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INAZUMA ELEVEN<o:p></o:p>
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Console : Nintendo DS<o:p></o:p>
Développeur : Level-5<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Année : 2011<o:p></o:p>
Genre : jeux de rôle / sport
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Level-5 qui se met au foot, j’ai tout de suite voulu testé pour voir comment les créateurs de Professeur Layton s’étaient débrouillés pour passer des énigmes au sport. J’ai donc attendu la sortie avec impatience et je me suis dis autant en faire profiter les autres. <o:p></o:p>
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Le jeu allumé, je découvre le générique qui reste celui d’un dessin animé, la qualité est très jolie. En résumé le jeu raconte l’histoire de Mark Evans jeune gardien et capitaine de l’équipe Raimon. L’équipe ne compte que 7 membres qui sont aussi motivé qu’une baleine échoué sur la plage, des évènements font que des grandes équipes souhaite faire des matchs amicaux contre eux, c’est l’occasion pour les Raimon de faire leur preuve et devenir au bout la meilleur équipe du pays. Cela dis je n’en dirai pas plus sur le scénario. En tout cas le jeu pose ses bases de façon remarquable et nous plonge dans l’aventure directe. Le scénario est bien ciselé et Level-5 montre encore une fois leur talent. <o:p></o:p>
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Le jeu est assez complet. En effet, le but est de devenir le meilleur, mais à côté de ça il y a la possibilité de recruter des joueurs. Le choix est énorme et se fait selon trois critère, soit vous recherché selon certaines caractéristiques, soit vous recherché en tapant le nom d’un joueurs (en fonction des joueurs que vous rencontrerez), soit par les relations que vos joueurs ont. Autant dire que le recrutement et pour moi une idée de génie tellement les capacités sont énormes. De plus des que vous demandez à un joueur d’intégrer l’équipe, il vous défi.<o:p></o:p>
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Hormis l’aspect recrutement, il y a l’aspect évolution. Et oui qui dis jeu de rôle dis évolution. Pour cela, tout au long de l’aventure vous aurez des défis. Ces défis se passe comme une capture de Pokémon dans des hautes herbes, il suffit de marcher pour que des personnes vous défis. Cela peut être marqué le premier ou encore intercepter le ballon. Comme je l’ai dis avant les défis passent aussi en recrutant les joueurs et bien sûr en gagnant des matchs. Les défis nécessitent seulement 4 joueurs sur le terrain (gardien compris). Si vous perdez un défi des points de compétence vous seront retirés. L’évolution a pour moi toujours ce côté excitant qui nous pousse à évoluer assez vite, de plus avec les recrutements cela prend vraiment beaucoup plus d’intérêt.<o:p></o:p>
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L’aspect le plus perturbant du jeu est les matches, en effet tout se joue au stylet. C’est-à-dire que vous devez contrôler les joueurs, voir anticiper les actions. Comme dans Captain Tsubasa, vous devez sélectionner une action pour soit tirer, soit tacler, etc. Les joueurs sont chacuns dotés de « pouvoirs » classés selon les 4 éléments. Toujours à la Olive et Tom vous effecturez des tirs spéciaux mais aussi des actions défensives spéciales. Cela dis après 3 / 4 défis la prise en main devient plus aisée. Le jeu a tout pour cartonner.<o:p></o:p>
- Par Baviol -<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Proche de Dragon Quest 9, le jeu est très beau !<o:p></o:p>
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Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>
Les voix sont en français et la bande son est dynamique. Les bruitages sont sympa mais rien d’extraordinaire.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
Des plus appréciables, rien ne bug.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 14 /20<o:p></o:p>
Les matches sont durs à prendre en mains au départ.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 19 /20 <o:p></o:p>
Temps de jeu très raisonnable en fonction des quelques milles joueurs à recruter !<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 20 /20<o:p></o:p>
