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    THE  LAST  STORY<o:p></o:p>

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    Console : Wii<o:p></o:p>

    Développeur : Mistwalker<o:p></o:p>

    Editeur : Nintendo<o:p></o:p>

    Genre : Action RPG<o:p></o:p>

    Année : 2012


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    Les plus vieux d’entre vous se souviennent peut être du jour ou la fameuse série des Final Fantasy a déserté les consoles Nintendo au profit exclusif de le PlayStation première du nom. Tout les Nintendomaniacs on vu passer sous leur nez des titres majeurs comme FF7 ou FF10… Tragique ! Depuis, on c’est pris a rêver que la License de Square revienne un jour sur nos consoles frappées du big N. Et bien vous savez quoi ? Le miracle a eu lieu mais pas comme on s’y attendait. Le créateur des Final Fantasy, Hironobu Sakaguchi, a depuis longtemps émis le souhait de développer sur Wii, il a donc décidé de créer un nouveau titre spécialement développé pour vous : The Last Story ! Elle n’est pas belle la vie ? <o:p></o:p>

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    Dans la pure lignée des premières créations de Sakaguchi, The Last Story (TLS) vous met dans la peau d’un jeune mercenaire : Zael. Rêvant de devenir Chevalier, lui et ses alliés débarquent sur l’ile de Lazulis, seule région épargner par un étrange fléau qui ravage le reste de la terre. Très vite la petite bande va se retrouver au centre d’une intrigue politique et militaire dans laquelle ils semblent n’être que de simples pions… d’autant qu’un mystérieux pouvoir s’empare de Zael à son insu, attisant ainsi les plus vives convoitises. Amis et ennemis, amour et trahisons, le chemin de Zael vers son rêve sera long et riche en rebondissements.<o:p></o:p>

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    TLS est un action RPG, ce qui veut dire que les combats sont en temps réel. Vous pouvez avoir jusqu'à sept personnages dans votre équipe (et jouable a l’écran) mais seul le héros, Zael, est Jouable. Cela n’est finalement pas très gênant puisque tout le gameplay des combats repose justement sur votre capacité à commander et protéger vos équipiers. Zael possède le pouvoir d’attirer sur lui les ennemis, libérant ainsi ses amis de tous dangers et leur permettant d’exécuter plus d’attaque, plus rapidement. Ce système vous propose donc de donner des directives à vos camarades ; A vous donc d’exploiter au mieux les talents de chacun en fonction des points faibles de l’adversaire. Outre les affrontements plutôt bien faits et accrocheurs, TLS sait varier les plaisirs avec différents gameplay qui vous surprendrons tous au long du jeu : Phase de shoot, d’infiltration, de combat, ou de fuite, sans oublier quelques scènes en Quick time évents. Chacun y trouvera son compte donc !<o:p></o:p>

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    Au niveau visuel et sonore, TLS  distille une ambiance très réussie. Sans être le plus beau jeu de la Wii, il fait preuve d’ambition en la matière, ce qui le place très en dessus de la moyenne. Autant vous le dire de suite, vous n’échapperez pas aux traditionnelles textures baveuses propre a la Wii, mais globalement le travail est bien réalisé (Notamment dans la ville de Lazulis qui est d’une richesse et d’un détail rarement vu) En matière de son, TLS nous offre une bonne surprise : Sakaguchi n’est pas venu seul puisqu’il a eu la bonne idée de demander a son pote Nobuo Uematsu (compositeur de la série Final Fantasy) d’imaginer l’ambiance sonore du jeu ! Attendez vous donc a du très haut niveau ! Et ca on aime, oh oui on aime ! Enfin, Même si il est regrettable que les voix Japonaises n’est pas étaient conservées, le doublage Anglais et de très bonne qualité.<o:p></o:p>

