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Salut à tous, je me présente : je suis L'écureuil Masqué !!!! .... Bon ok appelez moi Nuts ça ira plus vite. (Enfin si certain veulent m'appeler SuperNuts je ne suis pas contre hein... bon ok j'arrête)<o:p></o:p>
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Pour ceux que ça étonne, sachez que les écureuils parlent très bien la langue des humains. Oui oui c’est vrai et j'en suis la preuve vivante ! Alors me dirais vous, et fort logiquement d'ailleurs, "Pourquoi n'ai je jamais entendu parler un écureuil ?!!"... La raison est toute simple : Vous avez déjà essayé de parler avec la bouche pleine de noisette vous ?... tentez, vous verrez que ce n'est pas si simple !<o:p></o:p>
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A part ça que dire sur moi... Et bien j'ai récemment déménagé, j'habite a présent le Grand chêne a l'angle du troisième sentier de randonnée, Juste a coter l'étang des grenouilles. Oui je sais c'est un quartier de bourge mais bon, avant j'habitais dans un quartier rempli de mulots... Sans déconner qu'est ce qui sont chiants !!! En plus la nuit on se faisait souvent attaquer par des chouettes affamées, j'ai d'ailleurs perdu mon meilleur ami comme ça... Shawn, tu t'es sacrifié pour protéger ta réserve de Glands... Je ne t'oublierai jamais... (Pleurs)<o:p></o:p>
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L'émotion m'étreint, pourtant je me dois de continuer, The show must go on comme on dit ! Vous voulez sans doute savoir ce que je fais dans la vie ?... (... qui a dit non ?!!!) …Bon ben je le dit quant même, je fais le plus beau métier du monde : Je suis gouteur de Noisette chez Nutella... Le rêve absolu ! Oh oui je vois dans vos regards un brin de jalousie, et je vous comprends. Pourtant il y a quelque chose que vous devez savoir... Je suis allergique au chocolat... Oui je sais c'est tragique !!! Je passe mes journées à tester des noisettes pour fabriquer du Nutella, pourtant je n'ai jamais put gouter au produit final de mon travail... Cette pâte à tartiner qui hante mes rêves, me tuerais si jamais j'y trempais ne serait ce qu'une seule de mes canines dedans... cruel destin que le mien n'est t'il pas ? (re-pleurs)<o:p></o:p>
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Vous comprenez à présent toute la douleur qui se cache derrière mon petit museau de rongeur rouquin... Mais je ne suis pas du genre à me laisser abattre et c'est pourquoi la nuit, pour m'évader de mon terrible quotidien, je deviens Nuts, l'écureuil masqué, dont le seul but et d'aider les autres et de faire le bien autour de lui ! <o:p></o:p>
Volant de branche en branche tel un voltigeur, je n'ai de cesse de me battre contre les injustices de la vie. (et depuis que j'habite a coter des grenouilles, j'ai du boulot... quelle bande de cas sociale celle là... enfin j'aurais l'occasion de vous en parler)<o:p></o:p>
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Voila, vous connaissez à présent l’essentiel me concernant ! Il ne me reste plus qu'a vous dire a bientôt, et comptez sur moi pour vous raconter toutes mes aventures nocturnes... *enfile sa cape, et saute de son arbre... rate la branche et se rétame la face par terre* ..... (Oui, Nuts l'écureuil est également un grand gaffeur... (re-re-Pleurs))
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~ SOMMAIRE DE MES AVENTURES ~
Prologue : Mon nom est Nuts... L'écureuil masqué.
Chapitre 1 : Bernard, mon fidèle compagnon.
Chapitre 2 : Celle qui fait battre mon coeur.
Chapitre 3 : Un ennemi venu du froid.
Chapitre 4 : Le defi est lancé.
Chapitre 5 : Un acceuil en fanfare.Bientôt disponible :
Chapitre 6 : Le défi liberateur.
Chapitre 7 : C'est ballot !
Chapitre 8 : Les Règles de Nuts.
Chapitre 9 : Jean Jean se dévoile...
Chapitre 10 : Le Hamster Otaku.
Chapitre 11 : Le Prétendant.
Chapitre 12 : L'épreuve du chaud.
Chapitre 13 : Un nouveau gendre ?