Très bien pensé, l’histoire tient la route. Le jeu est ponctué de scènes animées somptueuses.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 19 /20<o:p></o:p>
Subtile mélange de Tsubasa et de Pokémon, le jeu sors du commun tout en restant Amusant et motivant a jouer. <o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 17.7 /20
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4 commentaires
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DISASTER - Day of Crisis -<o:p></o:p>
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Console : Nintendo Wii<o:p></o:p>
Développeur : Monolith soft<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Année : 2008<o:p></o:p>
Genre : Seul face à la nature
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Arrivé sans faire de bruit en 2008, Disaster : Day of Crisis est un jeu surprenant à bien des égards. Ce genre de soft est rare de manière général et inexistant sur Wii en particulier. En effet, devoir survivre face à une nature déchainée tout en essayant de sauver des gens et de stopper un groupe terroriste... C'est assez singulier non ? Rajoutez à cela une trame scénaristique élaborée comme film d'action à la "Die Hard" et vous obtenez un cocktail fort alléchant.<o:p></o:p>
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Dans le genre VDM (vie de merde, pour les non initiés) je voudrais le champion du monde : Raymond Bryce ! Malgré un physique très avenant et un charisme a tout épreuve, notre héros devra faire face dans la même journée à, je cite, Un tremblement de terre, une éruption volcanique, un tsunami, une tornade de feu, des inondations et un ouragan... rien que ça (et je ne vous parle pas du moment où l'on se fait attaquer par un ours... oui, oui un ours!) Mais survivre n'est pas la seule mission de Ray, car en plus de tout ca, notre Superman devra libérer la sœur de son meilleur ami, kidnappée par une bande de terroristes surarmés qui menacent de faire sauter la moitié du pays avec des ogives nucléaires volées au gouvernement... Moralité : Certains jours il vaut mieux rester couché !<o:p></o:p>
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Dès le début, le jeu vous plonge dans une action frénétique qui ne baissera que très rarement en intensité. Le gameplay et très varier, aussi vous devrez savoir tout faire : explorer, secourir, tirer sur les méchants, conduire une voiture ou même résoudre des petites énigmes. Chacune de ses actions demande une utilisation différente de la Wiimote qui au final et plutôt bien exploitée. Préparez vous à transpirer et à faire bouger vos petits bras, car faire face a la nature n'est pas de tout repos.<o:p></o:p>
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Omniprésentes et plutôt bien faites, les phases se shoot ne sont pas sans rappeler un certain "Time Crisis" référence du genre apparu sur PSone en sont temps. En parlant de référence, les déplacements et mouvement du personnages ainsi que la mise en scène générale font fortement penser a "Resident Evil Code Veronica", ce qui est plutôt une qualité, ajoutée a cela quelques clin d'œil dont celui au monstre sacré qu'est Metal Gear Solid, cela donne un assemblage agréable et convaincant. Au chapitre des bonnes idées, notons qu'il est possible d'upgrader notre héros en développant ou non certaines capacités physiques ou matérielles. Il est également possible d'améliorer ses armes grâce aux points obtenus durant les combats, ce n'est pas indispensable, mais cela apporte un petit plus.<o:p></o:p>
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Niveau technique, Disaster se situe dans le bonne moyenne des jeux Wii, loin d'être transcendant au niveau graphique (mieux vaut ne pas regarder les textures de trop près) l'ensemble est relevé par des musiques plutôt dramatique qui collent parfaitement a l'atmosphère du jeu. Niveau animation tout fonctionne bien, a noter un peu cliping lors de certaines phase de jeu en voiture, mais rien de bien méchant. Le tout aboutis a une réalisation très soignée mais quelque peut handicapée par les lacunes propre a la Wii (et ça les p'tits gars de Monolith, ben ils peuvent rien hein !) du bon boulot dans l'ensemble.<o:p></o:p>