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    C’est sur le plan technique que The Last Story affiche le plus de faiblesse. Sakaguchi a voulut un jeu ambitieux, mais a certains moments la Wii a du mal à suivre. Même si rien n’est catastrophique, attendez-vous à faire face a quelques (rares) ralentissements lorsque l’action est trop intense, à voir un peu de clipping (affichage tardif des textures) ou a déplorer quelques bugs de collision. Lors de certains combats dans des lieux confinés, il arrive que les mouvements de camera deviennent bizarres, vous obligeant à lutter afin de vous remettre dans le droit chemin… Enervant ! Mais rassurez vous, au vu de l’agrément général que procure le jeu, il ne vous sera pas difficile de passer outre ses petits défauts.<o:p></o:p>

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    Au chapitre des bonnes idées, TLS nous permet de personnaliser l’apparence vestimentaire de nos personnages de manière très complète (choix des équipements, pièces d’armure et choix des couleurs) Je sais que la plupart des gens se foutent de ce genre d’option, mais pour certains, et j’en fais parti, c’est très important et ce n’est pas notre camarade Baviol qui me contredira (spéciale dédicace) En plus de cet agréable aspect créatif, En droppant des items sur les mob, vous pourrez upper chacun des équipements ou armes (désolé pour ceux qui ne parle le langage RPGiste) Autre originalité du soft, vous aurez l’occasion a certains endroits de faire apparaître a votre guise autant d’ennemis que vous voudrez : Les amateurs de farming vont se régaler a frapper du streum pendant des heures pour up leurs personnages. Enfin, en plus de l’aventure principale, TLS vous donne l’occasion d’accomplir de nombreuses quêtes annexes qui vous permettrons parfois d’acquérir des objets rares et uniques.<o:p></o:p>

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    Aller, puisqu’il faut y passer aussi, parlons des choses qui fâchent : Se situant dans la (mauvaise) tendance actuelle du RPG, The Last Story se montre souvent trop directif. Hors mis l’exploration de la ville, l’aventure se résume a visiter des lieux au potentiel exploratif certes présent mais très limiter. La priorité est donnée à l’action. L’action justement, même si le système de combat est plutôt bien pensé, il donne parfois l’impression de ne pas tout maitriser, il ne vous faudra pas trop de l’aventure entière pour tout maitriser sur le bout des doigts. Enfin dernier regret : Il n’y a pas de journal de quête ! Ce qui signifie que lorsque quelqu’un vous confira une mission il faudra vous souvenir de tout ! Il est donc indispensable d’avoir une bonne mémoire, mangez du poisson !<o:p></o:p>

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    Quelle belle réalisation que ce jeu ! Les amateurs de RPG devraient facilement y trouver leur compte. Les plus anciens d’entre vous verserons une petite larme en voyant au générique les noms de Sakaguchi et Uematsu de nouveau associé, mais attention ce duo n’est pas seulement la pour la photo puisque leur travail est a la hauteur de leur réputation. On reconnaît bien la patte présente dans les tous premier Final Fantasy, l’extraordinaire qualité narrative made in Sakaguchi n’est plus a démontrer, et The Last Story en est une superbe illustration. Malgré quelques petit défauts liés sans doute a un excès d’optimisme des développeurs, tout les ingrédients d’un bon jeu de rôle sont la, personnages attachant, scénario convainquant, direction artistique cohérente, univers profond et système de combat efficace ! Que demander de plus ?... Ben vous êtes encore la ? … Allez, filez vite acheter The Last Story, il en va de votre Karma de RPGiste !!<o:p></o:p>

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    Graphismes : 17 /20<o:p></o:p>

    Au delà des défauts inhérents aux capacités de la Wii, TLS nous propose une ambiance visuelle très réussie. Le chara-design n’est pas en reste et est lui aussi très accrocheur.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 17 /20<o:p></o:p>

    Uematsu est à la baguette ! Alléluia ! Après avoir cruellement manqué sur les deux Final Fantasy 13, il fait son retour et nous signe une bande originale dans un style qu’on lui découvre mais qui lui réussit bien ! A noter les très bons doublages en Anglais (les perso n’ont pas l’accent américain… Ouf !)<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 16 /20<o:p></o:p>

    Sakaguchi a vu les choses en grand (personne ne lui a dit qu’il n’était pas sur PS3 ?) On sent que le DVD est bien remplit et la Wii a parfois du mal. Mais ces désagréments sont plus du a un excès de générosité des développeurs plutôt qu’a une incompétence. On leur pardonne sans problème.<o:p></o:p>

