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    SOULCALIBUR V<o:p></o:p>

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    Console : PS3<o:p></o:p>

    Editeur et développeur : Namco<o:p></o:p>

    Genre : Baston au canif<o:p></o:p>

    Année : 2012


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    Un jeu de baston sur le Nutsu-blog, ce n’est pas fréquent d’autant que je ne suis pas adepte du genre… Pourquoi vous proposer le test de Soulcalibur 5 alors ? Et bien outre l’aspect bourrin du genre, SC5 bénéficie d’arguments qui pourraient bien vous attirer sur le champ de bataille… Voyons voir ca.<o:p></o:p>

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    Graphismes : 17 /20<o:p></o:p>

    L’aspect visuel est dans la bonne moyenne des productions actuelles. Les personnages sont très bien détaillés même si certains ont plus la classe que d’autre. L’ensemble est très homogène et réussi.<o:p></o:p>

    A noter le choix d’illustrer le scénario du mode histoire par des images fixes façon peinture… c’est plutôt joli et ça évite surtout de faire des cinématiques animées, beaucoup plus complexes et longues à réaliser…<o:p></o:p>

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    Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>

    Que peut-on attendre des musiques d’un jeu de baston ? Celles de Soulcalibur 5 sont de bonne qualité mais ne resterons pas dans les mémoires (contrairement a celles de ce bon vieux Street Fighter 2)<o:p></o:p>

    Il en va de même pour les bruitages, a noter qu’il est possible de remplacer les voix Anglaises par les voix originales Japonaises.<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 17 /20<o:p></o:p>

    Soulcalibur 5 bénéficie d’une finition soignée, rien ne cloche sur le plan technique : les animations, parfois éclatantes, passent sans aucuns ralentissement. L’action et les enchainements sont fluides et permettent au joueur de se lâcher sans retenue. D’autant que certain combo sont assez spectaculaires.<o:p></o:p>

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    Maniabilité et Gameplay : 17 /20<o:p></o:p>

    Le gameplay est fidèle aux précédents opus, simple et efficace. Il vous faudra peu de temps pour vous amuser et apprendre les techniques les plus simples. Attention tout de même à ne pas tomber dans la facilité en refaisant toujours la même chose : En effet, maitriser tous les coups et combo vous demandera un temps d’apprentissage supplémentaire. La maniabilité fluide et intuitive conviendra donc aussi bien aux débutants qu’aux professionnels les plus exigeants de la baston virtuelle.<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 16 /20<o:p></o:p>

    Ce qui fait la durée de vie d’un jeu de baston, c’est sa capacité à ne pas vous lasser… Et dans le domaine, Soulcalibur 5 fait des efforts. Même si le mode histoire est plutôt court, vous aurez accès à plusieurs autres modes de jeu (assez similaires) qui viendrons augmenter artificiellement la durée de vie. Le principal argument de longévité, est le mode création, qui vous permet de créer intégralement et avec une grande précision les personnages de vos rêves (50 au total) j’avoue y avoir passé plus de temps qu’a me battre ! A noter aussi le mode online (pas très convivial) qui vous permettra de vous mesurer au monde entier.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 15 /20<o:p></o:p>

    Le scenario du mode histoire est anecdotique, sa mise en scène en image peinte façon artwork est réussie mais donne une impression de fainéantise des développeurs (hors mis la scène d’intro, aucunes cinématiques)<o:p></o:p>

    Soulcalibur 5 se rattrape par sa mise en scène in game, vive, explosive et dynamique qui vous en mettra plein les mirettes… a condition que vous maitrisiez les combos appropriés.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 15 /20<o:p></o:p>

    Soulcalibur a su évoluer et ce 5ème opus est de première qualité. Il ne bouleverse pas les acquis mais se montre attrayant aussi bien pour les fans de la série que pour les nouveaux adeptes. Le mode création est une excellente idée et devrait être généralisé par la suite tant il est réussis. Les combats rapides sont agréables, mais comme tous jeu de baston, mieux vaut jouer contre des amis ou online, car en solo vous aurez vite fait le tour de la question.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 16,1 /20<o:p></o:p>

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    3 commentaires
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    TALES OF GRACES f<o:p></o:p>

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    Console : PS3<o:p></o:p>

