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Little Big Planet<o:p></o:p>
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Console : Playstation 3<o:p></o:p>
Développeur : Media Molécule MM<o:p></o:p>
Année : 2008<o:p></o:p>
Genre : Plate Forme Créative
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Inutile de vous dire que malgré quelques infidélités, mon cœur est tout acquis a la cause de Nintendo. Ah Nintendo, firme rendue célèbre grâce à un plombier moustachu évoluant de plate forme en plate forme, domaine dans lequel il reste le meilleur… J’en fais trop une nouvelle fois ? Bon je le reconnais, d’autant qu’il n’y a pas que Mario dans la vie, il y a aussi de petit bijoux de créativité (Même pas créés par Nintendo ! si si je vous jure !!) c'est le cas du jeu dont je vais vous parler aujourd’hui : Little Big Planet, LBP pour les intimes.<o:p></o:p>
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Débarqué en grandes pompes sur la puissante PS3 pour officiellement concurrencer les montres que sont les jeux Mario, LBP a eu l’intelligence de ne pas commettre la même erreur que les nombreux autres challengers, qui se sont tous cassé les dents sur la moustache en carbone-kevlar du plombier. A lieu de tenter de copier le best-seller, les gars de MM choisi de proposer leur propre identité et d’imposer de nouvelles références… Pari osé...<o:p></o:p>
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Contrairement au « Charismatique » Mario, vous incarnez un Sackboy. Oui « un » car la particularité de votre héros est que c’est vous qui le créez. Prit comme ça, Sackboy a autant de personnalité qu’une huitre autiste élevée dans une baignoire, mais après l’avoir relookez a votre sauce, au delà d’un simple personnage, il deviendra comme une extension de vous, un amas de pixel a votre image, Super idée ! Puisque ce n’est plus vous qui vous identifiez à un héros, mais le héros qui s’adapte a vous… J’aime.<o:p></o:p>
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LBP est un jeu dépaysant, drôle, décalé et terriblement charmeur. Les possibilités proposées par <st1:personname productid="la PS" w:st="on">la PS</st1:personname>3 y sont pour beaucoup : Dieu que c’est beau ! Le rendu des textures et d’une finesse incroyable, les nombreuses manières sont d’un tel réel, que l’un peu les sentir à l'écran et les toucher du regard. Loin des standards du genre, les personnages que vous croisaient sont tous plus étranges les uns que les autres, ça part dans tous les sens, tout en restant cohérent. L’univers est riche, varié et attachant : Une vrai réussite ! (Même si y'a pas de Goobas... ok je sors)<o:p></o:p>
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Le jeu en lui-même est assez court, mais l’intérêt de LBP ne réside pad dans sont mode solo mais dans sont aspect communautaire ! Grace à un éditeur de niveau digne d’une plate forme de développement, le joueur est libre de créer le monde qu’il souhaite en utilisant les mêmes outils que les développeurs du jeu ! Le mode création n’a aucune limite si ce n’est votre faculté à innover. Mais ce n’est pas tout, une fois votre monde terminé, vous pourrez le mettre en ligne et le faire jouer par les millions d’autres gamers qui en auront fait de même !!! C’est vraiment génial je vous assure. Le résultat est bluffant, si bien que parfois, en testant un niveau original, on se surprend à dire « Mais comment il a fait ! Son niveau est encore mieux que certain vrai niveaux du vrai jeu » … Incroyable, et surtout infini !<o:p></o:p>
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Comme effleurer précédemment, <st1:personname productid="la PS" w:st="on">la PS</st1:personname>3 donne toute sa puissance pour servir un jeu techniquement sans lacune majeure, c’est très beau, les animations tiennent la route, la bande son est originale (il s’agit le plus souvent de morceaux de vrai groupes) Toutefois j’émettrais un seul petit bémol dans ce monde idyllique ; la maniabilité. Loin d’être catastrophique, elle donne cependant parfois une impression de lourdeur, notamment dans les sauts… Agaçant, surtout pour un jeu de plate forme.<o:p></o:p>