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    Jouabilité / Gameplay : 18 /20<o:p></o:p>

    Hors mis le système de combat qui demande un temps d’adaptation, tout reste facile et accessible. TLS sait nous surprendre en proposant plusieurs sortes de gameplay tout au long de l’aventure.<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 18 /20<o:p></o:p>

    Comptez 30 heures de jeu, plus la possibilité de le recommencer une deuxième fois avec tous vos attributs obtenus lors de la première partie. Sans oublier le mode online qui offre l’occasion de s’adonner aux joies du jeu a plusieurs et de récupérer des items spéciaux.<o:p></o:p>

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    Scénario et Mise en scène : 19 /20<o:p></o:p>

    Narration magistrale ! Sakaguchi n’a pas perdu son mojo en la matière. L’humour et le deuxième degré sont omniprésents dans les dialogues. Vous aurez droit à quelques cinématiques très bien réalisées.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>

    The Last Story reprend les codes d’un RPG classique en lui a ajoutant un système de combat unique. Original de part sa narration de haute volée, le plaisir de jeu est permanant si bien qu’une fois fini vous aurez envi de vous y replonger à nouveau.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 17,6 /20


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    2 commentaires
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    L'heure du duel lancé par Jean-Jean est finalement arrivée. Il est 20h46 et déjà Nuts pénètre dans la carrière de sucre. Levant la tête, il voit le soleil déclinant atteindre la pointe du mont Fuji-Yama…<o:p></o:p>

    20h47 ! Instantanément un puissant gong retentis, rapidement une fanfare de mulot sort de la carrière en jouant une musique aussi forte que fausse. Entourant Nuts, l'orchestre Cacophonique joue de plus belle dans un brouhaha indescriptible !<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Sortant de derrière la fanfare, Nuts voit apparaître Jean-Jean, vêtu dans une combinaison moulante a paillette rose et or, ornée de dizaine de froufrou en fourrure pendant ça et la. Tenant dans son aile un micro, et alors que les projecteurs se braque sur lui (oui d'autre mulots assure la partie technique du spectacle depuis les arbres alentour), le pingouin se met à chanter :

    <o:p></o:p><o:p></o:p> 

    Bienvenue a toi, mon rival !

    En ce lieu nous allons nous affronter<o:p></o:p>

    L'idée de la défaite m'est bien égale<o:p></o:p>

    Et c'est tes fesses que je vais botter !<o:p></o:p>

    Oh yeeeeeaaaaah !!!<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Jean-Jean se lance alors dans un solo de claquettes, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il danse comme un pingouin. Nuts est tétaniser par cette vision absurde qui s'offre a lui, la combinaison ultra moulante de son rival ne lui laisse que peu de liberté de mouvement et a part quelques mouvements de pates et de l'épaule droite (oui le pingouin ne bouge jamais l'épaule gauche, question de principe) Jean-Jean remue a peine... du moins pas encore...

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    Devant le peu d'émotion que suscite son accueil dans le regard de Nuts, il décide d'exécuter sa spécialité... C'est la que le drame aller avoir lieu...

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    Lançant son micro a travers la tète d'une grenouille qui passait par là (bien fait), c'est en fixant Nuts avec un regard confiant qu'il débute sa manœuvre sous les regards figé de crainte des mulots musicien  a présent silencieux. Après trois pas en avant, et un saut prodigieux de <st1:metricconverter productid="10 cm" w:st="on">10 cm</st1:metricconverter>, Jean-Jean tente et réussit un sublime grand écart... Tous réalisèrent alors que même le plus beau des gestes peut aussi être d'une laideur absolue. <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Dans un craquement à faire vibrer le mont Fuji-Yama, sous la pression de l'embonpoint du pingouin, en une fraction de seconde, une profonde déchirure partant de l'entre jambe et remontant jusqu'à son torse vient littéralement faire exploser la flamboyante combinaison de Jean-Jean. C'est dans le déluge de paillettes rose et or projetées a  plusieurs dizaine de mètre autour de lui que s'achève le numéro...