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Quel serait un test, s'il n'y avait pas quelques ombres au tableau. Ne revenons pas sur la réalisation très "made in Wii" mais attardons nous plutôt sur les petits détails qui agacent. Bien qu'intéressantes, a certains moments du jeu, les phases de shoot se succèdent entrainant ainsi une répétitivité quelque peu lassante, d'autant que les économes devront puiser dans leur réserve de munition (dommage pour les pinces !) Idée originale sur le papier, les phases de conduite (ou de fuite en voiture devrais-je dire) on un coté frustrant eu égard a leur manque de précision, conduire avec de la lave en fusion ou un torrent d'eau derrière vous c'est déjà pas facile, mais en ayant une Wiimote à bouger comme volant, c'est encore plus difficile. Ca reste jouable, mais le fun laisse rapidement place à l'énervement. Enfin, il est possible que dans certain cas, votre Wiimote manque de précision (particulièrement lors de la bataille avec le boss final... rageant, mais rien de catastrophique rassurez vous)<o:p></o:p>
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Au final, très bonne surprise que ce Disaster Sans équivalent sur Wii et au contenu très adulte, qu'il est bon d'essayer de se dépatouiller au milieu des charmants pièges que mère nature a concoctée spécialement pour vous. Un héros qui a de la gueule, un scénario convainquant et mise en scène de toute beauté, voila les points forts qui rendent ce titre très attachant. Malgré quelques petits défauts, Disaster : Day of Crisis ne fera pas tache dans votre ludothèque, bien au contraire. Une très bonne expérience de jeu donc que je ne saurais trop vous recommander.<o:p></o:p>
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Graphisme : 15 /20<o:p></o:p>
On sent qu'il y a beaucoup du travail, bien que le tout reste très "made in Wii"<o:p></o:p>
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Musique et son : 17 /20<o:p></o:p>
Les différents thèmes soutiennent parfaitement l'action tout comme les bruitages de bonne facture (si ce n'est le bruit des pas, semblables a du plomb sur du marbre… Je chipote)<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
Un peu de cliping et des mouvements de camera parfois bizarres, mais rien de grave. Globalement on n'est pas loin du hit a gros budget : du très bon.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 17 /20<o:p></o:p>
Gameplay ultra varié et bonne jouabilité même si les nombreuse actions qui s’enchainent vous demande une adaptation constante.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 13 /20 <o:p></o:p>
Un peu short, l'aventure se termine en moins de dix heures.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 18 /20<o:p></o:p>
L'un des point forts du jeu, Attendez vous a plein de rebondissements haletants. Une telle mise en scène a rarement était vu sur Wii.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 19 /20<o:p></o:p>
Plutôt unique en son genre, Disaster nous régale dans un rythme effréné. Vous devrez faire tout et n'importe quoi, mais attention, toujours dans l'urgence !<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 16.7 /20
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2 commentaires
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DONKEY KONG COUNTRY <o:p></o:p>
-RETURNS-<o:p></o:p>
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Console : Wii<o:p></o:p>
Développeur : Retro Studio<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Année : 2010<o:p></o:p>
Genre : Plate forme
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Enfin un nouvel opus de la série mais version old-school. Titre très prometteur et très attendu. J’ai donc fais l’acquisition du jeu pour retrouvé l’ambiance de la jungle qui a bercé mon enfance. Tout d’abord l’histoire nous laisse croire qu’il s’agit d’une suite de la version SNES, là chacun l’entend comme il veut car il reste un titre à part entière. <o:p></o:p>
