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    UNCHARTED 3<o:p></o:p>

    L’illusion de Drake<o:p></o:p>

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    Console : PS3<o:p></o:p>

    Développeur : Naughty Dog<o:p></o:p>

    Editeur : Sony<o:p></o:p>

    Genre : Indiana Croft<o:p></o:p>

    Année : 2011


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    Une fois n’est pas coutume, nous allons parler aujourd’hui d’un blockbuster, vous savez, ce genre de super production avec des moyens énormes, qui a eux seules font vendre des consoles a la pelle… Voila donc Uncharted 3ème du nom ! Je vous avoue que je suis complètement passé à coter des deux premiers épisodes de la série, je ne pourrais donc pas faire de comparaison. Qu’à cela ne tienne, de toute façon au vu de la qualité de ce troisième volume, je vois mal quel autre jeu pourrait lui tenir la dragée haute…<o:p></o:p>

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    Uncharted c’est un peu le Tomb Rider du 21ème siècle : Vous incarnez Nathan Drake, Un homme au demeurant charmant, dont l’activité principale est la chasse aux trésors. Cela offre de nombreuses possibilités et ça tombe bien puisque ce soft nous en offre une multitude. L’action repose sur trois phases de jeu alternées : L’exploration (souvent très acrobatique), La résolution d’énigmes et les combats… Oui combat, car même si Nathan cherche des trésors oubliés, il y a toujours quelqu’un qui a eu la même idée que lui. C’est ballot ça.<o:p></o:p>

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    Niveau gameplay, le moins que l’on puisse dire c’est que Nathan est un polyvalent. Lors des phases d’explorations vous devez escalader et franchir des obstacles toujours plus imposants : Une chose est sur, si Nathan en a marre de la chasse au trésor, il pourra sans problèmes se faire embaucher au cirque de Pékin. Sans êtres très compliquées, les énigmes que vous aurez à résoudre auront le mérite de vous faire réfléchir deux minutes et alternent a merveille avec les scènes d’action. Au delà des ces phases classiques, Uncharted propose quelques scènes au gameplay original, ainsi vous devrez nager, fuir et même chevaucher un cheval… Tout un programme.<o:p></o:p>

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    Les phases de combat son très nombreuses et vraiment bien faites. L’arsenal dont vous disposez et riche, aussi vous ne tomberez jamais dans la routine lorsqu’il s’agira de dégommer un vilain. Ce troisième opus propose également des combats a mains nues plus élaborés, reposant sur une sorte de QTE (Quick time events, pour les nooby) Très intéressant, surtout lorsque vous êtes a cours de munitions. Notez que dans certains cas il est possible d’esquiver les combats en adoptant la stratégie furtive, évitant ainsi une fusillade tragique. (Les Snake en herbe seront comblés)<o:p></o:p>

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    Lorsqu’on découvre Uncharted, nous sommes immédiatement frappés par la richesse et la finesse graphique ! Les environnements aussi bien urbains que naturels sont réellement somptueux et criant de réalisme. L’immersion est totale, Les décors sont tellement beaux que vous vous arrêterez forcement pour les admirer ! (Sinon c’est que vous n’êtes pas humains) La profondeur d’affichage est elle aussi exceptionnelle et vous offre des environnements grandiose a perte de vue. Une chose est sur, les développeurs ont fait honneurs aux capacités de la PS3 !<o:p></o:p>

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    A l’instar de Metal Gear Solid 4, Uncharted repose sur un scénario convainquant, magnifié par une mise en scène cinématographique ! De ce point de vu la, la réalisation est majestueuse et contribue encore un peu plus a une immersion déjà très forte. Chaque mini chapitre du jeu est ponctué d’une cinématique très réussies. Ajoutez à cela un doublage en Français de très grande qualité et vous obtenez ce qui se fait de mieux en matière de mise en scène et de narration. Uncharted donne parfois l’impression d’être un film d’aventure jouable et nous embarque dans un rythme effréné en enchainant des scènes toujours plus spectaculaire les une que les autres… Le passage sur le bateau de croisière est d’anthologie !<o:p></o:p>

