeu… c'est le minimum syndical.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 18 /20<o:p></o:p>
Abordant des thèmes peu communs, le scénario est bien ficelé. Qu’on accroche ou pas, il ne laisse pas indifférent. La mise en scène tout en douceur apporte beaucoup et contribue à donner cette saveur si particulière à Fragile dream.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>
Malgré quelque errements, Fragile se laisse agréablement joué et demeure une expérience de jeu peu commune qui se démarque par sa touche artistique unique et très Japonisante.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 17.1 /20
1 commentaire
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-VANQUISH-<o:p></o:p>
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Console : PlayStation 3<o:p></o:p>
Développeur : Platinum Games<o:p></o:p>
Editeur : Sega<o:p></o:p>
Année : 2010<o:p></o:p>
Genre : TPS Frénétique
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C'est un virus qui frappe actuellement le monde du jeu vidéo et aucune console n'y échappe. Bien que la Xbox soit d'ores et déjà trop contaminée pour être sauvée, la PS3 n'est pas en meilleur état... Ce fléau qui ravage la ludothèque de nos chères consoles est communément appelé : "Jeu de shoot" ou "FPS"... c'est simple, il n'y a plus que ca ! Non mais sérieux c'est dramatique. Toujours plus gore (...réaliste pardon...) ces jeux prolifèrent comme de la mauvaise herbes. Vous l'aurez comprit, je n'en suis vraiment pas fan, Pourtant c'est bien de l'un d'entre eux dont nous allons parler aujourd'hui et encore plus surprenant, c'est un jeu que j'ai réellement adoré ! Rassurez vous je n'ai pas craqué sous la pression commerciale, mais Vanquish n'est pas un shoot-game comme les autres. En effet, il n'est pas développé par des "amerloc" mais par des Japonais (cool) de plus, c'est le créateur de Resident Evil, Shinji Mikami, qui est aux commandes (très cool) Hum, cela fleur bon la douce odeur d'un très bon jeu... voyons voir ça.<o:p></o:p>
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Mettons nous dans l'ambiance, l'action de Vanquish se situe dans un avenir pas si lointain et nous propose un remake futuriste de la guerre froide ! Les gentils (les américains) incarnés par le super soldat Sam Gidéon, vont aller devoir botter les fesses des méchants (les Communistes Russes)... Fallait oser, Mikami l'a fait ! Les nostalgiques de ce bon vieux GoldenEye vont enfin pouvoir retrouver leur sensations et dégommer des "putains de coco" (réplique tirée du jeu). Une petite précision tout de même, les soldats ennemis de "l'ordre de l'étoile Russe" sont exclusivement matérialisés par des robots (la moral et sauve). A première vue le scénario parait des plus simpliste, mais ne vous fiez pas aux apparences car de nombreux rebondissements ponctuent l'aventure et les ennemis ne sont peut être pas ceux que l'on croit. La mère patrie Russe pourrait bien en sortir grandie, contrairement a son éternel rival à la bannière étoilée... Hum, c'est délectable.<o:p></o:p>
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Comme tout bon TPS (third personne shooter) nous voyons de dos le personnage que nous dirigeons (personnellement je préfère). Vanquish est un jeu de shoot d'accord, mais c'est avant tout un formidable jeu d'action, ultra rapide et ultra fluide. Les scènes de combat se déroulent à la vitesse grand V sans jamais être brouillonnes. La maniabilité est parfaite, à la fois simple, complète et intuitive, quelque minutes suffirons pour prendre vos marques. L'arsenal dont dispose Sam n'est pas en reste : mitraillettes, grenades, lance missile, fusil a pompe, mais aussi des armes plus exotiques comme le lance disque ou diverse sortes de laser vous permettrons de faire des ravages dans les rangs ennemi (dont l'intelligence artificielle est honorable au demeurant). Ce n'est pas tout, car la principale innovation réside dans l'armure révolutionnaire que porte le héros. L'ARS, armure à réaction surdéveloppée, comme son nom l'indique, lui permet de se mouvoir très rapidement en glissant sur ses genoux, slalomant ainsi au cœur d'une action déjà rapide et ainsi rendue frénétique. C'est une idée très originale et très bien exploitée. On est bien loin de la lourdeur des FPS en général.<o:p></o:p>
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A quoi ça sert d'avoir un jeu ultra fun si la réalisation ne tient pas la route ? Rassurez vous, Vanquish ne tombe pas dans ce travers. Bénéficiant de graphismes très soignés, c'est avant tout l'ambiance et le somptueux environnement futuriste qui saute aux yeux : Une très belle réussite (bon c'est vrai que je suis fan de ce genre d'univers, mais la vraiment c'est très bien réalisé) Les musiques de type "techno-trans-ultra-speed" colles parfaitement a l'action, même si on y fait pas beaucoup attention tant on est immergé et captivé par l'action. La mise en scène n'est pas en reste, aucuns mauvais placements de camera ne viennent perturber le déroulement du jeu, tout a était parfaitement réglé. Il en est de même lors des nombreuses séquences animées qui ponctuent les différents chapitres, Platinum Games a fait du bon boulot et propose un soft léché jusqu'à la pointe des orteils.<o:p></o:p>