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PIKMIN 2<o:p></o:p>
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Console : Wii<o:p></o:p>
Développeur : Nintendo<o:p></o:p>
Genre : Stratégie by Miyamoto<o:p></o:p>
Année : 2009 (initialement sorti sur Gamecube en 2004)
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Tout le monde reconnaît le savoir faire de Shigeru Miyamoto lorsqu’il s’agit de développer des jeux tels que Mario ou Zelda. Mais il arrive parfois que le maître ait envie de s’octroyer une bouffée d’oxygène en travaillant sur des projets plus petits. C’est le cas de la série Pikmin, imaginée et conçue par ses soins, cela ne pouvez augurer que de bonnes choses, voyons voir ça.<o:p></o:p>
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Née sur Gamecube, la série Pikmin a surprit tout le monde lors de sa sortie, personne ne savait a quoi s’attendre mais au final le coup d’essai se transforma en coup de maître. Bénéficiant déjà d’un bon gameplay à l’époque, les nouvelles possibilités de jeu et de contrôle de la Wii ont mis à la puce à l’oreille de Miyamoto. C’est ainsi qu’il eut l’idée de convertir ses deux bébés et de les adapter a un gameplay a la Wiimote… Idée lumineuse, puisqu’après l’avoir testé, on se demande comment on a put jouer a la manette jusqu'à lors.<o:p></o:p>
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Pikmin 2 s’inscrit dans la continuité scénaristique de son prédécesseur. Après avoir réussit a reconstruire son vaisseau, le capitaine Olimar parvient à rejoindre sa planète. Mais alors que tout semble être au top, son boss lui apprend qu’il est au bord de la faillite ! Par chance, Tous deux se rendent compte que les objets terrestres qu’Olimar a ramenés avec lui ont une très grande valeur sur sa planète. Fort de ce constat, le boss lui demande de retourner sur terre afin d’en collecter un maximum et ainsi d’effacer sa dette. Olimar s’exécute mais ne part pas seul, puisque son collègue Louis l’accompagne dans cette nouvelle aventure !<o:p></o:p>
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Pour ceux qui découvre la License, l’action se passe sur notre terre, mais a l’échelle miniature. En effet, Olimar mesure environ un centimètre et demi. Les environnements sont variés et font la part belle a la nature (c’est le coter écolo de Miyamoto) Mais cet opus nous propose en plus de visiter des dizaines de grotte aux ambiances thématiques multiples. Le but du jeu consiste donc à récolter un maximum de trésors (la plupart du temps des objets de notre quotidien de terriens tels qu’une pile ou une capsule de canette et même des cartouches de jeu… Pour vous aider vous disposer de petites créatures végétales : Les Pikmins. Il y a cinq catégories de Pikmin, chacune ayant des aptitudes différentes. Les rouges résistent au feu, les bleus peuvent aller dans l’eau et les jaunes ne craignent pas l’électricité. Exclusif a ce deuxième épisode, vous disposerez à présent de Pikmin Blanc résistant au poison et pouvant intoxiquer les ennemis, ainsi que les Pikmin violets, très lourd, ils sont dix fois plus fort que leurs camarade et permettent de transporter des charges lourdes sans avoir recours a une armée de Pikmin : De nombreuse nouvelles possibilités s’offrent donc a vous.<o:p></o:p>
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L’action se découpe en journées, au début de chacune d’elles il vous faudra planifier quelles seront vos tache du jour. A vous de gérer votre effectif de Pikmin et de les répartir en fonction des priorités et de leur aptitudes : Construire un pont, détruire un mur qui vous barre la route, ramener un trésor a votre navette ou chasser des ennemis afin de pouvoir créer de nouveaux Pikmin. Olimar n’étant plus seul, la présence de Louis vous permet de gérer deux chantiers en même temps, à deux endroits différents de la carte, c’est une très bonne idée qui demande un surcroit d’organisation. Vous pouvez avoir jusqu'à cent Pikmins en même temps sur le terrain. En ce qui concerne leur catégorie, a vous de composer vos troupes comme bon vous semble (pour peu que vous en ayez en stock) Attention tout de même car vos camarades végétaux on une fâcheuses tendance à décéder de manière tragique : noyé, brulé, électrocuté, écraser ou dévoré, il y en a pour tous les goûts ! Avant chaque fin de journée, il vous faudra regagner votre vaisseau et faire rentrer vos Pikmins dans leur « Oignon » sous peine qu’ils restent sur le terrain et soient définitivement perdus.<o:p></o:p>