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C’est l’heure du bilan, Partant d’une ambition irréalisable : « Créer un jeu de plate forme en 2D pour concurrencer Mario » le moins que l’on puisse dire c’est que Little Big Planet s’en sort avec les honneurs. Proposant tout ce que les autres jeux du genre ne propose pas, il offre une réelle alternative a tous ceux qui en ont marre d’écraser du champignon. La fonction création associée au mode communautaire est une formidable idée qui, je n’en doute pas, va faire des émules. LBP réussit donc son pari… Euh une suite sans aucun défaut c’est pour quant ? … Ah, 2011 ?... Mario a du souci à se faire !<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
C’est chatoyant et coloré, les textures matières sont d’un réalisme saisissant. Hum mes rétines se régalent.<o:p></o:p>
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Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>
L’originalité musicale est au rendez-vous, tout comme le bon gout. Il en va de même pour les bruitages, très variés.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 16 /20<o:p></o:p>
L’ensemble respire le bon boulot ! Et même si c’est un jeu en 2D (donc rien de compliqué) tout marche bien.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 15 /20<o:p></o:p>
Maniabilité façon chewing-gum très agaçante, on a parfois l’impression de diriger un élastique !<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 20 /20 <o:p></o:p>
Ridiculement faible en solo, elle est en revanche infinie en mode création ! Pour peut que vous ayez des idées, vos méninges vont surchauffer pour les réaliser, Great !<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 15 /20<o:p></o:p>
Rien d’extraordinaire au niveau scénaristique, en fait c’est à vous de créer le votre en mode création.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>
De très bonnes idées, dépaysement garantis ! Sur le plan créatif, Little Big Planet est irrésistible, dommage que la maniabilité nuise a l’ensemble.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 17.3 /20
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2 commentaires
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</o:p>SUPER MARIO 64<o:p> </o:p>
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Console : Nintendo 64<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Année : 1996<o:p></o:p>
Genre : Plate forme 3D
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Attention : Choc videoludique en vu ! Au sortir du succès retentissant de <st1:personname productid="la Super NES" w:st="on"><st1:personname productid="la Super" w:st="on">la Super</st1:personname> NES</st1:personname> et a l’orée de l’avènement de <st1:personname productid="la Playstation" w:st="on">la Playstation</st1:personname> première du nom, C’est en l’an de grâce 1996 que la firme de Kyoto lâche sa reine de la 3D, la Nintendo 64… Emotion.<o:p></o:p>
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Incroyable, Alors qu’un ami et moi nous promenions dans la galerie marchande d’un centre commercial, passant par hasard devant un magasin de jouets, mon regard fut soudain attiré par une vision improbable. Me collant a la vitrine, un deuxième coup d’œil vint confirmer que je ne rêvais pas… Elle était la, trônant au milieu de plusieurs jeux, en vente plus d’une semaine avant sa sortie officielle : La Nintendo 64... « Oui oui, elle est en vente, Nintendo France à décider de remercier ses petits revendeurs pendant dix jours, en leur offrant l’exclusivité devant les grandes enseignes… » Nous confirma alors le gérant du magasin, pas peu fière de son privilège. « D’accord j’en prends une et mettais moi Mario 64 avec ! » Lui dis-je alors en n’y croyant toujours pas… Un immense souvenir.<o:p></o:p>
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Ce qu’il faut comprendre c’est que <st1:personname productid="la N" w:st="on">la Nintendo </st1:personname>64 était vraiment attendue depuis des années, et était annoncer comme un monstre de puissance associée a une longue liste d’innovation (dont son extraordinaire manette pour l’époque) Sorti du magasin, console en main, un simple coup d’œil donné a mon ami suffit alors a se comprendre « vite on rentre ! » Oubliant les raisons de notre présence ici, c’est sans perdre une seconde que nous sautâmes dans la voiture afin d’avaler les quelques kilomètres qui nous séparaient de ce moment que nous avions mainte fois rêvé.<o:p></o:p>