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    Passons aux choses qui fâchent : Même la plus belles des créations a forcement des défauts. Dans le cas d’Uncharted 3, parlons plutôt de désagréments. Tout d’abord, lors des phases de tir, Nathan est un peu raide, cela peut se révéler gênant lorsque l’ennemi est trop proche de vous et que vous devez agir dans l’urgence. Autre reproche lui aussi lié aux combats : Leur fréquence ! A certains (rares) moments du jeu, vous devrez enchainer phase de shoot sur phase de shoot : Le gameplay devient alors redondant et on a hâte d’en finir. Enfin dernier défauts et non des moindres, la durée de vie. Comptez une dizaine d’heures seulement ; C’est trop peu, d’autant qu’on en redemande ! (un mode multi online est tout de même disponible pour ceux qui souhaites prolonger l’aventure) <o:p></o:p>

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    En définitive, il est difficile de ne pas tomber sous le charme d’Uncharted 3. Tous les ingrédients du succès sont la et le moins que l’on puisse dire c’est que le travail a était bien fait ! Techniquement au très dessus de la moyenne, narrativement parfait, ce jeu procure tellement de plaisir qu’on lui passe volontiers tous ses petits défauts et ce, même si je jeu se fini en un week end. (Quant même ! ils auraient put faire un effort arg !) Toujours est t’il que si vous aimez voir du pays, tout en pillant les ressources locale et en tuant ceux qui vous suivent, n’hésitez pas, Uncharted est fait pour vous ! Pour ma part c’est un véritable coup de cœur, si bien que j’ai acheté les deux premiers épisodes… Ben oui quoi, pourquoi se priver d’un tel plaisir en ces temps de crise ? Éhéh (Rire satisfait)<o:p></o:p>

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    Graphisme : 20 /20<o:p></o:p>

    Sublime ! La PS3 nous sort le grand jeu, Uncharted et sans doute ce qui se fait de mieux a l’heure actuelle. Chaque nouveau lieu découvert est un régal pour les yeux. Attention à l’orgasme oculaire.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>

    Musiques et effets sonores sont de bonne qualité. Mais ce qui change tout, c’est l’excellence du doublage en Français. Beaucoup d’autres productions devraient s’en inspirer.<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 20 /20<o:p></o:p>

    Au vu de ce que nous propose Uncharted, la technique est parfaite ! On se demande même comment ca tient. Aucuns bugs à déplorer. Les mouvements de caméra sont parfaits.<o:p></o:p>

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    Jouabilité / Gameplay : 18 /20<o:p></o:p>

    Les phases de jeu sont variées et toutes parfaitement jouable. Le gameplay est très bien pensé et donne une sensation de facilité très agréable, aucune prise de tête de ce côté la. Attention tout de même : Ne pas reproduire les acrobaties de Nathan Drake chez vous !<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 14 /20<o:p></o:p>

    Seulement 10 heures en mode solo c’est trop peu. Heureusement il y a un mode online… Enfin, pas sur que les fans de jeux d’aventure aiment se bastonner en arènes.<o:p></o:p>

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    Scénarios et mise en scène : 20 /20<o:p></o:p>

    Grandiose, la mise en scène est digne d’une production hollywoodienne. Les péripéties de Drake et ses amis se suivent a un rythme effréné en vous gardant toujours au cœur d’une action bouillante.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>

    Outre son originalité toute relative, Uncharted sur rattrape en nous proposant une expérience de jeu unique, le plaisir est permanant, si bien qu’on a du mal à lâcher la manette. Pour tout vous dire, une fois le jeu fini, je l’ai refait une deuxième fois direct !<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 18,2 /20


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    Comme tous les jours vers 17h, je quittais l'usine de Nutella pour laquelle je travaille. Pourtant ce soir la n'était pas tout à fait comme les autres… <o:p></o:p>

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    Dans l'après midi, Bernard m'avait envoyé un texto (oui, les écureuils et les chiens communiquent aussi par sms) dans lequel il me demandait de le rejoindre au plus tôt dans la prairie du sud... Nanar n'étant pas du genre à faire de telles énigmes, c'est donc avec curiosité que je pris la direction de notre lieu de rendez vous.

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    Trottinant le cœur léger et la queue flottant dans la brise de cette douce fin de journée estivale, j'arrivais enfin en vu de la prairie... mais la, personne.