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Niveau Gameplay tout est ultra simple, il vous suffit de pointer à l’écran pour donner vos ordres à vos Pikmin. Pour interagir avec l’environnement, vous devez de jeter vos Pikmins ; Les actions s’exécutent alors automatiquement : Si vous jetez des Pikmins sur un monstre, ils l’attaqueront, si vous les jetez contre un mur cassable, ils le détruiront, si vous les jetez sur un trésor ou un cadavre d’ennemi, ils les ramèneront automatiquement à votre vaisseau. Cela peut paraître très simpliste mais c’est vraiment efficace et procure une réelle sensation de contrôle et de commande de votre équipe.<o:p></o:p>
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A la base, Pikmin est un jeu développé sur Gamecube mais sur le plan graphique et sonore la version Wii est quasiment identique, il s’agit donc d’un simple portage (argent facile !) Je vous rassure, visuellement Pikmin est tout de même très beau et nous offre des environnements naturels splendides. Il en va de même en ce qui concerne le son, plus qu’à des musiques, nous avons surtout à faire à des ambiances sonores calmes et reposantes (bruit d’eau, de foret…) cela colle parfaitement a l’action et contribue grandement au charme unique que dégage ce titre.<o:p></o:p>
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Au chapitre des bonnes surprises, Pikmin 2 offre une durée de vie honorable, même s’il est assez simple de collecter la somme nécessaire pour rembourser la dette de votre boss, il est nettement plus difficile de venir à bout des toutes les grottes ! Parfois simples, certaines sont particulièrement relevées et demanderons une bonne dose de stratégie pour en venir à bout (et aussi beaucoup de Pikmin sacrifier, paix à leurs âmes) Le titre dispose également d’un mode bataille ou vous pourrez affronter un ami (ou une amie hein !) dans une sympathique opposition. Toutefois au rayon des déceptions, on regrettera une certaine répétitivité des tâches qui finalement d’évoluent que très peu par rapport au premier épisode… Mais je vous rassure, c’est vraiment histoire de chipoter !<o:p></o:p>
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Pikmin et Pikmin 2 font partis des cette catégorie d’Ovni du jeu vidéo qui tout droit sorti des méninges d’un génie, apportent un grand souffle de fraicheur dans un monde de plus en plus stéréotypé. On constate que les idées les plus simples sont souvent les meilleures et que même sans une débauche technique outrancière un concept traité de manière sérieuse vaut toutes les grosses productions du monde. Après tout, ce qui compte c’est de s’amuser non ? Et peu importe le flacon tant qu’on a l’ivresse. Sans être le plus tape a l’œil, Pikmin et un concentré de bonnes idées et de fun, ajoutez a cela une touche artistique unique et vous obtenez un jeu comme on aimerait en voir plus souvent… A ce propos, en 2005, Miyamoto nous avait promis un Pikmin 3… Nous sommes en 2012 et on attend toujours ! Qui sait, peut être que nos petits amis multicolores feront les beaux jours de la future Wii U ?<o:p></o:p>
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Graphisme : 16 /20<o:p></o:p>
C’est du Gamecube mais l’ensemble est très harmonieux.<o:p></o:p>
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Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>
Les ambiances sonores très naturelles sont réussies, et résonnent comme la simple expression de la zen attitude… on ne s’en lasse pas.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 16 /20<o:p></o:p>
Le Wii est loin d’être bousculée, mais rien ne cloche ; même avec 100 Pikmin a l’écran ca ne rame jamais.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 19 /20<o:p></o:p>
Excellente jouabilité, Mener les Pikmins à la baguette-mote est un vrai plaisir.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 16 /20 <o:p></o:p>
15 heures en ligne droite, le double pour tout finir, et en bonus le mode multi, tout cela est très honnête.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 15 /20<o:p></o:p>
Scénario plutôt basic, mais bon nos Pikmins sont des travailleurs, pas des intellos hein !<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>
Quel régal que d’être le maitre d’une petite armée obéissante : Plus qu’original, Pikmin est carrément conceptuel !<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 16.9 /20
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FINAL FANTASY XIII-2<o:p></o:p>
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Console : Playstation 3<o:p></o:p>
Développeur : Square Enix<o:p></o:p>
Genre : RPG next gen’<o:p></o:p>
Année : 2012