    Editeur et développeur : Namco<o:p></o:p>

    Genre : RPG Kawaï<o:p></o:p>

    Année : 2012 (2010 au Japon)


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    Tout le monde connait la série des Final Fantasy, vous avez également déjà entendu parler des Dragon Quest… et bien sachez qu’au japon il y a une troisième License tout aussi célèbre mais malheureusement peut souvent distribuer en France : La saga des Tales of. Pour preuve, nous arrive seulement aujourd’hui le dernier en date pourtant sortis il ya trois an au Japon… Tales of Graces F. Personnellement le seul est unique Tales of auquel j’ai joué était Symphonia sur Game cube, ça date, mais il m’avait laissé un bon souvenir en bon fan de RPG typiquement Japonais que je suis. Voyons voir ce que donne le Ptit nouveau.<o:p></o:p>

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    Tales of Graces nous plonge dans la peau d’Asbel Lhant, jeune garçon intrépide entouré de son frère Hubert et de sa meilleure amie Cheria. Leur vie va basculer avec l’apparition inexpliquée d’une jeune fille étrange et amnésique qu’ils baptiseront Sophie. Rapidement embarqués dans une aventure qui prend racine dans leur enfance pour se poursuivre une fois adulte, leur périple s’effectuera sous fond de guerre opposant trois nations… A moins que tout cela ne soit l’arbre qui cache la forêt ? Rapidement rejoint dans leur aventure par Richard, Malik et Pascale (vous noterez au passage la propension de Namco à donner des noms Français a ses personnages) Tous réaliserons peu a peu toute la force des liens qui les unis, pour le meilleur et aussi pour le pire. Allant d’intrigues en révélation, Asbel et ses camarades ne sont pas au bout de leurs surprises.<o:p></o:p>

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    Tales of Graces (TOG) est donc un RPG. Les combats se jouent en temps réel avec un contrôle total du personnage que vous avez choisit d’incarner parmi six protagonistes (quatre simultanément a l’écran et changeable en cours de combat). Bien que pouvant paraître complexe et un peu brouillon a première vue, le système de combat se révèle très plaisant avec de la pratique. Vif et dynamique il permet de paramétrer en détail le comportement de vos équipiers a l’écran ou de les laisser faire comme bon leur semble : bourrins ou technicien tout le monde y trouvera son compte. Chaque personnage dispose d’un nombre impressionnant de coup physique ou magique dont la puissance dépend de  son aptitude intrinsèque. (si Asbel est polyvalent, Hubert développera plus facilement des attaques physiques tout comme Cheria des actions magiques)<o:p></o:p>

    Le mode d’exp s’articule autour de deux axes : L’exp a proprement dite (qui permet de gagner des niveaux) et le gain de point de compétence (PC) qui vous donnes la possibilité d’apprendre de nouvelles techniques (ou artés) de votre choix. Ce système est très élaboré et permet une approche très fine du développement de vos perso (et dieu sait qu’on aime ca)<o:p></o:p>

    Pour ce qui est du Gameplay hors combat, les déplacements sur le terrain se font en vu de camera fixe, impossible d’avoir une vision a 360° de l’environnement (dommage mais finalement pas handicapant) A noter que les ennemis sont visibles, les pleutres pourrons donc facilement éviter les combats.<o:p></o:p>

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    Sur le plan artistique, TOG est à la base un jeu développé sur Wii, cette version PS3 n’est donc qu’un simple portage… et ca se ressent. Rassurez vous, le passage a la HD et plutôt réussit, fidèle a la série, le visuel très Kawaï (mignon) est d’inspiration manga… On sent juste que la PS3 est loin d’être a 100%. Ainsi les environnements paraissent parfois un peu vide et l’expression des personnages un peu figée. <o:p></o:p>

    L’histoire est agrémentée de nombreuses cut-scènes façon manga, ou les protagonistes discute entre eux comme pourrait le faire un groupe d’ami, sympa et immersif mais parfois un peu lent, cassant un rythme déjà peu élever. Certaine cinématiques correspondant a des moments clé du scénario sont elles intégralement réalisées tel un animé, c’est somptueux mais malheureusement trop peu fréquent. <o:p></o:p>