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    M'avançant un peu plus, j'entrevis enfin une silhouette familière adossée à un arbre de la lisière.<o:p></o:p>

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            - Hey Nanar ! Ça va ?

    Mais pour seule et unique réponse je reçu qu'un timide signe de la main m'indiquant de le rejoindre.<o:p></o:p>

    Arrivé a sa hauteur, quelle ne fut pas ma surprise de voir mon ami inconscient, manipulé par des grenouilles elles-mêmes inconscientes et également manipulées par des mulots enchevêtrer les uns sur les autres pour jouer leur rôle de marionnettiste. Voyant Bernard dans cette position,  une question évidente me brulât les lèvres :<o:p></o:p>

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                - Mais à quoi donc servent les grenouilles dans cette histoire !!! Demande ai-je aux mulots. Gênés, ces derniers me répondirent en essayant de ne pas tomber.

                - Elles ne voulaient pas collaborer alors on les a assommées aussi !<o:p></o:p>

            - Mais collaborer a quoi ? Qu'avez-vous fait à Nanar ?<o:p></o:p>

    Soudainement, un vent glacial se mit à souffler, transformant le bout de mon attribut d'écureuil en stalactite (...je parle de ma queue bien sur) Me retournant je vis derrière moi un visage que je ne connaissais pas.<o:p></o:p>

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                - Lâchez Nanar le clébard ! Dit alors le volatile inconnu à ses sbires, épuisés de tenir mon compagnon canin à bout de pates.

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                - Qui est tu ? Je n'ai jamais vu personne comme toi dans cette forêt. De quelle espèce d'oiseau es-tu ?<o:p></o:p>

            - C'est normal, je viens d'un endroit secret a l'abri de tous les regards qui se trouve au nord de cette contrée... Je ne suis pas un oiseau, je suis un pingouin. Mes amis m'appellent Jean-Jean !<o:p></o:p>

                - (Oh l'autre hey ! il même pas d'amis) chouchoutèrent alors les mulots en train de faire du bouche a bouche aux grenouilles<o:p></o:p>

                - Silence bande de rat !!!<o:p></o:p>

                - (Mais ! on est des mulots, pas des rats) chuchotèrent à nouveau les petits rongeurs vexés de cette affiliation peu glorieuse.<o:p></o:p>

                - Peu importe ! Que viens-tu faire ici Jean-Jean ? Demande ai-je en même temps qu'une grenouille à peine réanimée, sautait sur mon dos en pensant que j'étais sa mère.<o:p></o:p>

                - Moman, tu m'as tellement manqué... Kroaa.<o:p></o:p>

    Me débarrassant aussitôt de ce batracien illuminé, en le balançant par-dessus mon épaule, j'entendis la réponse du mystérieux pingouin.<o:p></o:p>

                - Ta réputation a dépassée les frontières, aussi je voulais connaître le potentiel de celui qu'on appelle l'Ecureuil Bandé...<o:p></o:p>

                - Euh moi c'est l'écureuil Masqué... Je n'ai pas de bandage, je suis masqué... Avec un masque quoi.<o:p></o:p>

            - Ne joue pas sur les mots, c'est la même chose.<o:p></o:p>

            - Ne fait pas attention Moman... il déforme toujours tout, il m'a prise pour un crapaud tout a l'heure. Me dit alors la grenouille en s'accrochant de nouveau a moi. L'attrapant pas une patte en la faisant tourner au dessus ma tête avant de la lancer contre un arbre, je continuai ma discussion comme si de rien n’était.<o:p></o:p>

                - Pourquoi vouloir connaître mon potentiel ? Quel est ton intérêt ?<o:p></o:p>

            - Tu es à la forêt, ce que je suis a la banquise... Enfin ce que j'étais... Visiblement affecté de cet état de fait, larmoyant, Jean-Jean se moucha alors dans un mulot avant de poursuivre. Il y a peu, sur mon territoire, j'étais tout comme toi le justicier que tout le monde admire... Pourtant il c'est passé un événement qui a fait que du jour au lendemain, tous se sont mis à me détester... Allant même jusqu'à m'exclure de notre société...<o:p></o:p>

            - Mais que c'est t'il passé ?<o:p></o:p>

            - Lors d'une mission, j'ai du porter secours à Jade la Dorade qui était en train de se noyer... Au terme d'un effort sur humain je suis parvenu à la sortir de l'eau... C'est la que tout a basculé…<o:p></o:p>

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    Captivé par l'histoire, je m'étais assis en face de Jean-Jean avec les mulots à mes côtés. Et alors que la grenouille, nous apportait du pop-corn, le Pingouin continua son récit.