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Au siècle dernier, Le Dieu Square créa Les RPG et pour que ca parole se répande a travers le monde, il envoya sur terre un prophète appelé Final Fantasy. Véritable religion pour certain, grâce a des apôtres nommés Cloud, Tidus ou Ashe, Les créations de Square firent rêver des millions de joueurs au travers des âges… Hum, doux parfum d’une époque révolue qui s’acheva brutalement avec l’arrivée du 13ème prophète. Pareil à Lucifer, il troquât son enveloppe angélique pour incarner l’antéchrist du jeu de rôle. La paroisse toute entière vacilla, mais conscient de la tragédie qui s’était jouée, le divin Square écouta la parole de ses fidèles et soucieux de redorer l’image de sa religion écornée, il décida de donner un frère au Juda et le nomma Final Fantasy XIII-2…<o:p></o:p>
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Aller, reprenons le cours normal de l’histoire ! Comme vous l’aurez comprit, FF13-2 est la suite directe de FF13. Les plus optimistes diront qu’il s’agit d’une chance de voir un nouveau jeu encore plus élaboré, alors que les plus négatifs diront que c’est un bon moyen de sortir rapidement un jeu a moindre cout… Je vous laisse choisir votre camp, nous y reviendrons. Ce qui nous intéresse c’est de voir ce que le petit dernier a dans le ventre et si il sera en mesure de nous faire passer le gout amer que son ainé nous avait laissé, Analysons.<o:p></o:p>
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Fin de FF13, après le sacrifice de Fang et Vanille, tout est rentré dans l’ordre : Cocoon est sauvé, les Fal’Cie son vaincus, et Lightning retrouve enfin sa petite sœur Serah… Happy end a l’américaine toute mielleuse… Néanmoins, alors que tout semblait aller pour le mieux, une autre réalité semble avoir cours au début de FF13-2, en effet, dans l’esprit de chacun lightning a disparu en se sacrifiant au même titre que Fang et Vanille… Etrange non ? D’autant que Serah se souvient de ses retrouvailles avec sa grande sœur, mais elle est la seule et tous ont du mal à la croire. Son salut viendra lorsqu’une énorme météorite s’écrase non loin de son village, amenant avec elle un jeune homme, Noel, (on ne se moque pas) qui dit venir du futur et y avoir rencontré la belle Lightning ! Fort de cette révélation, la petite Serah n’aura alors de cesse de vouloir retrouver sa sœur égarée dans les limbes du temps. Pas si simple, puisque parallèlement à cette nouvelle séparation familiale, Serah et Noel se retrouvent au cœur d’une intrigue dont l’issue pourrait bien anéantir le cours du temps et de l’espace…<o:p></o:p>
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L’idée principale de FF13-2 repose sur la possibilité de pouvoir voyager a travers le temps, il vous sera donc possible d’explorer différents lieux a différentes époque, la date influant bien évidement sur les personnages que vous croiserez et sur les taches que vous pourrez accomplir. L’idée est bonne et est plutôt bien exploitée, même si elle débouche sur une redondance des lieux, qui au final ne sont pas si nombreux et variés que ca. Contrairement aux autres épisodes de la série, FF13-2 vous donne la possibilité de contrôler seulement deux personnages (encore une tradition qui passe a la trappe) Serah et Noel. La ou Square a tout de même eu une bonne idée, c’est que pour compléter votre duo vous pourrez recruter n’importe quel monstre que vous aurez battu ! Oui, oui n’importe lequel ! Ainsi votre équipe se composera des deux héros + un monstre de votre choix…A vous les Pampa et autre Béhémoth !<o:p></o:p>
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Niveau technique, cet épisode est un copier coller des son grand frère, tout marche à merveille, la réalisation reste haut de gamme et les graphismes toujours aussi beaux. La ou Square a réussit un exploit, c’est au niveau des musiques : Souvenez vous, Dans FF13 nous avions du nous taper le supplice auditif de Léona Lewis, et bien Square fait encore plus fort en nous imposant cette fois une certaine Charice (c’est qui elle ?) qui outre le fait de nous Peter les oreilles, a le privilège de chanter durant des niveaux entier du jeu !!! Non mais sérieux ! Qu’on se tape des cinématiques avec sa voix derrière ca va encore, mais quant vous passez des heures à explorer une monde visuellement somptueux avec en fond sonore une chanson anglaise qui tourne en boucle, franchement c’est plus qu’énervant. Même si beaucoup de morceaux ont étaient repris de FF13 les nouveaux sont orientés rock voir métal trash lors de certains boss… Monsieur Square, y’a des limites quant même, restons sérieux !<o:p></o:p>