    <o:p></o:p> 

     

    Un silence gêné tombe aussitôt sur la carrière, sans un bruit, l'orchestre de mulot se retire, en même temps que les projecteurs s'éteignent. Jean-Jean quant a lui reste Figé dans sa position de grand écart, le regard dans le vide et la bedaine a l'air.

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    Immobile lui aussi, le visage couvert des paillettes profondément incruster dans ses poils tant l'impact a était violent... Nuts observe son rival dans un profond silence… Le temps c'est arrêté.<o:p></o:p>

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    Les secondes, les minutes passes... Que faire ? Se demande L’écureuil. "Il ne bouge plus, sans doute la honte aura eu raison de lui ?" pense t'il en voyant son rival toujours immobile. "Je ferais mieux de partir..."

     

    Tournant les talons, c'est avec la crinière flottant à l'air, que l'écureuil masqué s'apprête à laisser son ennemi du soir reposer avec dignité... Mais une voix faible l'interpelle alors.

    <o:p></o:p>

            - Ou vas-tu comme ça ?<o:p></o:p>

    Se retournant Nuts constate que Jean-Jean n'est pas mort.<o:p></o:p>

            - Je crois que ce n'est pas la peine d'en rajouter... Tu t'es autodétruit pingouin... adieu.<o:p></o:p>

            - Non je ne veux d'une victoire par forfait... laisse moi une chance de te montrer ma valeur.<o:p></o:p>

            - ... Autant te dire que mon image de toi ne sera plus jamais la même après ce qui vient de se passer. Déplore Nuts en apercevant au bas de la déchirure le slip a imprimé Koala de Jean-Jean. Mais nous avons tous droit a une seconde chance, c’est d’accord, relève-toi et affronte-moi.<o:p></o:p>

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    <o:p></o:p>

     

     

    Soudainement le regard du Pingouin semble briller de nouveau, revigorer il tente de se relever... Restait plusieurs minutes dans cette inconfortable position, ses pattes son tellement engourdies qu'il ne les sent même plus, aussi c'est au terme d'une pénible roulade sur le coté qu'il parvient tant bien que mal à se redresser en vacillant dans la brise du soir qui vient de se lever au dessus de la carrière...<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

            - Très bien Jean-Jean, je te laisse le choix des armes...

    <o:p></o:p>

            - Je n'en attendais pas moins de ta part Nuts... Je te propose donc de nous affronter dans un lancer de nain !!!<o:p></o:p>

            - Un lancer de nain ? Mais qu'est ce que c'est ?<o:p></o:p>

            - Ben quoi ?! Ça consiste à lancer un nain le plus loin possible, c'est simple non ? <o:p></o:p>

                - ... Euh oui, mais c'est quoi un nain ? demande Nuts incrédule.<o:p></o:p>

                - Ah je vois, tu n'as sans doute jamais regardé fort boyard à la télévision... Dans ce cas je comprends tes interrogations, aussi je vais t'expliquer : Un nain est une personne de petite taille !<o:p></o:p>

            - Comme une fourmi ?<o:p></o:p>

            - Oui... euh non ! Les fourmis son petite mais pas naine.<o:p></o:p>

            - Mais tu as dit que c'était des personnes de petite taille !<o:p></o:p>

            - oui mais par rapport aux autres de la même espèce ! Par exemple un nain hamster, et plus grand qu'une grande fourmi !<o:p></o:p>

            - Ben alors le hamster nain n'est pas petit puisqu'il est plus grand !<o:p></o:p>

            - Mais si par rapport au autre hamster ! Une grande fourmi sera toujours plus grande qu'un hamster nain ! C'est une question de proportion c'est simple non ?<o:p></o:p>

                - Ah je comprends, en fait quant tu dis grande fourmi, tu parle d'une fourmi géante c'est ça ?<o:p></o:p>

            - Mais tu le fait exprès ou quoi ? Tu ne comprends rien !<o:p></o:p>

                - Désolé mon cerveau est un peu embrumé, j'ai eu une dure journée a la fabrique de Nutella... notre fournisseur c'est tromper et nous a livrer des noix au lieu des noisettes habituelles et…<o:p></o:p>