    Niveau sonore l’ambiance générale est bonne, les musiques de fond sont de qualité mais ne resteront pas dans les anales (un cran en dessous des ce que l’on peu entendre dans un Dragon Quest par exemple) Tous les textes a l’écran sont en Français mais les voix elles sont… Anglaises et il n’est pas possible de mettre les voix Japonaises Grrrrr… c’est agaçant !<o:p></o:p>

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    Comme évoqué plus haut, TOG est d’abord sorti sur Wii (en 2009) Outre l’aspect graphique, cela se ressent aussi sur le plan technique. Si le jeu devait être au top de ce que pouvait donner une Wii, il n’en est pas de même concernant la PS3. Même si l’ensemble est très homogène on sent par moment une impression de manque, comme si il y avait de la place pour en faire plus et aller plus loin, mais que cela n’a pas était fait. Je suis peut être trop  tatillons d’autant que cela ne pénalise en rien l’intérêt du jeu d’autant que la version PS3 dispose de contenu supplémentaire et exclusifs, d’où le F a la fin du titre. (A la la, maudit RPGistes exigent que nous sommes devenus !) A noter un bon point (peut être hérité du développement Wii), les temps de chargement sont ultra court ! Et c’est loin d’être toujours le cas sur PS3.<o:p></o:p>

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    Comme chaque nouveau jeu, TOG essaye de se différencier en amenant son lot de nouveautés et de bonnes idées. Outre le système de combat plaisant et dynamique, le ptit dernier Tales of offre une profondeur de jeu excellente ; Entendez par la que les fans d’exp et de développement d’arme et objet ne seront pas déçus. En effet, le nombre de talent attribués à chaque personnage est tellement grand qu’il vous sera quasi impossible de tous les terminer. Concernant les armes et équipements, la aussi c’est du lourd, grâce a un ingénieux système il est possible de synthétiser a l’infini les objets entre eux afin d’en créer des nouveaux, si bien qu’on en aurait presque du mal à s’y retrouver… On ne va pas s’en plaindre, au contraire ! <o:p></o:p>

    Autre belle surprise ; L’énorme durée de vie ! Outre une histoire principale longue, il vous sera possible de réaliser bon nombre de quête annexe. Cela ne vous suffit pas ? Qu’a cela ne tienne, TOG vous propose de continuer après la fin du jeu… oui oui ! Une fois le jeu fini, vous pourrez vous relancer dans une nouvelle aventure mettant en scène les personnages quelque mois plus tard, c’est bon ca.<o:p></o:p>

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    Sans défauts majeurs, il n’en ressort pas moins quelques petits coté agaçants. Je ne reviendrai pas sur le plan technique pour m’arrêter plutôt sur l’impression lente et mollassonne que donne le jeu par moment. Attendez vous a beaucoup de blabla, trop même, ajoutez a cela une mise en scène plate et vous aurez envi d’appuyer sur la touche avance rapide de votre télécommande. <o:p></o:p>

    Si cela n’affecte en rien  les qualités du jeu, ce n’est pas le cas du sentiment de confusion que peuvent donner certains combats : Après plus de 100 heures de jeu, je ne me souviens pas avoir utilisé un autre personnage que le Héros, la faute a un dictaticiel mal fait… en gros il vous faudra apprendre tout seul il y a trop d’info à assimiler d’un coup au début. Dommage et pas assez progressif. Du coup on risque de passer à coter de l’essentiel et de ne pas comprendre toutes les possibilités d’un gameplay pourtant très élaboré. (Si quelqu’un peu m’expliquer la différence entre artés A et E et comment gérer certaine magie, merci de me dire…) <o:p></o:p>

    Enfin, notez qu’il est quasiment impossible de développer ses personnages au max de leurs aptitudes, non seulement elles sont très nombreuse mais en plus elles se débloquent de manière aléatoire… Ce qui est une qualité peut aussi devenir un défaut.<o:p></o:p>

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    Loin de révolutionner le genre, ce dernier Tales of se veut avant tout classique et fidèle a ses ainés. Et finalement ce n’est pas plus mal ! Digne représentant du RPG purement Japonais TOG est bourré de qualité et s’avère très plaisant a jouer quelque soit votre niveau. Même si il donne parfois l’impression de manquer de contenance, Tales of Graces ne manque pas vraiment pas de contenus et finalement c’est ce qu’on aime dans un RPG. Ne vous fiez donc pas aux apparences lisses et plate que peut refléter a tord ce jeu, car derrière se cache une profondeur rare de nos jours. Ajoutez a cela un univers aboutis et des personnages attachant évoluant dans un scénario maitrisé, et vous obtenez un soft a coter duquel vous auriez tord de passer ! Les Tales of importés en France sont rares, alors ne boudons pas notre plaisir mes amis !<o:p></o:p>