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Enorme soulagement, contrairement a son prédécesseur dont le principal défaut était de nous faire évoluer en ligne droite, FF13-2 laisse la part belle à l’exploration et a la liberté de déplacement entre les mondes. Ainsi, libre a vous d’avancer sur la trame principale ou de flâner au gré des mondes en effectuant quelques quêtes annexe (qui elles aussi font leur retour) Un bon point donc d’autant que la durée de vie s’en trouve considérablement allongée (comptez <st1:metricconverter productid="20 a" w:st="on">20 a</st1:metricconverter> 25 heures pour finir le jeu au plus vite et plus du double pour l’achever a 100%) Une autre bonne idée est la possibilité de débloquer des privilèges, qui vous permettrons d’agir directement sur les paramètres du jeu (doubler l’exp, fréquences d’apparition des monstres, augmentation des vos chances d’obtenir un bonus…) c’est bien d’autant qu’il vous faudra pas mal de temps pour en obtenir certains. Voila une façon intelligente de nous motiver à jouer. Une autre idée sympa, l’apparition de QTE (Quick Time Events) lors de certaines cinématiques qui viennent par exemple clôturer un combat majeur.<o:p></o:p>
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Point positif de FF13, le système de combat est identique sur FF13-2 et a même était améliorer (enfin modifier du moins) Il est toujours possible de tout choisir, mais beaucoup préférons l’auto attaque qui a pour effet de totalement bousiller l’intérêt des combats : Pour peut que votre équipe soit haute en niveau, il vous suffit s’appuyer en boucle sur X sans réfléchir, pour dézinguer le menu frottin qui s’offre a vous… ainsi que les boss qui ne sont pas au niveau : Au final FF13-2 est bien plus facile que FF13 donnant même parfois une désagréable impression de light. Entendez par la, version allégée et plus accessible à tous… Moins gamer quoi !<o:p></o:p>
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Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part ce qui me plait dans un RPG c’est le coter évolutif des personnages, des armes ou des équipements. En ce qui concerne vos personnages, c’est vous qui choisissez quel seront leur spécialité. Six rôles sont accessibles : attaquant, ravageur (magicien) défenseur, soigneur, tacticien (sorts de protection) ou saboteur (affecte les ennemis) vos personnages peuvent apprendre chacun des six rôles en même temps. Ensuite vous devrez composer votre équipe en combinant les combinant. Par exemple 3 attaquants, 3 ravageurs, ou 1 attaquant 1 soigneur 1 ravageur ou même 3 saboteurs (pour les fourbes) les combinaisons sont très nombreuses. Il vous est possible de stocker six formations avec lesquelles vous pourrait alterner à tous moment pendant un combat. C’est bien pensé et cela fonctionne très bien. Notez également la présence a vos coter d’un Mog qui vous aide lors des phases d’exploration. En ce qui concerne les autres évolutions… ben il n’y a rien à dire puisque hors mis vos armes et quelques accessoire, votre équipement ne change jamais : Un dépouillement rarement atteint dans un FF ! Cela vient renforcer l’idée de light que donne cet opus a ce niveau, tant tout ce qui concerne votre inventaire est anecdotique et sans aucune réelle incidence sur vos actions. C’est d’autant plus dommage que si square avait choisi de développer cet aspect du jeu, FF13-2 serait passé (ou revenu) dans la vrai dimension final-fantsyèsque.<o:p></o:p>
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FF13 nous avez cruellement déçu mais FF13-2 à su redresser la barre (même si il convient plus de parler d’évolution plus que de révolution). Au final ce deuxième opus est très proche du premier et s’il parvient à en corriger les défauts, il en apporte quelques petit nouveaux (Putain, Charice quoi !!!) Au début de ce test je me posais une question a laquelle il est finalement difficile de répondre : Oui Final Fantasy 13-2 sent la suite commercial a moindre cout mais Square ne s’est pas contenter de nous resservir la même soupe, et c’est vraiment creusé la tête pour tenter de réconcilier les joueurs fâchés depuis l’épisode précédant. FF13-2 est globalement un excellent jeu, mais il n’a plus rien à voir avec l’esprit des Final Fantasy que nous avions adoré… Square a prit des risques en nous proposant une approche totalement nouvelle du RPG, c’est une attitude louable qui débouche sur une certaine réussite, mais c’est également triste puisque qu’elle engendre un virage dans l’orientation de la série, qui a défaut de plaire aux fans, satisfera un public nouveau et bien plus lucratif, euh pardon, je voulais nombreux… Les lois du marché ne laissent malheureusement guère de place aux sentiments des fans que sommes (ou que nous étions) Il n’en manque pourtant pas beaucoup pour que cet épisode soit pleinement satisfaisant (des vrai musiques nippones et un inventaire riche et évolutif, ce n’est pas trop demander quant même !) Mais nous n’avons peut être pas encore tout vu, car la cinématique de fin (très alléchante d’ailleurs) nous laisse sur un bien étrange « a suivre »… Un Final Fantasy XIII-3 serait-t-il dans les tuyaux ?... A moins qu’il ne s’agisse du mystérieux Final Fantasy Versus XIII ?... Une chose est sur, même déçus, on attend ca avec impatience, que voulez vous, on ne se refait pas.<o:p></o:p>