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Le scénario est donc censé se situer juste après le volet de SNES paru en 1994. L’histoire commence par une tribu de maraudeurs qui lancent un sortilège musical de vaudou sur l'île de Donkey Kong, hypnotisant les animaux qui y habitent. Les maraudeurs les utilisent pour voler toutes les bananes de Donkey Kong Naturellement, DK partira à la recherche de son trésor de bananes volé, avec son petit compagnon Diddy Kong.<o:p></o:p>
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Dès les premiers instants, la manette en main, j’ai tout de suite retrouvé les bases du jeu. On a comme l’impression d’être dans la continuité de l’opus sur SNES. Graphiquement le jeu et beau et fluide. Le jeu opte pour des graphismes 2D mais rassurons les plus difficile, DK country return mélange 2D et 3D. Et heureusement car cela donne une autre dimension au jeu, on a vraiment la sensation de liberté et d’avoir accès a n’importe quelle zone. C’est un atout qui apporte un plus.<o:p></o:p>
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En plus du mode solo, Donkey Kong Country Returns propose un mode multi-joueurs jouable jusqu'à deux joueurs. Le premier joueur contrôle Donkey Kong, et le deuxième contrôle Diddy Kong. Les joueurs doivent s'entraider pour terminer les niveaux du jeu. Attention, il est indispensable de se parler sans quoi des coups de gueules peuvent éclater. Dans ce mode, les joueurs ont la possibilité d'utiliser une bulle à n'importe quel moment à la façon de New Super Mario Bros. Le joueur emprisonné dans sa bulle (ici en l'occurrence un tonneau), mais qui a quand même usé une vie, ne sera libéré que si son coéquipier le touche. De plus, notons que lorsque le joueur perd un certain nombre de vies, il peut actionner le mode Super Kong, qui fonctionne de la même manière que le Super guide dans New Super Mario Bros Wii, à savoir que le Super Kong termine le niveau mais n‘est pas un acquis pour le joueur, il est juste une aide pour connaître le niveau. Ce mode est évidemment optionnel, et peut ne pas être actionné selon la volonté du joueur. Ce mode a aussi un côté frustrant, le fait de voir l’IA finir le niveau alors qu’on est bloqué à un endroit peut laisser un gout d’amertume.<o:p></o:p>
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Les joueurs peuvent jouer de différentes façons : Soit avec la Wiimote et la Nunchuk, soit avec la Wiimote placé à l'horizontale. Perso, j’ai de suite opté pour la Wiimote horizontale pour rester dans l’ambiance de DK. Le jeu reprend plusieurs éléments des précédents épisodes de la série, notamment les phases de chariots miniers, la collecte des bananes et la collecte des lettres KONG. On peut d’ailleurs regretter l’absence des fameux crocos, tatou ou encore guêpes pour laisser place a des crabes, grenouilles ou autre poulets déplumés. Mais le jeu propose également des nouveautés, comme les phases de tonneau-fusée, dans lesquels le joueur doit contrôler l'engin et éviter de foncer dans les obstacles (phase stressante garantie). À certains moments dans le jeu, Donkey et Diddy Kong seront propulsés vers le fond d'écran dans une zone secrète. Autre nouveauté, Donkey Kong peut maintenant s'accrocher à certaines parois, ce qui s'avère indispensable à certains moments pour passer des obstacles. Comme dans les épisodes précédents, le jeu est parsemé de courts niveaux bonus. Ces niveaux, qui proposent d'accomplir divers mini-jeux, demandent souvent beaucoup de dextérité et de réflexes. Si le joueur réussi le niveau bonus, il peut gagner des bananes et des pièces de puzzle, qui eux sont indispensables pour terminer le jeu à 100 %.<o:p></o:p>
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En bref, avec se retour en force la firme de Kyoto assure encore une fois et redonne aux joueurs des sensations de jeu qui se perdait avec le temps. Cependant, bien que palpitant, la difficulté de certains niveaux trop poussées, peut laisser le joueur amer et las, au point de finir le jeu mais sans essayer de finir les zones à 100 %.<o:p></o:p>
- Par Baviol -<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Des graphismes simple mais jolis et originaux pour certains niveaux<o:p></o:p>
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Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>