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    Lorsque je sorti Jade de l'eau, je vis son magnifique regard vitreux... Je n'oublierai jamais cette expression sur son visage de poisson... Quelle beauté... Je n'ai pas put m'en empêcher...<o:p></o:p>

                - Tu l'as embrassée ? Nous nous exclamèrent tous ensemble en étant suspendu aux paroles de son bec crochu.<o:p></o:p>

                - ... Pas vraiment...<o:p></o:p>

                - Tu es allé plus loin ?!!!! Demanda la grenouille avec un regard lubrique, avant que je la jette à nouveau dans les ronces.<o:p></o:p>

                - ... Non plus....<o:p></o:p>

            - Mais quoi alors ? Grogna Bernard, enfin réveillé et lui aussi à présent captivé par l'histoire.<o:p></o:p>

                - ... Je l'ai mangé...<o:p></o:p>

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    Un sentiment de stupéfaction traversa l'assistance, et devant nos mines déconfites, Jean-Jean tenta de se justifier.<o:p></o:p>

                - Et alors quoi ? Je suis un pingouin... C'est normal que je mange du poisson non ?<o:p></o:p>

    Dégoutter par l'issue tragique de cette histoire, je me levai en emmenant dans mon sillage, Nanar, les mulots et les grenouilles elles aussi fortement affectées...<o:p></o:p>

                - Hey mais ou va tu Nuts ! Je n'en n'ai pas fini avec toi ! Hurla Jean-Jean.<o:p></o:p>

    Me retournant, je lui dis alors par-dessus mon épaule, le regard destructeur et le vent agitant mes cheveux en bataille :<o:p></o:p>

                - Moi, j'en ai fini avec toi... Du moins pour l'instant. Nuls doutes que nos routes se croiseront à nouveau, et cette fois je ne serais pas aussi clément...<o:p></o:p>

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    M'éloignant dans un sublime couché de soleil, tel un super héro a la fin d’un film… j’avais toutes les peines du monde à marcher dignement a cause de la grenouille qui s'agrippée a ma cheville...

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                - Moman... On mange quoi ce soir ? Kroaaaaaaa....

            - T_T

     


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    <<< CHAPITRE 2                                        CHAPITRE 4 >>>


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    PUNCH-OUT !!<o:p></o:p>

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    Console : Wii<o:p></o:p>

    Développeur : Next Level Games<o:p></o:p>

    Editeur : Nintendo<o:p></o:p>

    Genre : Boxe binaire<o:p></o:p>

    Année : 2009


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    Jamais la vague du revival n’avait était aussi à la mode et ça, les gars du jeu vidéo l’on bien comprit. Tout est prétexte à nous ressortir des vieux jeux qui ont jadis fait la gloire d’ancienne console. Il y a trois configurations : soit le jeu sort tel qu’à l’époque (argent facile) soit les développeurs font un effort et l’adapte en HD par exemple (c’est moins pire) ou bien, partant d’une License existante, ils décident de développer un jeu nouveau, quasi identique mais avec les capacités des consoles actuelles (la c’est déjà plus sérieux) Et bien c’est le cas de Super Punch Out !! La vague de la nostalgie suffira t’elle à rassasier les consommateurs exigent que nous sommes devenus ?<o:p></o:p>

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    Souvenez-vous 1987, la NES, console mythique qui a accueillis des titres légendaires. Il en fut un qui marcha plutôt bien : punch out premier du nom. Si certain d’entre vous s’en souvienne, le succès de ce titre reposait sur un gameplay ultra simple mais plutôt bien pensé. Seulement cinq actions possibles coup de poing du droit, du gauche, esquive droite ou gauche et uppercut… c’est tout. Et bien vous ne devinerez jamais quoi… 22 ans plus tard sur Wii, le gameplay n’a pas changé !<o:p></o:p>