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Graphisme : 20 /20<o:p></o:p>
Jeu toujours aussi beau, Lightning toujours aussi belle !<o:p></o:p>
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Musique et son : 13 /20 <o:p></o:p>
Musiques encore pire que dans FF13, toujours pas d’Uematsu. Pas de voix japonaises non plus, que de l’anglais a l’accent américain, ca soul !<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 19 /20<o:p></o:p>
Réal de haute volée, belle direction artistique, mais trop peu de cinématique. Au niveau technique rien à redire, la mécanique est bien huilée<o:p></o:p>
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Jouabilité / Gameplay : 18 /20<o:p></o:p>
Actions variées, bonne fluidité et commandes intuitives. Du très bon travail.<o:p></o:p>
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Durée de vie : 18 /20<o:p></o:p>
Durée de l’histoire principale correcte avec pas mal de quête annexe<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 16 /20<o:p></o:p>
Sans être révolutionnaire, le scénario est au moins compréhensible. La mise en scène est bonne mais on attend plus d’un Final Fantasy.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 17 /20<o:p></o:p>
L’idée de pouvoir recruter et développer des monstre est cool. L’ensemble et toujours aussi agréable a jouer et offre une réelle liberté globale.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 17.3 /20
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Xenoblade Chronicles<o:p></o:p>
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Console : Wii <o:p></o:p>
Développeur : Monolith soft<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Genre : RPG parfait<o:p></o:p>
Année : 2011
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Il est des choses que nous n’espérions plus, comme par exemple avoir un jour un vrai jeu de rôle sur Wii. Oh nous n’étions pas très exigent, un bon ptit RPG sans prétentions nous aurait grandement satisfaits, tellement la pénurie pesée sur nos frêles épaule d’Otaku en manque. Mais c’était mal connaître nos amis de Kyoto, toujours a l’écoute de ses fans, Nintendo a demander a Monolith (qui leur appartient) de transposer leur saga des « Xéno-quelque chose » entamé sur PS2, sur notre bien aimée Wii : Autant vous mettre dans l’ambiance tout de suite, il en découle pour moi l’un des meilleurs, si ce n’est le meilleur, RPG auquel j’ai put jouer au cours de ma vie de gamer, Enorme !!!<o:p></o:p>
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Mékonis et Bionis, deux êtres géants à la puissance incommensurable se sont jadis affronté. De cette bataille titanesque qui les pétrifia tous les deux, sont né deux mondes bien distinct ; L’un sur Mékonis a vu naitre les Mékons, peuple mécanique et l’autre sur Bionis a vu l’avènement de plusieurs espèces biologiques dont celle des Homz. Plusieurs siècles ont passés mais la rivalité entre les deux mondes subsiste toujours. Les Mékons n’ont de cesse d’attaquer les Homz, pourtant cette guerre semble aller plus loin qu’une simple rivalité séculaire… Qu’en ai t’il vraiment ? Quelles sont les véritables motivations des Mékons ? A vous de le découvrir.<o:p></o:p>
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Niveau personnage, vous incarnez Shulk, un ptit gars sans histoire issue d’une colonie d’Homz habitant sur le pied de Bionis. Notre ami a la particularité d’être le seul pourvoir manier l’épée Monado, mystérieuse arme pouvant détruire les puissants Mékons. Shulk ne sera pas le seul à se lancer dans l’aventure, votre équipe se compose de trois personnages à l’écran et de quatre autres en réserves interchangeable a souhait selon les exigences de votre quête. Chaque personnage possède des caractéristiques uniques (et évolutives selon vos choix), polyvalence, attaque, défense, magie blanche ou noir : Les combinaisons sont très nombreuses. De plus, il est également possible de les customiser grâce au partage de compétence. Grace à cela et selon vos choix, un guerrier pourra apprendre des sorts de magicien et vis versa. Ce n’est pas tout, chaque personnage procède cinq traits de caractère qui vous est possible de développer comme bon vous semble. Chaque trait agit directement sur le comportement et les aptitudes en combat, prudent, casse cou, tête brulée, a vous de modeler votre équipe… Mais ce n’est pas fini !!! Vous pouvez aussi développer les affinités au sein de votre équipe, de ce fait si vous faites combattre ensemble des personnages ayant une forte affinité, ils seront plus efficaces… Au final, les possibilités d’évolution et de développement des personnages sont quasi infinies, quel régal. <o:p></o:p>