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Sur le plan technique, la non plus rien à redire. Malgré l'ultra dynamisme du jeu il n'y a aucuns ralentissements ou autre éléments perturbateur de l'animation. D'autant que le nombre et la taille des éléments affichés à l'écran sont souvent énormes. A la la, pauvre petite PS3, ils ne te ménage pas ces méchant développeur hein. Autre point positif, modérant une installation sur le disque dur de votre monolithe, les temps de chargements sont peu nombreux et plutôt rapide... quant on sait la patience dont il faut faire preuve dans d'autre jeu, il est important de le préciser.<o:p></o:p>
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Attention, c'est maintenant que ca se gatte. Vous l'aurez comprit, Vanquish et un jeu bourré de qualité, néanmoins il a un très gros point faible : Sa durée de vie ! Tenez vous bien, sans vous presser, il vous faudra moins de 4h30 pour en venir a bout !!! ...Depuis toutes ses années, j'ai terminé pas mal de jeux, mais la je crois que c'est un record... 4 heures et 30 misérables minutes de jeu, sans déconner quoi ! C'est vraiment décevant d'autant que l'on en redemande, tant ce jeu est addictif... Et ne comptez pas sur les modes additionnels pour évacuer votre frustration, car hors mis le fait de pouvoir refaire les missions a votre guise une fois le jeu terminé, il n'y a rien d'autre, nada, le désert, le vide quoi ! C'est vraiment rageant. Bon, note positive tout de même, le scénario se termine sur une ouverture possible vers une suite, on croise les doigts et qui sait ? Soyons fou, peut être que Vanquish 2 atteindra les 5 heures de jeu ?... arrr.<o:p></o:p>
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Excellente surprise (qui n'en est pas vraiment une) que ce Vanquish. Outre l'aspect un peu cliché du scénario et des personnages, Mikami nous offre la un très grand spectacle qui n'a pas à pâlir face aux autres blockbusters du genre, bien au contraire. Vanquish se paye même le luxe de faire référence a des titres glorieux comme Metal Gear Solid (Sam a toujours une clope au bec, comme Snake) ou Zone of the Enders (Action rapide, mecha, et musique techno frénétique) La "Japan touch" est palpable et fait merveille, offrant ainsi un jeu différent et singulier sachant se démarquer intelligemment de ses concurrents. Un exemple tout bête, hors mis les dernières scènes, vous ne verrez a l'écran aucunes gouttes de sang (exploit pour un jeu de shoot) La ou les productions "occidentales" sont de plus en plus dégoutantes. (Dead space 2 par exemple... quel honte ce jeu). Ludique avant tout, Vanquish nous prouve que l'on peu s'amuser sans pour autant tomber dans une surenchère de violence, et ça, c'est une qualité énorme n'est t'il pas ? (vous connaissez mon point de vu... voir "Killzone 2") Toujours est t'il que Vanquish et une très belle réussite, une sorte de parenthèse enchantée dans le sombre monde des shoot-games. S'vous plait m'sieur Mikami, on en veut encore, pensez a nous !<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Très réussis ! Le chara et le level design sont bien détaillés et originaux. Les fans de visuels SF seront comblés.<o:p></o:p>
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Musique et son : 17 /20<o:p></o:p>
La bande son ultra speed soutient l'action de fort belle manière. L'ambiance globale et le doublage des personnages (en Français) sont convaincants.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 20 /20<o:p></o:p>
Dynamique, fluide et rapide, sans aucuns doutes le point fort du jeu. Ca sent la super production a gros budget (et a grand talent surtout)<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 18 /20<o:p></o:p>
Maniabilité simple, complète et intuitive, que demande le peuple ?<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 5 /20 <o:p></o:p>
Outch du jamais vu... 4h30 quoi ! Je ne m'en remets pas !<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 15 /20<o:p></o:p>
Rien d'extraordinaire, la cinématique finale ravira les anti-américain et rien que ça, ça vaut un 15 !<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 16 /20<o:p></o:p>
Vanquish offre une approche différente et typiquement Nippone du jeu de shoot. Au final tout se résume en trois mots, Vanquish est addictif !<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 15.6 /20<o:p></o:p>
4 commentaires
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