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    Graphismes : 15 /20<o:p></o:p>

    L’ensemble très Kawaï est réussis… pour une Wii. Il manque juste un peu de lustre pour en faire un chef d’œuvre visuel.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>

    Dans la bonne moyenne, Sans être grandioses les musiques sont de qualité, tous comme l’environnement sonore… Mais une fois encore on doit se taper les voix Anglaises !<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 16 /20<o:p></o:p>

    On ne peu pas dire que la PS3 soit bousculée, tout marche a la perfection mais il faut reconnaitre qu’il n’y a rien d’étincelant non plus ! Service minimum sur le plan technique donc, mais largement rattrapé par un contenu et une profondeur de jeu de haute volée.<o:p></o:p>

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    Maniabilité et Gameplay : 17 /20<o:p></o:p>

    Système de combat dynamique qui s’avère simple pour les nooby et pouvant être très complexe pour les experts… que demande le peuple ?<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 19 /20<o:p></o:p>

    J’en suis a 120 heures de jeu (comptez en au moins 50 pour le finir en ligne droite), certes je suis un adepte du farming, mais entre la quête principale et les nombreuses quêtes annexes, vous en aurez pour votre argent.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>

    Le scénario en lui-même n’est pas mauvais et repose en grande partie sur la psychologie et les relations entre les personnages, c’est plutôt bien fait mais au prix de longues phases de blabla qui alourdissent le rythme général.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 17 /20<o:p></o:p>

    Contrairement a d’autre licences, les Tales of n’on pas fait leur révolution et finalement on ne s’en plaint pas. Pas très original mais surtout pas has been, l’ensemble se révèle être diablement efficace et agréable a jouer. Un peu de old-school-Kawaï, ça ne fait pas de mal en cette période de crise !<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 16,7 /20



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    Renault TWIZY urban<o:p></o:p>

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    Il y a un début a tout, puisque le pétrole n’est pas éternel il fallait bien que ca arrive un jour… C’est maintenant chose faite… Je roule a l’électrique ! En pleine mode de l’Hybride (combinaison du moteur thermique + électrique) rare sont les constructeurs à avoir fait le choix du 100% électrique. C’est pourtant le cas de Renault, qui au travers de sa gamme Z.E. (Zéro Emission de CO²) propose un choix complet de véhicule allant de la berline 4 portes (Fluence Z.E.) a l’utilitaire (Kangoo Z.E.) et le modèle qui nous intéresse aujourd’hui, la solution de mobilité urbaine écolo made in Renault : La Twizy ! Préparez vous à découvrir un ORNI, qui, quoi que vous en pensiez, ne vous laissera pas indifférent.<o:p></o:p>

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    Présentation générale et technique<o:p></o:p>

    Que les choses soient claires, Twizy n’est pas une voiture, c’est un quadricycle motorisé. Oubliez donc toutes vos références. Scooter a 4 roues ? Quad a toit ? Peut importe, Twizy est un concept nouveau et unique. <o:p></o:p>

    Partant d’une architecture ultra simple, l’accent est donné sur le coter pratique, fonctionnel et… économique. Châssis compact sans porte a faux et carrosserie 100% plastique, Twizy pourrait paraître un peu cheap, mais il n’en ai rien et dispose même d’une bouille très accrocheuse.<o:p></o:p>

    Niveau moteur, l’ensemble est donc propulsé par une bobine électrique asynchrone… ca vous dis rien ? A moi non plus ! Toujours est t’il qu’il développe 17 chevaux et que cela suffit amplement à déplacer dynamiquement les <st1:metricconverter productid="473 kg" w:st="on">473 kg</st1:metricconverter> de l’engin. La boite a vitesse a 1 rapport est automatique est vous emmène sans broncher jusqu'à la vitesse (bridée) de <st1:metricconverter productid="80 km/h" w:st="on">80 km/h</st1:metricconverter>.<o:p></o:p>