                - Oh mon dieu ! Mais comment avaient vous fait ?! S'inquiète sincèrement Jean-Jean.<o:p></o:p>

            - Et bien nous avons décidé de créer une nouvelle marque... le Noitella !<o:p></o:p>

            - C'est bon ?<o:p></o:p>

            - Immonde...<o:p></o:p>

                - Ah c'est terrible... Mais ne change pas de sujet et passons a l'action !! Appuyant sur une télécommande, Jean-Jean fait alors apparaître derrière lui une énorme cage. Je te présente les nains que nous allons lancer !!! Hurle alors fièrement le pingouin alors que Nuts en découvre le contenu.<o:p></o:p>

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            - ...mais... c'est des grenouilles...

    <o:p></o:p>

                - Oui ben hein, tu crois que c'est facile de trouver des nains toi ? On fera avec ! D'autant que ce ne sont pas n'importe quelle grenouille... Semble se réjouir Jean-Jean dans un rire strident.<o:p></o:p>

                - Sacré non d'une pipe ! Se dit alors Nuts en découvrant en face de lui ses cinq filles, vêtue d'une combinaison semblable à celle de son ennemi et munie de deux poignée sur le dos.<o:p></o:p>

                - Alors l'écureuil ?! Tu semble surprit ! Auras-tu assez de courage pour remporter ce duel au détriment de ta propre famille ? Jubile le cruel Jean-Jean devant le regard désabuser et confus de Nuts, prit au piège de ce terrible dilemme... a suivre... <o:p></o:p>

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    Petit cours de rattrapage pour Nuts :<o:p></o:p>

     


    <<< CHAPITRE 4                                        CHAPITRE 6 >>>

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    Plusieurs jours ont passés depuis la rencontre avec ce mystérieux individu. Depuis, Nuts n'a de cesse de se poser une question. Comment cela a-t-il put se produire ? Quel est son but ?... il ne comprenait pas, pourquoi lui ?... Mais pourquoi cette maudite grenouille l'avait t'elle choisie comme seul et unique parent !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Assise sur le canapé en train de regarder un épisode de Bob l'éponge, tout en mangeant des calamars panés, la petite batracienne lui demande alors :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

                - Dit Môman tu me passe un truc à boire ?<o:p></o:p>

                - Je ne suis pas ta bonne, et encore moins ta mère !<o:p></o:p>

                - Tu préfère que je t'appelle Pôpa ?<o:p></o:p>

                - Non ! Appelle-moi pas du tout, ça sera plus simple.<o:p></o:p>

                - Comme tu veux "Pas du tout"...<o:p></o:p>

                - T_T<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Excéder Nuts s'en retourne vers la cuisine, c'est alors que quelqu'un sonne à sa porte.<o:p></o:p>

                - Ouvre Nuts c'est moi Bernard !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Se précipitant, Nuts découvre son ami à bout de souffle et au bord de l'asphyxie.<o:p></o:p>

                - Mais que se passe-t-il Nanar ?<o:p></o:p>

                - Nuts, je viens de me souvenir d'un truc !!! Tu sais l'autre jour dans la prairie ?<o:p></o:p>

                - Oui et bien ?<o:p></o:p>

                - Je me suis rappelé qu'il y avait un oiseau bizarre qui nous a parlé !<o:p></o:p>

                - ... Un oiseau bizarre ? ...Mais oui maintenant que tu le dit, je m'en souviens. Ce n'était pas un Faucon ?<o:p></o:p>

                     - Non ce n'est pas ça !... Euh, un hibou non ?<o:p></o:p>

                     - Non plus ! C'est un truc plus rare que ça ! remarque Nuts.<o:p></o:p>

                     - ... Ah je sais !!! Semble avoir trouvé Nanar... C'était un tigre du Bengale !<o:p></o:p>

                - Mais oui, saperlipopette, tu as raison !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Alors que tous deux s'enthousiasment, une voix venant du salon les ramènent à la réalité.<o:p></o:p>