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Console déballée, câbles branchés, télé allumée, manette en main… Power… « It’s me Mariooo ! » … Sentiment indescriptible. Quelle claque ! Se dressait à présent nous un Mario tout en trois dimension, évoluant devant le château de la princesse Peach. Quel bonheur de découvrir les joies du stick analogique et son maniement (je sais que ça peut paraître débile aujourd’hui, mais a l’époque c’était vraiment une innovation exceptionnelle) Notre cher plombier répond au doigt et a l’œil, disposant au passage d’une incroyable palette de mouvement. Passant outre l’émerveillement permanant, après plusieurs dizaines de minutes de découverte, je décide enfin de me lancer dans l’aventure…<o:p></o:p>
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Successeur d’un Super Mario World qui avait fait l’unanimité, la version 64 n’innove pas… Au niveau du scénario en tout cas : Devinez quoi ? et oui cette grosse Quiche lorraine de Peach c’est encore fait enlevée pas le gros vilain Bowser… Peach faut qu’on parle la ! Ca fait la cinquième fois que tu te laisse enlevé ! La cinquième !! Fait gaffe merde ! … Passons. Heureusement pour nous, c’est ailleurs que cette version fait la différence, partout ailleurs même.<o:p></o:p>
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Nous permettant de nous déplacer dans des niveaux vastes et variés, M64 offre une réelle sensation de liberté. On se surprend même à se balader sans but, comme ça juste pour le plaisir. Graphiquement, ce soft a imposé les critères d’un genre nouveau. Même si parfois les sprites peuvent paraître grossiers, l’univers de Mario et parfaitement retranscrit et personnifié comme jamais ! On y est les gars, on est au royaume champignon pour de bon ! Niveau musique, la aussi c’est du tout bon (Kôji Kondo oblige) Niveau animation, je vous rappel que c’est le premier jeu full 3D sur console et malgré cela il est resté une référence devant sa nombreuse liste de rivaux qui ne l’on jamais égalé. Parlons de la durée vie : Phénoménale ! Plus de quinze mondes chacuns comprenant six missions et sans compter les quêtes cachées… Il y a de quoi faire !<o:p></o:p>
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Pas la peine de s’étaler à tester un jeu quasi parfait. Au delà de ses qualités, Super Mario <st1:metricconverter productid="64 a" w:st="on">64 a</st1:metricconverter> était une véritable révolution dans la vie de gamer que je suis (et je ne suis pas le seul). Une évolution majeure comparable aux télés passer du noir et blanc a la couleur : Il a marqué le passage du jeu vidéo dans une autre dimension, la troisième ! Plus que jamais, Nintendo ne crée pas des jeux, Nintendo invente des concepts ! Et Mario 64 en est une belle illustration, au milieu de centaines d’autres...<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Pour l'un des tout premiers jeux en full 3D, il s'en sort vraiment pas mal ! <o:p></o:p>
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Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>
De nouveau Kôji Kondo est à la baguette : Magnifique. Tout les bruitages cher a la série sont présents, Here we gooooo !<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
L'ensemble est ultra soigné et ultra cohérent, du Nintendo quoi. Malgré le bond dans l'inconnu avec la 3D, il n'y a quasiment aucuns bug.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 20 /20<o:p></o:p>
C'est un Mario, donc la jouabilité est parfaite. Le nombre d’actions et de combinaisons que peut exécuter le plombier est impressionnant. <o:p></o:p>
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Durée de Vie : 19 /20 <o:p></o:p>
Enorme ! Finir le jeu à 100% en récupérant les 120 étoiles n'est pas donné à tout le monde.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 15 /20<o:p></o:p>
Ben niveau scénar c'est du classique (et le même depuis le premier Mario) Mais tout ça fait parti du genre dirons nous.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>