Une bande son fidèle à l’originale un peu remixé, un pur régal. Les bruitages sont appréciables mais peu élaborés (Diddy peut parfois saouler)<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
Réalisation Simple mais efficace. Les animations réussies contribuent au fun : Du DK tout craché.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 15 /20<o:p></o:p>
Gameplay façon old-school. Maniabilité simple et intuitive mais certains niveaux trop durs.<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 18 /20 <o:p></o:p>
Avec 8 mondes et environs 7 niveaux par monde, ça reste correct.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 13 /20<o:p></o:p>
Ce n’est pas le point fort du jeu, le scénario reste basic.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 15 /20<o:p></o:p>
L’ensemble n’est pas d’une grande originalité : DK reste fidèle à la Super NES. Le tout reste très plaisant, avec des couleurs chatoyantes. <o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 16.4 /20
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3 commentaires
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</o:p>METROID - Other M -<o:p></o:p>
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Console : Wii<o:p></o:p>
Développeur : Tecmo (Team Ninja)<o:p></o:p>
Editeur : Nintendo<o:p></o:p>
Année : 2010<o:p></o:p>
Genre : Plate forme / Shoot - Beat Them All
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Je vous vois déjà venir, en lisant le titre, certains d'entre vous se sont dit "Oh non encore un Metroid... c'est bon on connaît !"... Et bien ce serait une très grosse erreure de votre part de penser ça. En effet, après l'ère des épisodes 2D paruent sur NES, SNES et GB, la (grande) saga Metroid avait déjà fait sa révolution 3D en passant sur Game Cube puis Wii (Metroid Prime). Réjouissez-vous, car loin de se reposer sur ces lauriers dorés, la série prend un nouveau virage, revenant à ses fondamentaux, tout en innovant. Metroid Other M propose une action 2D dans un environnement full 3D... Alors ? Mélange exquis ou pot pourri nauséabond ? ... Nous allons étudier tout ça.<o:p></o:p>
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Le scenario nous place après la fin de Metroid 3 (parut en 1994 sur SNES) Sous forme de rêve, au travers d'une sublime vidéo, notre blonde héroïne Samus Aran, se remémore son terrible combat sur la planète Zebes face a Mother Brain et au cours duquel elle fut bizarrement sauvée in-extremis par une larve de Metroid... Navigant dans l'espace c'est alors qu'elle reçoit un mystérieux SOS provenant d'une station spatiale. D'étrange souvenir refont immédiatement surface, et Samus ne peut s'empêcher de penser que ce cri de détresse lui est personnellement destiné, comme un enfant appellerait sa mère à l'aide. Arrivant sur la station "bouteille" c'est son nom, notre chasseuse de prime découvre qu'elle n'est pas la première et retrouve sur place une équipe militaire de la Fédération galactique, commandée par Adam Malkovich son ancien chef qu'elle considère comme son père. Débute alors une longue exploration de la station mystérieusement vide, sous fond d'intrigue et de sentiment aussi fort qu'inattendus.<o:p></o:p>
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Premier choc : Samus parle ! Et oui après sept épisodes passer dans un mutisme total, la belle nous donne enfin l'occasion d'entendre le son de sa voix. On y découvre alors une héroïne fragile et torturée par ses émotions, contrastant avec son apparence robuste et aux antipodes de l'image robotique et froide qu'elle véhiculait durant les derniers opus : On ne va surtout pas s'en plaindre ! S'appuyant sur une réalisation très soignée tant sur le plan sonore que visuel (jamais l'armure de Samus n'a était aussi belle !) Grace a des cinématiques somptueuse, cet Other M nous en met plein la vue, si bien que l'on se demande comment un tel exploit a put être réalisé sur notre modeste Wii, c'est la très grande classe. La mise en scène n'est pas en reste, malgré a une certaine linéarité du jeu (due au scrolling 2D) un spectacle grandiose s'offre à nous, aidé en cela par un scenario riche et loin d'être cousu de fils blanc. Un bien bel écrin que ce Metroid donc, voyons à présent le contenu.<o:p></o:p>