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    Alors dit comme ça, cela peut paraître absurde, mais tel qu’est fait le jeu on voit mal comment faire plus a niveau des actions (bon je vous rassure on peu jouer a la Wiimote mais j’y reviendrai) Le personnage que vous incarnez (Little Mac) est visible de dos, votre but sera d’affronter une longue série d’adversaire plus loufoque les uns que les autres dans des combats de 3 rounds. Si vous parvenez à mettre au tapis votre adversaire trois fois au cours d’un même round, la victoire est a vous… Simple non ? Et ben pas tant que ça…<o:p></o:p>

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    Même si les premiers combats sont une formalité (le premier adversaire est un Français ridicule… j’en ai toujours voulut aux développeurs de nous avoir infligée une telle honte) plus les adversaires défilent plus les combats deviennent tactique. Entendez par la qu’il existe une technique bien particulière pour battre chaque boxeur. A vous de la trouver et c’est parfois pas facile ; Il vous faudra donc recommencer les combats à plusieurs reprise, car même si vous avez trouvé la faille, tout se joue à la seconde près… parfois agaçant.<o:p></o:p>

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    Le passage à la Wii apporte son (petit) lot de nouveauté. Outre la maniabilité de base avec la Wiimote prise façon manette NES, il est possible de jouer avec le duo Wiimote + nunchuk. Cette configuration est nettement moins reposante puisque qu’il vous faudra bouger la manette en mimant des coups de poing… Très vite pénible et finalement pas très précis surtout lors des esquives (qui d’ailleurs peuvent êtres faites du pied, si vous avez une balance board). Nouveauté peut convaincante donc.<o:p></o:p>

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    Que dire de plus sur ce punch out ?... C’est un jeu sans réelles prétentions qui nous promet rien et qui au final nous donne le minimum, si ce n’est faire vibrer la corde de la nostalgie. Les fans de la version NES apprécieront de replonger dans leurs souvenirs, mais les autres risques d’être bien déçus. On ne peut pas dire que Punch out est un mauvais jeu, mais il est vraiment trop léger pour espérer s’imposer dans nos ludothèques. Quant le revival croise le causual-gaming, il en résulte une création étrange qui se joue « vite fait, entre pote histoire de rigoler trente minutes dans une soirée » Ni plus, ni moins.<o:p></o:p>

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    Graphisme : 14 /20<o:p></o:p>

    Le cel shading colle plutôt bien à l’ambiance. Le design des personnages est original, mais rien de transcendantal.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 14 /20<o:p></o:p>

    Plusieurs musiques originales ont étaient reprises, c’est agréable (pour ceux qui les connaissent déjà) Les effets sonores nous rappel l’époque de la NES : simple, répétitif et peu variés.<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 12 /20<o:p></o:p>

    Techniquement il n’y a rien à redire… Mais en même temps Punch out ne prend aucun risque.<o:p></o:p>

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    Jouabilité / Gameplay : 15 /20<o:p></o:p>

    Pouvoir choisir entre deux façons de jouer et un bon point. L’action est vite répétitive, l’intérêt consistera à placer le bon coup au bon moment en fonction de chaque adversaire… Ce n’est pas très original mais ca marche.<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 12 /20<o:p></o:p>

    En mode carrière, seulement treize adversaires à nous mettre sous la dent. Les plus acharnés pourront se défouler sur un ami, grâce au mode deux joueurs. C’est vraiment pauvre.<o:p></o:p>

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    Scénarios et mise en scène : 12 /20<o:p></o:p>

    Je vous passe le scénario (devenir le numéro un) Les présentations des adversaires sont bien vues, ce sont de petite caricatures mettant en avant les clichés liés au pays du protagoniste (tour Eiffel et baguette de pain pour le Français T_T)<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 14 /20<o:p></o:p>

    Original, oui dans la mesure où les jeux de boxe ne sont pas courant Niveau fun, Punch out procure un certain plaisir de jeu, en tout simplicité. Mais l’ensemble peu vite devenir lassant.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 13,3 /20


     

     

     