                    - Mais non pas du tout, c'est un Pingouin ! Cria la grenouille depuis le canapé sans même se retourner.<o:p></o:p>

    Un lourd silence s'abattis alors sur les deux amis, qui venaient enfin de se souvenir... En effet la grenouille disait vrai, John-John est bel et bien un pingouin !<o:p></o:p>

                    - Mais non pas du tout ! C'est Jean-Jean pas John-John, Pas du tout !!! Hurle la grenouille en trifouillant la télécommande de la télé.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Enerver de toujours de faire reprendre, Nuts sorts alors de ses gonds.<o:p></o:p>

                - Alors toi la grenouille écoute moi bien, d'une, tu va arrêter de toucher la télécommande avec tes pates toutes grasses et de deux, Je ne m'appelle pas du tout, pas du tout ok ?<o:p></o:p>

                - Oui Môman !<o:p></o:p>

                - Et je ne suis pas ta Mère !!!<o:p></o:p>

                - D’accord Pôpa<o:p></o:p>

                     - J'abandonne... Conclue Nuts en s'appuyant sur l'épaule de Nanar. Essuyant ses larmes de dépit, notre écureuil masqué pose alors le regard sur une enveloppe qui semble avoir était glissée sous la porte d'entrée. Se jetant dessus il en découvre alors son contenu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

                     - Qu'est ce que c'est ? demande Nanar.<o:p></o:p>

                     - Ca m'a tout l'air d'être une enveloppe cartonnée... au vu de l'aspect, sa qualité est plutôt bonne, du 120g je dirais, par contre le papier parait moins haut de gamme... sans doute une feuille de brouillon... Réponds Nuts en observant la feuille sous tous les angles<o:p></o:p>

                     - Il voulait parler de son contenu ! Remarque la grenouille toujours depuis le canapé.<o:p></o:p>

                    - Toi la grenouille je vais te bouffer !!! S'énerve Nuts an se précipitant sur elle, avant que Bernard ne parvienne à le retenir.<o:p></o:p>

                     - Calme toi Nuts et dit moi ce qui est écrit, je n'ai pas mes lunettes.<o:p></o:p>

                     - Ok ok, répond l'écureuil, non sans un dernier regard meurtrier adressé au batracien. Bon c'est une lettre de Jean-Jean justement (comme par hasard) ! Voila ce qu'il dit :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    « Nuts l'écureuil Bandé, tu m'as humilié l'autre jour dans la prairie.<o:p></o:p>

    Je ne peux supporter un tel affront de ta part. Je te lance un défi<o:p></o:p>

    de super héros afin de réparer ce tors. Rendez vous demain dans<o:p></o:p>

    la carrière de sucre, lorsque les derniers rayons du soleil auront<o:p></o:p>

    atteint la cime du mont Fuji-Yama... (Environs 20h47 quoi) Vient seul,<o:p></o:p>

    sinon moi je viens pas !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    Signé Jean-Jean<o:p></o:p>

    (PS: évite de manger avant, je ne veux pas d'un duel facile avec un ballonné) »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p></o:p>

                - Oh mon dieu ! S'exclame Bernard avec surprise.<o:p></o:p>

                - Oui je sais c'est terrible... Mais je vais devoir passer outre...<o:p></o:p>

                - Ce Jean-Jean n'a pas de cœur, te pousser à te battre le ventre vide... Quel monstre.<o:p></o:p>

                - Ne t'inquiète pas Nanar, j'ai déjà vécu des situations bien pire. Notamment la fois ou j'ai du porter secours au chat de la voisine. Le malheureux c'est prit pour une marque lessive et c'était enfermé dans la machine à laver... Il ne s'en est jamais vraiment remis... Mais peut importe ! Ma décision est prise, demain je ferais face a cet oiseau bizarre (C'est un pingouin ! lance la grenouille en aparté) ... et par les noisettes de Nuts, je remporterai  ce défi !<o:p></o:p>

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    C'est à cet instant de gloire intense que la sonnette retentie a nouveau. Aussitôt, la grenouille saute de son canapé en hurlant au travers de la maison<o:p></o:p>