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Comme déjà évoqué, Metroid Other M est un jeu en 2D. Entendez par la que vous évoluerez en vue de coté en avançant de manière horizontale ou verticale (comme les premiers volets de la saga) néanmoins, le jeu est tout en 3D ce qui permet de changer de vue très facilement (en pointant la Wiimote vers l'écran) et de ne rien rater lorsqu'il s'agit d'exploré le riche environnement qui nous entours : Une réussite. En ce qui concerne le gameplay, il va falloir vous réhabituer aux bonnes vieilles méthodes de combat : la Wiimote s'utilise à plat tel une manette NES et la manipulation quoi que parfois un peu brouillonne se révèle être assez précise dans l'ensemble. Ultra dynamique (team ninja oblige...) l'action reste fluide, permettant a Samus d'enchainer toute sa panoplie de coup dans une débauche chorégraphique de toute beauté, la encore, nous somme bien loin de la rigidité des précédant épisode, changement positif donc.<o:p></o:p>
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Bourré de qualités, il n'en reste pas moins vrai que ce Metroid à quelques défauts très agaçants. En particulier son extrême difficulté ! Sans déconner, après Ninja Gaiden on savait que les gens de Tecmo aimaient la difficulté, mais la c'est le bouquet. Que tous ceux qui croyaient passer une aventure pépère se détrompe, réussir a Metroid ça se mérite et je suis sur que certain aurons envi de faire voler leur Wiimote a travers la pièce lors de certains passages. C'est parfois si dur que l'on a l'impression d'être revenus au bon vieux temps des "Die and retry" de chez Capcom (Megaman ou Ghost n'Goblin pour ne pas les citer !) En même temps cela nous permet de retrouver des sensations oubliées : l'ultime satisfaction d'avoir réussit un truc impossible ou comment pousser le revival a son paroxysme... Autre point faible, la durée de vie, qui, si on ne recommence pas trente fois la même action avant d'y arriver, est un peu légère. A noter également certaines prises de vue un peu zarbi, mais rien de grave je vous rassure, cela ne nuit en rien a la jouabilité générale, c'est juste histoire de chipoter un peu (éhéh, il est taquin le Nutsukao)<o:p></o:p>
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Voila l'heure du bibi, l'heure du bilan ! (dsl) Vous l'aurez comprit, j'ai plutôt apprécier cette dernière aventure de notre amie Samus (ah nostalgie quant tu nous tient...) peut être que les plus jeunes d'entre vous ne seront pas aussi enthousiastes que moi, mais reconnaissons que ce Metroid respire la qualité et est loin d'être un jeu commercial destiner a remplir les poches des éditeurs (et ça se fait rare de nos jours) Ce soft offre une belle vitrine visuelle de ce qu'est capable de réaliser notre Wii bien aimée. Loin de la réputation des jeux "enfantin" de Nintendo, Other M met en place un univers adulte et plutôt noir, avant tout destiné aux hardcore gamers (ah la la quelle difficulté !!!... ok j'arrête) Le big N a comprit que les joueurs des premiers Metroid avait bien grandit et leur offre ainsi un bien bel outil de divertissement, emprunt de nostalgie mais restant très attrayant pour ceux qui découvre la License, en redéfinissant de fort belle manière les standards de la série. Du très bon boulot donc... A quant la suite ? (hum gourmand va...)<o:p></o:p>
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Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>
Le level design est riche et varié de plus, les cinématiques sont d'une qualité jamais vu sur Wii : magnifique.<o:p></o:p>
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Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>
Au lieu de musique, parlons plutôt d'ambiance… froide et mystérieuse, parfois angoissante. Les bruitages sont fidèles a l'esprit de la série, les fans apprécierons.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
On reconnaît bien la touche de la Team Ninja : Carré et sans bavures ! Voir évoluer Samus dans son armure moulante et subjective est un vrai régal… Hum.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 13 /20<o:p></o:p>