    Sur le papier, Twizy dispose de prédisposition technique digne d’une super sportive, puisque le moteur est disposé en position centrale arrière. Les (lourdes) batteries sont quant a elles situées au centre du véhicule, sous le siège conducteur : La répartition des masses est donc parfaite.<o:p></o:p>

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    Sur la route<o:p></o:p>

    Tout cela se confirme sur la route, faisant preuve d’une rigidité remarquable, Twizy est littéralement collé a la route, la direction précise et très directe donne même l’impression de conduite une sorte de gros kart… Pas étonnant lorsqu’on sait que le développement du châssis a était confier a Renault Sport. Attention tout de même, si Twizy est un véritable régale sur route lisse, il s’avère rapidement très inconfortable sur chaussée déformée, la faute à un amortissement très dur qui ne fait aucune concession à vos lombaires.<o:p></o:p>

    Notez également que Twizy ne dispose d’aucune assistance électrique : pas de direction assistée (ce qui n’est absolument pas gênant vu le poids du véhicule) mais également pas d’assistance de freinage… La pédale de frein est donc très dure au touché et il ne vous faudra pas hésiter a bien l’écraser pour bénéficier de toute la puissance de freinage, simple question d’habitude (a noter qu’il n’y a bien sur pas d’ABS)<o:p></o:p>

    Niveau moteur, c’est la découverte totale. Contrairement a son cousin thermique, le moteur électrique donne sa puissance de manière immédiate et sans aucune inertie. Pas besoin de monter dans les tours, la puissance est disponible de manière constante dès que vous enfoncez la pédale. Cette agréable particularité donne un sacré dynamisme a l’engin d’autant qu’en roulant les reprises sont elle aussi assez vigoureuses.<o:p></o:p>

    Sans non plus être un avion de chasse, conduire Twizy est une vraie partie de plaisir, la prise en main est immédiate et procure un plaisir de conduite simple qu’on avait fini par oublier avec nos voitures actuelle ultra aseptisée.<o:p></o:p>

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    Vie a bord<o:p></o:p>

    Twizy est une solution de déplacement individuelle… mais pas que ! En effet, une deuxième place très logeable est disponible juste derrière le siège conducteur et vous permettra de vous déplacer a deux confortablement.<o:p></o:p>

    L’habitacle se contente d’aller à l’essentiel. Un siège, un volant et deux pédales. Rassurez vous, la sécurité n’a pas était sacrifiée sur l’autel de l’économie. Twizy dispose d’une double ceinture de sécurité a l’avant et a l’arrière, mais également d’un essuie glace, de deux grands rétroviseurs efficaces et surtout d’un airbag !<o:p></o:p>

    Au centre du tableau de bord, trône un mini écran par lequel passent toutes les informations dont vous avez besoin : Vitesse, niveau de charge de la batterie, autonomie kilométrique restante, et compteur kilométrique journalier. Egalement disponible, un économètre qui vous indique en temps réel si votre conduite est gourmande en énergie ou non ; Plutôt pratique quant on sait que notre mode de conduite influe fortement sur l’autonomie réelle d’un véhicule électrique (nous y reviendrons)<o:p></o:p>

    Niveau confort, le siège se révèle un peu dur mais Twizy se rattrape en nous proposant deux grandes boites à gant assez pratique (dont une verouillable a clé)<o:p></o:p>

    En revanche, déception concernant la finition et la qualité des matériaux. Certes, Même si tout est fait pour résister aux intempéries, les plastiques intérieurs ont un aspect bas de gamme et paraissent très sensible aux rayures ou autre marques… A voir comment cela va de comporter dans le temps mais leur durée de vie ne semble pas être très grande… Dommage !<o:p></o:p>

    Autre bémol concernant la protection vis-à-vis de l’extérieur : Twizy est très agréable l’été mais quant sera-t-il cet hiver ? Les portes protègent efficacement des remontées d’eau en cas de pluie mais en cas de grosse averse, préparée vous a mouiller la chemise. Un équipement similaire à celui d’un motard est donc a prévoir en cas d’utilisation dans des conditions extrêmes.<o:p></o:p>