                - C'est pour moi ! C'est pour moi !<o:p></o:p>

    Alors qu’elle ouvre la porte, Nuts et Bernard voient apparaître devant eux quatre grenouilles en tous points identiques à leur pensionnaire actuelle.<o:p></o:p>

                     - Salut les filles, je suis contente de vous voir ! Bienvenue a la maison !!<o:p></o:p>

                     - Comment ça bienvenue a la maison ? S'offusque aussitôt Nuts.<o:p></o:p>

                - Ben oui Pôpa, je te présente mes quatre sœurs jumelles... Tes filles quoi ^^<o:p></o:p>

    A peine le pauvre écureuil a-t-il le temps de réaliser que déjà, la nuée de grenouille se jette sur lui.<o:p></o:p>

                - Pôpa !!! Môman !!! Pôpa !!! Pas du tout !!! Môman !!!<o:p></o:p>

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    A présent écrouler au sol, immobile le regard dans le vide, Nuts se lamente alors qu’une larme perle sur sa moustache.<o:p></o:p>

                "Mais qu'ai-je fait pour mériter ça ? T_T"<o:p></o:p>

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    <<< CHAPITRE 3                                        CHAPITRE 5 >>>



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    STAR WARS<o:p></o:p>

    Le pouvoir de la force II<o:p></o:p>

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    Console : PS3<o:p></o:p>

    Développeur : Lucas Art<o:p></o:p>

    Editeur : Activision<o:p></o:p>

    Genre : Beat them all (massacre de Storm Trooper)<o:p></o:p>

    Année : 2010


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    On le sait tous, les jeux sous licence ne sont généralement pas des chefs d’œuvre. Pourtant les créations issues de l’univers Star Wars s’en sorte plutôt bien, et donnent des jeux souvent très agréables. Mais il arrive qu’il y ait des exceptions dans les exceptions, et le pouvoir de la force 2 pourrait bien en être un exemple…<o:p></o:p>

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    Dans Le pouvoir de la force 2 (LPF2) vous incarnez Starkiller, un jeune Sith repentis, ancien disciple de Dark Vador. Dès le début de l’histoire, un trouble subsiste dans son esprit quant à sa réelle identité. En effet selon Vador, le Starkiller que vous incarnez n’est qu’un clone de l’original qui a disparut. Pourtant ses souvenirs son bien réels si bien que même lui ne sait pas si il est un original ou une copie. On imagine dès cet instant que le scénario du jeu sera basé sur cette quête d’identité… Et bien non, car en fait, il n’y a pas vraiment de scénario… nous y reviendrons.<o:p></o:p>

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    LPF2 est un beat them all pur et dur, ce qui signifie que vous devrez vous bastonner avec tout ce que l’armée impériale a en stock… Des centaines de pauvres petits Storm-Troopers vont y laisser la vie. Le gameplay est simpliste et repose sur deux axes : d’une part l’utilisation des arts Jedi (sabre laser, manipulation mentale) mais aussi l’utilisation des armes Sith (projection d’éclair, déplacement d’objets ou d’ennemi) Et oui, Starkiller est moitié et moitié Sith, on comprend mieux pourquoi il est un peu paumé dans sa tête le garçon !<o:p></o:p>

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    Le jeu est ultra répétitif, les ennemis (très peu variés) arrivent par vagues successives. A vous donc de vous en débarrasser en usant de vos attributs. La première chose que l’on ressent c’est la sensation de force que dégage le héros. Vador l’a bien formé, si bien que les pauvres Storm-Troopers en prennent plein la tête. Même si il est plutôt jouissif d’avancer en taillant tout le monde a coup de sabre laser ou en les faisant voler dans tous les sens, force est de constater que l’intérêt du titre trouve rapidement ses limites. Tout est prétexte au massacre de masse, l’action est trop facile, et au final on fait toujours la même chose… Très chiant donc !<o:p></o:p>