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    A part mon fidèle Bernard, je n'ai pas vraiment d'ami. Je suis un écureuil au tempérament solitaire et je dois avouer que ma double vie de super héro ne facilite pas les choses... Pourtant, mon existence a récemment prit un tournant inattendu… <o:p></o:p>

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    Alors que nanar et moi buvions un verre de sirop d'érable a la taverne de Jacky le colibri. Tendant un énième mouchoir en papier à Bernard afin d'essuyer sa truffe humide, mes yeux se posèrent de façon impromptue sur l'écran de télévision : C'est la que je la vis pour la première fois...<o:p></o:p>

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    - Qui est cette fille qui chante a la télé ? Demandai-je en fixant l'écran.<o:p></o:p>

    - Ben voyons, c'est Al la Gerbille... la nouvelle star de la chanson, jamais tu regarde les infos ? Me répondit Bernard avec étonnement.<o:p></o:p>

    Al la gerbille... Ces mots raisonnèrent en moi comme une douce musique, aussi belle que la voix de celle que je dévorais à présent du regard. Jamais un animal ne m'avait fait une telle sensation, quelle voix, quelle beauté... Quelle Gerbille !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Remarquant mon comportement inhabituel, Jacky le colibri rentra dans la conversation comme si de rien n'était.<o:p></o:p>

    - Sacré petite, elle en a fait du chemin, qui aurait cru sa lorsque je la faisais sauter sur mes genoux...<o:p></o:p>

    - Mais que dit tu Jacky ?!! Tu la connais ?<o:p></o:p>

    - Oui bien, sur c'est ma nièce...<o:p></o:p>

    - Mais comment est ce possible ? Tu es un colibri et elle une gerbille...<o:p></o:p>

    - C'est simple... J'ai était adopter par la famille gerbille lorsque j'étais bébé... d'ailleurs à ce sujet…<o:p></o:p>

    - Quoi !!! Tu es donc vraiment le tonton d'Al ?<o:p></o:p>

    - Oui ! Mais tu sais… lorsque qu'on m'a adopté ce fut…<o:p></o:p>

    - Oui oui ok, aller parle moi d'elle !!!<o:p></o:p>

    - Euh très bien... Certains disent qu'on a le même nez... enfin je suppose...<o:p></o:p>

    Un silence pesant traversa la pièce, lorsque Jacky se mis à se caresser le bec avec un sourire d'une niaiseur affligeante. Gênés, Bernard et moi restions dans notre mutisme lorsque le colibri barman se décida enfin à dire quelque chose d'intéressant.<o:p></o:p>

    - Puisqu'on en parle, Al donne un concert ce soir au pied du grand platane... J'ai des tickets si vous voulez. A peine Jacky nous avait t'il tendu les billets que déjà nous étions dehors avec nos précieux sésame dans les pates, bien décidés à aller admirer celle qui venait de devenir la seule préoccupation de mes pensées.<o:p></o:p>

    - …Pas de problème les gars, je vous parlerai de mon adoption une prochaine fois... Lança alors Jacky en voyant la porte de son bar claquer derrière nous...<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Harnacher comme deux sangliers en pleine saison des amours, chemise à fleur, mocassin brillant, chaine en or et parfum à outrance, Bernard et moi arrivions enfin sous le grand platane... Visiblement nous n'étions pas seuls. Toute la forêt s'y était réunie pour l'événement, une faune dense et variée était massée devant la scène rendue inaccessible... C'était mal nous connaître.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Nous faufilant tels deux fouines du Mozambique, nous étions parvenus, non sans peine, à nous hisser au premier rang… C'est à cet instant que le rêve devint réalité...<o:p></o:p>

    Dans un déluge de son et de lumière, je la vit enfin entrer sur scène : Quelle beauté ! Se déplaçant d'un pas vif et agile sur toute la longueur de la scène, micro en pate, Al enchanta toute l'assistance de sa sublime voix durant près de deux heures d'un spectacle grandiose.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Hypnotisé par cette vision à la fois magique et féérique, j'avais l'impression d'être entré dans un autre monde. Comme si le temps c'était arrêté, noyant mon cœur dans cet océan de plénitude fait de notes de musique toutes plus belles les unes que les autres... Je voulais que cet instant dur une éternité, pourtant, la fin du concert approchait, en même temps que ma peine grandissait. C'est alors que j'entendis une clameur monter autour de moi...<o:p></o:p>