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Parlons à présent gameplay. Xénoblade vous propose d’explorer d’immenses zones comme bon vous semble. Libre a vous de poursuive l’objectif fixé par la trame principale, de développer vos personnage en trucidant la faune locale ou bien de faire l’une des innombrable quête annexe (nous y reviendrons) La maniabilité est très simple et très intuitive, vous pouvez choisir entre deux configuration : Wiimote + nunchuk ou manette classique (cette dernière étant recommandée) <o:p></o:p>
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Tous les monstres sont visibles sur la carte (pas d’apparition aléatoire) c’est donc a vous de choisir si vous voulez les affronter ou pas, même si certains monstres plus puissant que vous vous sentirons approcher et vous attaquerons que vous le vouliez ou non… la fuite s’impose alors. Le système de combat est pour le moins orignal : Une fois le premier coup donné il se déroule sans coupure et en temps réel. Vous contrôlez uniquement un personnage, les autres agissant en fonction de vos directives prédéfinies avant ou pendant le combat (via un système d’ordre) Toutes les taches possibles apparaissent en bas de l’écran, il vous suffit de sélectionnée la plus appropriée. Une attaque vide votre jauge d’action et vous devrez attendre qu’elle se remplisse (automatiquement) pour attaquer de nouveau. Au chapitre des originalités, il est possible d’exécuter des actions combinées entre les trois personnages présents au combat, cette attaque varie en fonction de la composition de votre trio. Ce système parait simple mais s’avère diablement efficace et procure un réel sentiment de maitrise des combats. Très agréable.<o:p></o:p>
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Outre les attributs d’un RPG classique, Xénoblade regorge d’une tonne d’activités annexes. Certaines ont pour simple but d’allonger la durée de jeu alors que d’autre vous serons précieuse pour bien avancer dans l’aventure. C’est le cas de l’inventaire pléthorique dont vous disposez : Armes, accessoires, tenue (coiffe, armure, gant, pantalon, bottes…) chaque personnage dispose de son propre équipement modifiable a souhait (chaque changement est visible sur le personnage et les combinaisons de tenue son quasi infinie, un peu a l’image de Dragon Quest 9) Les fan de mode apprécieront. Il vous est également possible de créer des Gemmes (via un éditeur très complet) qui vous permettront, selon plein de critères, d’améliorer chaque partie de votre équipement séparément ! (magie, force, endurance, vitesse…) Imaginez encore une fois le nombre de possibilité : tout simplement énorme. Dans le genre j’en fais toujours plus, Via le sociogramme, Xénoblade vous propose de participer a l’amélioration des relations entre les personnages non joueur du jeu (en échange de bonus ou de point d’exp) Vous en voulez encore ? Et bien sachez que dans le cadre d’une quête spéciale qui court tout au long du jeu notre RPG se transforme en une sorte de Simcity dans lequel il vous faudra récolter des ressources afin de reconstruire une ville détruite… rien que ca ! Toujours pas rassasié ? Bon ok, il est également possible de compléter « l’encyclopédie » en récoltant tous les objets dissimulé dans chaque zone, certain son très rare et demanderons beaucoup de patience, les collectionneurs en herbe seront ravis !<o:p></o:p>
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Si le contenu vous parait déjà gargantuesque, sachez que vous n’avez encore rien vu puisque le jeu vous propose en plus de la trame principale un nombre incalculable de quête annexes. Celle-ci on pour but de vous faire gagner des accessoires ou de l’expérience. Même si elles ne sont pas nécessaires pour terminer le jeu, elles vous y aideront grandement ! Les taches dont vous devrez vous acquitter sont très variées : tuer un monstre unique, rechercher une personne ou un objet, réconcilier des gens… Pour vous donner un ordre d’idée il y en a plus de 470 ! Oui oui 470 !!! Tout simplement incroyable.<o:p></o:p>