En passant à la 3D, Mario 64 réinvente les codes du jeu de plate forme : Difficile de rester de marbre devant tant d'innovation, ce jeu constitue un véritable bon en avant vers l’approche moderne des jeux tels que nous les connaissons aujourd’hui.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 18.3 /20<o:p>
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GOLDENEYE 007<o:p></o:p>
Console : Nintendo 64<o:p></o:p>
Développeurs : RARE software<o:p></o:p>
Année : 1997<o:p></o:p>
Genre : FPS
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Même si aujourd’hui cela est (malheureusement) ultra banal, il est une époque ou les FPS (je de tir a la première personne) étaient rares et qui plus est sur les consoles Nintendo. Je me souviens de ce jour de mars ou presque par hasard, le destin me poussa à acheter l’un des meilleurs jeux auquel il m’est était donner de jouer : Goldeneye 007 !<o:p></o:p>
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Les FPS et moi ça fait deux, alors pourquoi avoir craqué ? Sans doute que le fait d’avoir vu le film éponyme m’y a aider, mais sans grande conviction, On verra bien me suis dis-je… Et bien j’ai vu ! Très bien vu même ! Quelle sublime surprise.<o:p></o:p>
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Non mettant direct dans l’ambiance "James Bond" avec la petite musique d’introduction, je découvre avec plaisir que la trame du jeu suis à la lettre celle du film "Hey mais je l’ai vu au ciné ça !" Passé la joie de se sentir a la maison, le jeu en lui-même donne entière satisfaction. Allons au delà du fait de devoir éliminer de nombreux camarade communiste, La prise en main et la maniabilité sont parfaites, permettant ainsi de Fragger de manière optimum… Un régal.<o:p></o:p>
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Tout en 3D, l’aspect un peu carré des sprites ne gène pas tant les musiques et l’action nous plonge dans l’ambiance. On en oubli même les textures parfois "tas de pixels" c’est vous dire ! D’autant que le tout est servi par une animation quasi sans failles… Du bon boulot de la part des studios RARE (les traitres, passés chez Microsoft arg) a la base plutôt spécialisé dans les jeux de plate forme.<o:p></o:p>
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Passé la surprise d’un mode solo aux petits oignons, voila venir le second effet kiss-cool : Le mode multi-joueurs… Oh joie, Oh bonheur intense… Quel pied mes aïeux ! Jouable a quatre en simultané, il nous permet de folle partie entre amis, passée a se courser dans les méandres de level parfaitement adaptés, au gré d’alliances improbables et de trahisons peut glorieuses (fallait pas prendre Boris aussi hein !)<o:p></o:p>
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Je ne vous raconte même pas le nombre de parties faites et d’heures passées avec mes potes sur Goldeneye durant mes soirées étudiantes (Après avoir fait nos devoirs et révisé, bien évidement… Je suis pas crédible ? Ok je sors…) "Basement" + "Pistolet d’or" Tels étaient nos critères de prédilection. Chacun d’entre nous avait son personnage attitré, James, Trevelyan, Ouroumov ou … Natalya (et oui Pat, désolé) et la c’était partie pour de folles soirée à s’en faire tourner la tête (N’est ce pas Lio ? éhéh) A la la, doux souvenir d’une époque révolue… Ca fait vieux combattant de dire ça non ? Peut être, mais nous on fait la guerre… La guerre du plaisir de jouer, grâce à Goldeneye.<o:p></o:p>
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Véritable Cas a part ayant ça place au panthéon des œuvre videoludique marquante, Goldeneye reste le seul et unique FPS auquel j’ai réellement joué. Sans doute qu’il était trop parfait, et que jamais n’ai retrouvé autant de plaisir a jouer a ce genre singulier (et ce n’est pas les production sanguinolentes actuelles, qui vont me faire changer d’avis. Beurk !) Goldeneye a vraiment marqué son époque et laisser une trace indélébile. Il est d’ailleurs encore fréquemment cité comme référence dans des tests actuel et ce près de quinze ans après sa sortie ! Si ça ce n’est pas un bel hommage… « Pour l’Angleterre James ! »<o:p></o:p>
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Graphisme : 16 /20<o:p></o:p>
Ca reste de la Full 3D à la sauce N64… vous voyez ce que je veux dire hein !<o:p></o:p>