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    Visuellement, LPF2 sauve un peu les meubles. A défaut d’être somptueux, les graphismes retranscrivent a merveille l’univers Star Wars (Enfin, notez quant même qu’il y a que trois monde différents…) Autre point positif : Les musiques bien sur ! Evidement la bande originale de John Williams a était conservée (ouf) vous retrouverez ainsi tous les thèmes Star Wars que nous aimons tant. Niveau doublage, or mis la voix Française de Dark Vador (la même que dans les films !) le reste est très approximatif et pas immersif pour un sous… Vraiment très moyen tout ça.<o:p></o:p>

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    Sur le plan technique, LPF2 ne casse pas trois pattes à un droïde. Quelques bug d’affichage sont à déplorer, ainsi que des bugs de position très pénible : il arrive parfois que votre personnage se bloc contre un mur ou soit éjecter d’une plate forme par un ennemi ! La gestion des cameras est elle aussi très moyenne, il devient vite difficile de suivre l’action dans les endroits étroits, ou de se retrouver dos au combat et de s’en prendre plein la tête en essayer de se retourner. Tout cela est très agaçant.<o:p></o:p>

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    Au chapitre des déceptions (oui encore du négatif) on notera une mise en scène minimum et surtout un scénario incroyablement pauvre qui se résume a une phrase : Je veux retrouver ma copine !... A aucun moment on y croit, si bien qu’on en vient à se demander s’il est bien utile de massacrer tant de monde pour ça ! Les scènes d’actions sont parfois ponctuées de phases de plate forme… Alors ok, Starkiller est doué lorsqu’il s’agit de massacrer tout le monde mais quant il faut faire preuve d’agilité c’est une catastrophe. La gestion des sauts est merdique et atteint son apothéose lors d’un combat final absolument insupportable ! Enfin, mention spéciale pour la durée de vie, attention suspens… 4 heures de jeu ! Et oui seulement 4 heures… Ca peut paraître court mais au final c’est bien assez long pour un jeu aussi pauvre.<o:p></o:p>

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    Au final, même si LPF2 propose quelque bonnes idée (chute libre par exemple… encore que) le tout reste vraiment trop moyen pour espérer convaincre. Même les plus grands fans de Star Wars seront déçus. D’ailleurs, l’univers Star Wars est la seule chose qui lui épargne le statue de grosse daube et la présence de Dark Vador au casting suffit a un peu relever le niveau. Starkiller a le charisme d’un légionnaire décérébré ! Un conseil, une fois le dernier combat gagner, il est possible de choisir entre la fin de la force et la fin du coter obscure… Optez pour la seconde afin d’achever le jeu sur une bonne note : Après avoir tué sa copine et son maître, le nouveau disciple de Dark Vador tue Starkiller d’un coup de sabre dans le dos. Pas très glorieux, mais après nous avoir imposé un jeu aussi décevant, il ne méritait que ca ! Dark Vador forever !!!<o:p></o:p>

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    Graphisme : 15 /20<o:p></o:p>

    L’un des rares points positifs, L’univers Star Wars est très bien rendu.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>

    Bande son originale de John Williams parfaite (et ça les développeurs n’y sont pour rien). Niveau doublage, même si tout est en Français, les dialogues ne sont pas très convaincants.<o:p></o:p>

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    Réalisation et animation : 13 /20<o:p></o:p>

    On ne peu pas dire que ce jeu soit très ambitieux sur le plan technique, pourtant il trouve le moyen de nous plomber avec quelques bugs basics et des cameras parfois capricieuses.<o:p></o:p>

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    Jouabilité / Gameplay : 10 /20<o:p></o:p>

    Tout se résume en deux mots : Bourinage et répétitif. Les phases de plate formes sont tout simplement insupportables tant elles sont imprécises.<o:p></o:p>

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    Durée de vie : 5 /20<o:p></o:p>

    Seulement 4 heures, c’est misérable mais ça suffit tant on en redemande pas.<o:p></o:p>

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    Scénarios et mise en scène : 10 /20<o:p></o:p>

    Scénario navrant. Quelques scènes spectaculaires : LPF2 en fait un minimum.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 8 /20<o:p></o:p>

    Objectivement, la seule réelle qualité de ce jeu est d’être estampiller Star Wars. L’ensemble est bien trop moyen pour prétendre a quoi que soit.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 11 /20


     

     



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