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    Budget<o:p></o:p>

    Evidement, vous ne verrez jamais un Twizy à la pompe et pour cause il est 100% électrique. Pour recharger entièrement la batterie il vous en coutera moins de 0,50 euro ! Ca fait rêver hein ? Surtout lorsqu’on sait que le litre d’essence oscille autour de 1,50 euro… Faites le calcul et vous verrez rapidement les économies permises.<o:p></o:p>

    Le prix d’achat se situe dans la fourchette haute des gros scooters 250cc de luxe, mais la ou Twizy fait la différence c’est au niveau du cout d’entretient. Pas de vidange, pas de courroie, pas de bougies : Les seules pièces d’usures sont les pneus, les freins et les amortisseurs… et c’est tout ! La aussi les économies par rapport a un véhicule thermique sont énorme.<o:p></o:p>

    En contre partie, il vous faudra débourser 50 euro de location de batterie par mois. En effet, la batterie à elle seule coute 4000 euro ! Plutôt que de la faire payer a ses clients (et de se retrouver avec un Twizy a 12500 euro !!!) Renault a opté pour cette solution judicieuse. Cette location de 50 euro par mois inclus aussi un remplacement gratuit de la batterie en cas de panne ou d’usure, un dépannage 24h/24 gratuit en cas de panne d’énergie, des tarifs préférentiels sur la location d’une voiture thermique pour vos départs en vacance et bien d’autres avantages.<o:p></o:p>

    Sachant que sur Twizy les frais d’entretiens et le cout de rechargement sont quasi nul, a vous de calculer a combien vous reviens (tout comprit) votre voiture par mois… Surement bien plus que 50 euro ! En gros avec ce véhicule électrique, plus vous roulez plus c’est rentable !<o:p></o:p>

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    Bilan<o:p></o:p>

    Que retenir de ce surprenant Twizy ? Fun et attractif, bénéficiant d’un design avantageux et d’une conduite ludique, on se laisse facilement séduire par son incroyable homogénéité. D’autant que la machine sait flatter notre porte monnaie, quel plaisir de ne plus avoir à aller a la pompe et de ne plus  voir s’envoler nos euros en même temps que notre réservoir se vide ! <o:p></o:p>

    Twizy sait également se montrer pratique, il est possible de le recharger sur m’importe quelle prise électrique de votre maison en seulement 3h (pour une charge complète) La vitesse bridée a <st1:metricconverter productid="80 km/h" w:st="on">80 km/h</st1:metricconverter> n’est pas une contrainte et permet de rouler sereinement sur route nationale… Sans risque de se faire flasher.<o:p></o:p>

    Le tableau n’est pourtant pas tout rose, même si l’autonomie annoncée par Renault est de 100 à <st1:metricconverter productid="120 km" w:st="on">120 km</st1:metricconverter>, dans les faits et en condition normal d’usage, Twizy ne Pourrat pas beaucoup faire plus de <st1:metricconverter productid="80 km" w:st="on">80 km</st1:metricconverter> (selon le relief de la route, votre vitesse et votre façon de conduire) mais finalement, faites vous souvent plus de <st1:metricconverter productid="80 km" w:st="on">80 km</st1:metricconverter> par jour ?<o:p></o:p>

    A noter que Twizy n’est pas soumis au control technique puisque c’est un Quadricycle… cool ! Mais du coup vous n’aurez pas le droit à la prime écologique gouvernementale réservée aux voitures … Pas cool ! (c’est d’ailleurs ridicule…bref)<o:p></o:p>

    Au final, qu’on adhère au concept ou pas, les faits sont la et Twizy nous offre une vison nouvelle des déplacement motorisé. Certes il y a des contraintes mais également de nombreux avantages, a vous de voir… Ce qui est sur c’est que cet Objet roulant non identifié et un concept avant-gardiste qui préfigure notre futur paysage automobile. Tôt ou tard vous y viendrai, alors n’attendez pas et adoptez l’éco-conduite !<o:p></o:p>

     

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    <o:p>NOTE : </o:p>

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    Caractéristiques Tecniques :

    Puissance administrative 2 CV
    Poids 473 kg
    Cylindrée -
    Puissance réelle 17 ch
    Boite à vitesse automatique  (1 rapport)
    Pneus av : 125 / 80 R13      ar : 145 / 80 R13
    Vitesse maxi 80 km/h (bridée)
    0 à 45 km/h 6,1 secondes
    50m départ arrété 6,6 secondes