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Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>
Toute la bande originale du film est présente et ça c’est cool. Les bruitages sont réussis et servent à merveille l’action.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 16 /20<o:p></o:p>
Pas de soucis majeurs, du bon boulot malgré quelques petits bug inhérents a la 3D<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 19 /20<o:p></o:p>
L’un des points fort du jeu, très accessible à tous. Même les néophytes du jeu vidéo prendront rapidement leurs marques.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 19 /20 <o:p></o:p>
Le mode solo est dans la bonne moyenne, mais le mode multi-joueurs est sans limites !<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>
Le scénario est calqué sur la trame du film, c'est sympa.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>
Un FPS chez Nintendo, c'est une originalité en soit non ? En multi, l'immersion est totale et le fun intégral, quel pied !<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 17.9 /20<o:p>
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</o:p>SUPER SMASH BROS BRAWL<o:p></o:p>
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Console : Nintendo Gamecube et Wii<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo (Hal Laboratory)<o:p></o:p>
Année : 2002 et 2008<o:p></o:p>
Genre : Baston déjantée
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Si comme pour moi, les Tekken, Soulcalibur ou autre Street Fighter vous prennent la tête, mais que vous avait besoin d'un gros défouloir videoludique, La série des Super Smash Bros est faite pour vous. Vous y apprendrez l'art de bastonner et de faire les pires crasses à vos amis, sans qu'ils ne perdent le sourire ! D'autant qu'il y a de grande chance pour qu'ils en redemandent... Que demande le peuple ?<o:p></o:p>
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A l'origine le monde de Nintendo et plutôt tout mignon et non violent, alors quelle drôle d'idée d'en réunir tous les personnages et de les faires se rencontrer dans un jeu de baston ou tous les coup sont permis ? Ca peut paraître étrange en effet mais au final, cela s'avère être une véritable idée de génie.<o:p></o:p>
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Qui n'a jamais rêvé de latter Kirby avec l'excalibur de Link ? Qui n'a jamais fantasmer de voir se battre, telle deux catcheuse, La princesse Peach et la princesse Zelda (A bon c'est un drôle de fantasme ?... bref) Ou de voir Donkey Kong se prendre une attaque tonnerre de Pikachu avant que ce dernier se fasse sortir de l'arène grâce a un coup de langue de Yoshi... Et bien, mes amis je vous le dit, grâce a SSB, vos désirs les plus noirs vont pouvoir se matérialiser.<o:p></o:p>
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Au départ, force est de constater que Nintendo n'a pas une grosse expérience dans le domaine de la baston. Qu'à cela ne tienne, de toute façon les SSB sont un genre a part entière, aux antipodes des références connues de la catégorie. Nintendo innove, et nous sert des soft d'une richesse incroyable. Je pense notamment a SSB-Brawl sur Wii dont le contenu "Fan-service" est colossal, image, trophée, musique, vidéo, démo jouable... Plus qu'un jeu, c'est un véritable paradis pour tout Nintendo-maniac qui se respecte... J'en bave encore.<o:p></o:p>
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Bon faire plaisir aux fans c'est bien beau, mais que vaut le jeu dans tout ça ? Et bien c'est un sans faute technique. Comme on est en droit de l'espérer de chacune des productions de Kyoto, la jouabilité est parfaite et s'adapte aussi bien aux amateurs petit bras, qu'aux hardcore gamers trop musclés. Simple d'apparence, le gameplay est en réalité d'une profondeur semblable au trou de la sécu (ce n'est pas peu dire) permettant un nombre d'action ahurissant pour chacun de très nombreux personnages. Ajoutez a cela un stock énorme de bonus en tout genre, telle que la Pokéball vous permettant d'invoquer aléatoirement un monstre de poche pour vous aider, et la c'est le nirvana "Merde un Magicarpe... Mais ça sert à rien ?!!...Ouch"<o:p></o:p>