    - Elle va le faire tu crois ? Dit une grenouille à son amie, juste à coter de moi.<o:p></o:p>

    - Oui j'en suis sur ! Elle le fait tout le temps !<o:p></o:p>

    - Elle va faire quoi ? Leur demandais-je avec intérêt.<o:p></o:p>

    - Se jeter dans la foule de ses fans ! C'est sa marque de fabrique !<o:p></o:p>

    Une vague d'espoir envahi alors mon cœur, d'autant que posant son micro a terre, je vis Al se diriger dans ma direction... M'avait t'elle remarquer au milieu de cette foule ? Non ce n'est pas possible... Pourtant c'était bien vrai, elle était là, juste devant, en train de reculer pour prendre son élan... Al la gerbille allait se jeter dans mes bras ! <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Cette situation me semblait irréelle, même dans mes rêves les plus fous, je n'avais osé imaginer une telle issue à ce concert... C'est à cet instant précis que tout bascula...<o:p></o:p>

    Je tendais les bras afin de réceptionner ma déesse, lorsqu’au dernier moment une grenouille me poussa sur le coter pour prendre ma place... La scène semblait se dérouler au ralentis, sur la scène, s’élançant d’un pas lourd, je vis voler en face de moi, non pas Al, mais son guitariste qui lui aussi c'était jeté... <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    …Je me souviendrai toute ma vie de ce premier contact avec Barnabé le Hérisson... Traumatisme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Plusieurs dizaines de minutes après, je repris enfin connaissance dans ce qui semblait être l'infirmerie... jetant un coup d'œil sur ma chemise en lambeau, les larmes me vinrent immédiatement. Comment avait t'on put en arriver la ? Ce qui aurait du être un rêve c'était transformé en cauchemar (d'autant que j'avais encore plusieurs épines de Barnabé planter dans ma queue... Diantre, ça piquotte)<o:p></o:p>

    Je fixais le plafond sombre de la petite pièce. Encore tout a ma peine de n'avoir fait qu'effleurer le bonheur, je n’avais même pas entendu la porte s'ouvrir. La surprise fut grande lorsque que je vis un visage radieux se pencher sur moi.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    - Comment allez-vous ? J'ai sus ce qui vous était arrivé... Je n'aime pas quant mes fans souffre.<o:p></o:p>

                - Co co comment... mais c'est vous ? Alalalala la Gerbibille ?!<o:p></o:p>

                - Appelez-moi Al, ça sera plus simple. Je suis venu m'excuser, Barnabé et quelqu’un de très affectueux... un peu trop parfois.<o:p></o:p>

                - Mais ce n'est rien... Répondis-je en redressant ma mèche et en essayant de faire preuve d’assurance.<o:p></o:p>

    Se penchant sur moi, Al me déposa alors un doux baiser sur le front en guise de dédommagement, je n'en demandais pas tant. Aussitôt ma peine et ma douleur disparurent dans un tourbillon de bonheur.<o:p></o:p>

                - J'espère vous revoir très bientôt... Dit-elle en sortant de la pièce non sans avoir lâcher un ultime clin d'œil. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Mon cœur était au bord de l'explosion... Al la gerbille voulait me revoir, mon bonheur était total. A présent ma vie ne serait plus jamais la même, Nuts l'écureuil masqué avait trouvé l'ultime motivation qui lui manquait, il ne se battrait plus seulement pour les autres, mais avant tout pour celle dont il était tombé amoureux... Al.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Me levant péniblement du lit, je vis alors la porte s'ouvrir de nouveau... Allait t'elle revenir m'embrasser encore une fois ?... Malheureusement non...<o:p></o:p>

                - Je suis venu me faire pardonner ! Vient que je te fasse un câlin. Me dit alors Barnabé en se jetant sur moi avec les bras grand ouverts...<o:p></o:p>

                - Nooooooooooooooooooooooooooooooooon !!!!!!!!<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    … Deuxième contact…

     