    (Prix en 2012 : 8490 €)


     Le twizy en 3D :


     


    3 commentaires
  • SAINT SEIYA<o:p></o:p>

    ~ La bataille du sanctuaire ~<o:p></o:p>

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    Console : PS3<o:p></o:p>

    Développeur : Dimps<o:p></o:p>

    Editeur : Bandai<o:p></o:p>

    Genre : Beat Them All<o:p></o:p>

    Année : 2012


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    Aller on y croit ! Depuis le premier jeu Saint Seiya sur NES, nous avons eu droit à pas mal de daubes. A Croire que plus une License est populaire, plus les adaptations son nases… Saint Seiya est donc ultra populaire ! Bon arrêtons d’être mauvaise langues et accueillons avec espoir cette nouvelle version HD de nos héros favoris… Avec la puissance de la PS3, le tout augure de bonnes choses. Laissons bruler notre cosmos et voyons voir ca.<o:p></o:p>

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    Graphismes : 12 /20<o:p></o:p>

    Bon, sans être moche, ils ne sont pas non plus extraordinaire et font penser a de la PS2 amélioré. Les armures ne sont pas mises en valeurs et ça ce n’est pas cool pour les fans que nous sommes. Les environnements sont eux non plus pas très fin et qui plus ai ultra répétitif.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 13 /20<o:p></o:p>

    Hors mis les voix Japonaises des personnages plutôt bien rendues, a part deux ou trois morceaux, nous avons droit a des remix des musiques originales… Très décevant et surtout pas a la hauteur des musiques de maitre Seiji Yokoyama qui avaient grandement contribuées au succès du dessin animé.<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 12 /20<o:p></o:p>

    La encore c’est le service minimum, cette version plutôt paresseuse donne l’impression d’être un simple portage HD des précédentes versions sorties sur PS2 ! Même si il n’y a aucuns bug (heureusement d’ailleurs) rien de transcendant, loin de la.<o:p></o:p>

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    Maniabilité et Gameplay : 12 /20<o:p></o:p>

    La maniabilité est bonne et les coups (trop peu nombreux) sont faciles à réaliser. Pourtant l’ensemble est ultra répétitif, attendez vous a faire et a refaire les mêmes actions des dizaines, voir des centaines de fois ! Ce jeu souffre d’un cruel manque de profondeur en la matière : Hardcore gamer, passez votre chemin.<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 7 /20<o:p></o:p>

    Ridiculement faible, en une après midi le mode histoire est bouclé. Les plus courageux pourrons ensuite effectuer des missions spéciales et s’amuser a débloqueer tout les goodies… Mais tout cela reste anecdotique, d’autant qu’il n’y a même pas de mode versus arrrrrrrrrrr<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 9 /20<o:p></o:p>

    Scandale ! Les développeurs se sont permis des libertés scénaristiques complètements absurdes ! L’apparition des chevaliers noir au milieu du sanctuaire passe encore, mais en avoir fait plusieurs du même signe et avoir inventé une Shaina et une Marine noir… Les fans crieront au massacre. Niveau mise en scène, la aussi c’est médiocre et jamais a la hauteur de la qualité de l’animé !<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 12 /20<o:p></o:p>

    Un beat them all bien bourrin et bien basique style années 90 en 2012, c’est original non ? (je pleurs en silence la) L’ensemble est tellement médiocre que même le plaisir de manier nos petits chevaliers de bronze ne suffit pas a masquer l’énorme déception.<o:p></o:p>

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    Une nouvelle fois c’est la désillusion ! La malédiction des jeux estampillés Saint Seiya continue !!! Comment se fait t’il que l’un de plus grand manga de tous les temps soit aussi mal représenté en termes vidéoludique ? Peut être que le très grand nombre de fan garantis de large bénéfice quoi qu’il arrive… Sans doute même. Quant on voit la qualité des Dragonball Z Budokai c’est d’autant plus rageant de voir le potentiel de nos chers chevaliers ainsi gâché. Force est de constater que les développeurs sont encore bien loin du septième sens ! Je ne conseillerais même pas ce jeu aux fans.<o:p></o:p>

    NOTE FINALE : 11 /20


     

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