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Comme vous l'avez comprit les SSB c'est du tout bon, mais le jeu prend une autre dimension lorsqu'on joue en multi (jusqu'à quatre joueurs en même temps a l'écran... jouissif) Ca vient de tout les cotés, on s'en prend plein la tête, on comprend rien et on redemande encore et encore. Des heures et des heures de rigolade et de bonne humeur ! (N'est ce pas Baviol MDR)<o:p></o:p>
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Plus que de simple soft, les SSB représente tout ce dont un fan de Nintendo peu rêver. Une durée de vie infinie, toutes les grandes musiques des toutes les productions anciennes et récentes y sont présentes, tous les lieux mythiques de l'univers du big N aussi... Trop pour être vrai, pourtant tout est bien réel. Véritable concentré de bonheur, ce jeu est un inépuisable générateur de rire. Sachant que chaque version va encore plus loin que la précédente et que Brawl va au delà de la perfection, Je me demande ce que nous réserve le prochain opus... Qui sait peut être que Mario viendra lui-même nous latter derrière notre télé. Pas grave j'ai mes Pokéball !!! "Merde encore un Magicarpe noooooooooon !"<o:p></o:p>
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Graphisme : 19 /20<o:p></o:p>
Malgré le mélange des genres, tout est ultra cohérent et surtout très beau !<o:p></o:p>
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Musique et son : 20 /20<o:p></o:p>
Véritable médiathèque Nintendo, C'est un délice auditif permanant. Et entendre Mario hurler sur Peach en bastonnant Luigi... Trop bon !<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 19 /20<o:p></o:p>
Même si c'est le bordel a l'écran, tout reste parfaitement fluide. Il n'y a absolument rien qui cloche, tout est optimisé.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 18 /20<o:p></o:p>
Accessible et jouissif pour tous, quelque soit son niveau, vous allez ramasser cher mais aussi beaucoup distribuer !<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 20 /20 <o:p></o:p>
Vous n'aurez pas assez d'une vie pour tout faire.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>
Le mode solo et passionnant, nous offrant des scènes peu probables entre des protagonistes totalement opposés : C’est Extra !<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>
Niveau originalité on peu difficilement faire mieux. Quant au fun… mais SSBB c’est le fun réincarné ! le pied ultime !! La jouissance totale !!!<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 19 /20<o:p>
</o:p> 1 commentaire
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CRISIS CORE - FINAL FANTASY VII -
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Console : Sony Playstation Portable (PSP)<o:p></o:p>
Développeur : Square Enix<o:p></o:p>
Editeur : Ubisoft<o:p></o:p>
Année : 2007 . 2008<o:p></o:p>
Genre : Action RPG<o:p></o:p>
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Que dire ? Crisis Core est un jeu que tout fan de la grande série Final Fantasy et bien sûr plus particulièrement du volet FFVII se doit de posséder. Un scénario entièrement satisfaisant et un gameplay très facile à manier, -malgré les nombreuses répétitions- sont au rendez-vous dans ce jeu incontournable de la Psp. Pour les plus difficiles, le jeu pourrait facilement ne pas plaire : et la effectivement c'est un peu plus délicat. Mais tachez de bien vous concentrer pour capter toutes les petites subtilités que ce jeu nous présente et croyez-moi, vous tomberez bien vite sous son charme.
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10 ans après avoir découvert les aventures de Aerith Cloud Tifa et le reste de la troupe, Square Enix nous propose de découvrir celles de Zack. Soldat de deuxième classe, il a pour mission de ramener Génésis, lui soldat de 1re classe, accompagné de son mentor Angeal et du héros légendaire, Sephiroth.
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Zack, soldat de 2éme classe, est un jeune homme fougueux, courageux, sûr de lui et de ses compétences. Tellement sur, qu'il va supplier sans cesse son mentor, Angeal, de lui donner des missions plus difficiles les unes que les autres, en étant persuadé qu'en un coup d'épée il réussirait. Faut bien avouer qu'il est fortiche, ce petit Zack.