    <o:p></o:p>

    <<< CHAPITRE 1                                        CHAPITRE 3 >>>


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    Maintenant que vous me connaissez un peu, je vais vous présenter mes amis, en commençant par mon fidèle équipier : Bernard... Ou plutôt devrais-je dire : BatDog !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Même si cette brave bête n'est pas née dans la forêt, c'est là qu'il a élu domicile : En effet Bernard n'a pas vraiment le profil beau-gosse et lorsqu’il en eut assez des moqueries toujours plus méchante envers sa truffe, il décida de s'exiler loin de sa patrie... C'est ainsi que je l'ai rencontré.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Je m'en souviens comme si c'était hier, il était là, assis sous un arbre en train de se lécher une partie de son anatomie dont seul les chiens sont capables… Geste souple et aérien ; J'ai tout de suite compris que nous étions faits pour nous entendre.<o:p></o:p>

    Je lui ai tendu quelques noisettes, il les a dévorés en bavant… Je lui ai demandé s'il aimait ça, il m'a répondu en rotant... Notre amitié pour la vie se scella sur le champ.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Outre son aspect rebutant et sa face d'Ewoks de la lune forestière d'Endor, je compris rapidement que Bernard partageait le même goût pour la justice que moi. Et comme un clin d’œil du destin, il m'en offrit la preuve le jour même, lorsqu'il sauva Aaron, le crapaud du marais visqueux, d'une mort certaine… <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Alors que nous marchions côtes à côtes sur le sentier bordant le marais tels deux poney se rendant à l’esthéticienne, Bernard d'arrêta de bouger net ! Levant sa truffe suintante et reniflant aux quatre vents, je compris à son œil globuleux que quelque chose de grave se passait.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    - Qui a-t-il Nanar ? Lui demandais-je non sans inquiétude.<o:p></o:p>

    En guise de réponse, il se mit à courir comme une hyène a la recherche d'un tapir. Traversant les broussailles et les roseaux acérés, j'éprouvai les plus grandes difficultés à le suivre, manquant même de le perdre a plusieurs reprises.<o:p></o:p>

    Après plusieurs minutes, notre cavalcade s'arrêta enfin et c'est à cet instant que nous découvrîmes le drame qui était en train de se nouer...<o:p></o:p>

    Devant nous, allongé dans sa baignoire en plastique, se trouvait Aaron le crapaud. La scène était insoutenable : Sans comprendre pourquoi, le pauvre batracien vibrait a une fréquence telle que sa langue sortait de sa bouche en lui giflant violemment le visage ! Le pauvre semblait avoir du mal à respirer d’autant qu’une épaisse fumée blanche commençait à s’échapper des ses narines écarquillées. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Tétanisé par cette horrible vison, je me trouvais impuissant devant cette situation qui me dépassait, Pourtant Bernard lui, avait déjà tout comprit : Bravant les projections de baves et la fumée narinale, de ses coussinets dodus, il débrancha le sèche-cheveux qu'Aaron avait négligemment laissé tomber dans sa baignoire. Instantanément, les convulsions du malheureux batracien s'arrêtèrent en même temps qu'une puissante odeur de viande grillée nous parvenait aux naseaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

     

    Bernard fixait à présent le pauvre Aaron, toujours fumant et encore sous le choc de sa cuisson.<o:p></o:p>

    - Je les préfère en persillade... Me dit-il d’un ton monocorde.<o:p></o:p>

            - Mais de quoi parles-tu Nanar ?<o:p></o:p>

                - …Les cuisses de grenouilles, je les préfère en persillade plutôt que cuite à l'eau...<o:p></o:p>

    Sans aucune autre explication, il s'en retourna comme si de rien n'était. Ne demandant aucune reconnaissance pour son acte de bravoure, le valeureux Bernard n'en demeurait pourtant pas moins un véritable héros.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Ce jour la je compris que je n'étais plus seul. Après lui avoir raconté mon histoire et dévoilé ma réelle identité, sans même hésiter une seconde, il accepta de m'assister dans ma mission et de protéger les innocents des injustices. En ce jour de cuisse de grenouille (Aaron s'en est remît, je vous rassure), Bernard le pas-beau-gosse, devint BatDog, mon fidèle compagnon à la truffe humide...

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