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Vous l’aurez comprit, Xénoblade nous propose une durée de vie infinie, mais ce n’est pas tout, Monolith nous livre une réalisation de haute volée. Le level design est somptueux et nous offre une profondeur d’affichage jamais vu sur Wii (et comparable a un FF13 sur PS3, c’est dire !) La bande son est extraordinaire et varié, cela fessait longtemps que l’on n’avait pas vu ca, un véritable délice auditif ! Ajoutez à cela un scénario en béton, riche et très accrocheur et vous obtenez un tableau idyllique. Enfin, au rayon des bonnes idées qui ne gâche riens, notez que les voix japonaise ont étaient conservée. (Dieu existe et il aime les RPG !)<o:p></o:p>
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Aller soyons lucide, le jeu parfait n’existe pas et bien que Xénoblade s’en rapproche, il souffre tout de même de quelque petits défauts. Outre le fait qu’on puisse lui reprocher d’être trop directif (seulement en ce qui concerne la trame principale) Il faut reconnaître que certaines textures graphiques sont un peu baveuses. Ceci est flagrant sur le visage des personnages, donnant une impression de flou pas très heureuse. Toujours en ce qui concerne les personnages, leur animation est bizarre et donne des mouvements parfois très peu naturels (saut et chute libre par exemple) Lors de la première prise en main du jeu, ces détails visuels nous sautent aux yeux et peut en rebuter certain, mais vraiment il serait dramatique de passer a coter de Xénoblade a cause de ces petites choses qui s’estompent rapidement au fur et a mesure qu’on s’y habitue. Enfin, puisqu’on est des joueurs exigent, on pourra reprocher un contenus finalement trop important (j’aurais jamais cru dire ca un jour !) il y a tellement a faire qu’il parait strictement impossible de finir le jeu a 100%. (D’autant que je ne vous ai pas tout dit ce qu’il était possible de faire… ce jeu est inépuisable et chronophage)<o:p></o:p>
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Et bé, vous l’aurez devinez, Xénoblade ne m’a pas laisser indifférent et a même su émoustiller mes neurones de vieux guerrier du jeu vidéo. Quel pied ! Non mais sérieux ! La ou les grandes licences rivalisent (pas forcement a bon escient) pour nous sortir des pseudos innovations qui se veulent révolutionner (de travers) le genre RPG, Xénoblade Chronicles part d’une base classique mais solide et bâtit la dessus un monument d’une profondeur rarement vue. Réinterprétant les fondamentaux du jeu de rôle sans jamais les trahir, offrant des innovations astucieuses sans non plus chambouler les habitudes du RPGiste, Ce jeu extraordinaire réussit le tour de force de conserver une homogénéité parfaite malgré l’ampleur de tout ce qu’il est possible d’y faire. Vraiment, il serait totalement absurde pour les amateurs du genre de passer à coter d’une telle jouissance addictive. Ce qui est encore plus fort, c’est que le gameplay a la fois simple et bien pensé conviendra parfaitement aux néophytes, qui seront sans doutes convertis aux plaisirs exquis du RPG sauce Nippone (je me lèche les babines). Lors de la sortie d’un certain Final Fantasy XIII, je déplorais la fin des RPG tel que nous les aimions jadis, mais grâce a Monolith et Nintendo, le genre subsiste, mieux encore, il est sublimé comme jamais.<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Hors mis quelques textures baveuse notamment sur le visage des personnages, c’est splendide !<o:p></o:p>
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Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>
Du très haut niveau, les musiques sont magistrales ! Même si les voix ne sont pas en Français, il est possible de mettre les voix Japonaises éhéh.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
La Wii n’en fini plus de nous étonner, énorme travail des développeurs. L’animation générale est parfaite hors mis certains mouvement des personnages.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 18 /20<o:p></o:p>
Maniabilité facile et gameplay varié sont au programme. Xénoblade sait prendre soin de ses invités.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 20 /20 <o:p></o:p>
Plus de 180 heures pour a part (Ma Wii n’y a d’ailleurs pas résisté R.I.P Wiitsukao) et je suis loin d’avoir tout fini. Ce jeu mérite un 21/20… inégalable !<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 19 /20<o:p></o:p>
Nous passons par toutes les émotions sans jamais tomber dans le cliché, Toutes les ficelles des RPG nippon sont là. Dommage qu’il n’y est pas de vraies cinématiques.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>
Même partant d’une base classique, Xénoblade apporte son lot d’innovations par petites touches très bien vues. Plus vous jouez, plus vous prenez du plaisir et plus vous avez envi d’y retourner.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 18.5 /20
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