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Le jeu débute par une magnifique cinématique. Pour l'instant, nous n'incarnons personne et nous devons nous contenter de regarder, en essayant de retenir le petit filet de bave qui essaye de s'échapper de notre bouche. Zack, en pleine mission, fait son petit truc, tue les gardes et s'en sort plutôt bien. Le problème, c'est qu'après, c'est pour notre poire : les gardes s'en prennent à nous et pas facilement, pour un premier combat : ils réapparaissent en double lorsqu'on les a tués. Pas facile, me direz-vous. Au bout de quelques minutes de combat acharné, vous pourrez avancer dans le scénario pour tomber nez à nez avec une sorte de chien géant à queue aiguisée, qui sera néanmoins beaucoup plus facile à combattre que les gardes qui l'on précédé. Combat fini, vous aurez l'honneur de rencontrer très brièvement le légendaire Sephiroth, avant de vous apercevoir que tout cela n'était qu'un entraînement et que, au regret de vos petits yeux, la cinématique se termine là.
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Rien qu'avec ce début de scénario, les qualités et défauts de ce jeu sont déjà très claires dans nos esprits. Les graphismes de ce jeu sont absolument magnifiques. Les bâtiments, les rues, les lumières, tout, absolument tout colle à l'image que l'on se fait de Midgar et de la société Shinra. Il y a ce qu'il faut, là où il faut : mon dieu, c'est beau.
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Musique ? Que dire.. Même si, il est vrai qu'en à peine 30 minutes de jeu, les musiques on n'a pas pu en voir de toutes les couleurs, le peu que nos petites oreilles ont pu percevoir nous ont laissé prédire que les prochaines seraient sensationnelles. Des sons en rapport avec toute la lignée des FF (ex: la petite mélodie incontournable de tous les FF -enfin presque tous, maintenant- lorsqu'on gagne le combat) et des musiques nouvelles, qui, je trouve, s'accordent parfaitement avec le jeu, des musiques qui sonnent agréablement bien à nos oreilles et qui ne sont pas du tout " énervante " à écouter.
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Le gameplay ? Très facile à manier. Hormis quelques petits bémols au niveau des esquives durant les combats, qui ne vont pas assez vite je trouve et même après avoir fini le jeu une fois, je vous rassure, mes esquives ne sont toujours pas au point. Non, vraiment rien à dire sur ce point. Enfin..
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S'il devait vraiment y avoir quelque chose de très négatif dans ce jeu, c'est bien l'OCN. ( Onde Cérébrale Numérique. ) L'OCN fonctionne un peu comme un système de roues, qui ne cessent de tourner pendant vos combats. ( Elle se trouve en haut à gauche de votre écran lors du combat ) Elle nous sert à monter de lvl, à avoir une attaque spéciale, à avoir des effets du style Invincibilité, etc. Le problème, c'est que c'est vraiment trop aléatoire. Exemple, pour la montée des lvl, vous aurez beau faire une dizaine de combat à la suite, vous ne prendrez qu'un petit et malheureux lvl, ou même deux, si vous êtes chanceux. Honnêtement, c'est décevant. Pour les attaques spéciales, là on a un peu plus de chance : le problème c'est que, bien évidemment, quand on en a besoin on en a pas et vice versa. Trop aléatoire, trop aléatoire..
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Mais bon, pour en revenir aux qualités, la durée de vie de ce jeu est très grande, si l'on en compte bien évidemment le scénario et les nombreuses missions ( un peu soûlantes à la longue, je vous l'accorde ) qui nous sont proposées dans cet opus de la grande série des FF. Sans compter les materias à chercher, l'équipement à améliorer et tout le tutti !
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Si je devais vous donner quelques petits conseils pour avancer dans ce jeu, c'est bien de sauvegarder régulièrement : les points de sauvegarde sont très rares, et il peut y avoir des moments ou l'on se dit : j'suis un boss j'avance sans sauvegarder c'est facile. Mais croyez-moi, après expérience personnelle, ça ne durera pas..<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
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Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 19 /20<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 16 /20<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 16 /20 <o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 18 /20<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 16 /20<o:p></o:p>
NOTE FINALE : 17.3 /20
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