Le seul vrai point faible, jouabilité parfois laborieuse et niveau de difficulté trop élevé !<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 14 /20 <o:p></o:p>
Une peu faiblarde, mais il faut faire le jeu deux fois pour vraiment en profiter et récupérer tous les items (Enfin si vous arrivez à battre le boss de fin…)<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 18 /20<o:p></o:p>
A chaque étape on a hâte de connaître la suite : Une belle montée en puissance très bien mise en valeur par les cinématiques.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>
Comment réinventer une série qui marchait pourtant bien : risque payant ! Plutôt agréable à jouer, tout serait parfait si certains passages étaient plus faciles.<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 16.7 /20
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votre commentaire
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DRAGON QUEST IX<o:p></o:p>
- Les sentinelles du firmament -<o:p></o:p>
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Console : Nintendo DS<o:p></o:p>
Développeur : Level 5<o:p></o:p>
Editeur : Square-Enix<o:p></o:p>
Année : 2010<o:p></o:p>
Genre : Jeu de rôle RPG old-school
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Attention, cela peut paraître anodin, mais la sortie de Dragon Quest IX revêt une importance doublement particulière. Outre le fait que ce soit une super production, cet opus de l'une des saga phare de Square-Enix arrive après un échec d'estime de l'autre grosse License (Final Fantasy XIII pour ne pas le citer)... Ce Dragon Quest 9ème du nom saura t'il consoler et satisfaire les vrais fans de RPG qui ont pas mal souffert ses derniers temps ? ... Suspens... Sorti il y a déjà un an au Japon, le 11 juillet 2009 (c'était un samedi... Pour info au japon, les jeux de la série des Dragon Quest sont les seuls à sortir le week-end pour éviter l'absentéisme scolaire et professionnel... c'est dire la popularité de la License dans l'archipel, loin devant le frère ennemi (Final Fantasy) Il nous aura donc fallut attendre un an pour enfin pouvoir bénéficier de ce petit bijou annoncer.<o:p></o:p>
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Première surprise et non des moindre, le choix du support. En effet, pas de PS3 ni même de Wii... Le jeu le plus attendu du public Nippon, sortira sur la console la plus vendue au Japon ; La Nintendo DS, logique non ? Bon, je vois des septiques quant a la capacité d'une si petite console a accueillir une telle super production. Rassurez vous, le développement a était confier a Level-5 (Amen !) l'un des meilleurs studios du moment (ci ce n'est le meilleur) souvenez vous du somptueux Dragon Quest VIII, c'était déjà eux. Ajoutez à cela la dream team de Square-Enix, Yuji Horii au game design, Koichi Sugiyama aux musiques et surtout le maitre du manga, Akira Toriyama (Dragon Ball, Dr Slump...) au Character design et vous obtenez tous les ingrédients d'une recette qui s'annonce délicieuse.<o:p></o:p>
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Entrons dans le vif du sujet : Vous incarnez un Cellestien, sorte d'ange gardien (avec ailes et auréole) veillant sur le monde des humains et plus particulièrement sur le petit village de Chérubelle (votre zone de travail en quelque sorte) chaque Cellestiens a pour but de rejoindre le royaume des dieux, mais pour ça il faut recueillir de la "bienveillance" en se rendant utile aux humains. Cette bienveillance permet par la suite de faire pousser des fruits appelés Fyggs, qui sont la clé vers le royaume des dieux. L'histoire débute réellement au moment ou les Fyggs sont sur le point d'éclore, l'observatoire (résidence des Cellestiens) est alors attaqué et les sept Fyggs fraichement muries se retrouve éparpillées dans le monde des humains... Votre mission, si vous l'acceptez, sera (dans un premier temps) de retrouver ces Fyggs (et ce n'est pas une mince affaire)<o:p></o:p>
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Premier atout majeur de DQ9 : C'est vous qui faites votre propre personnage ainsi que le reste de votre équipe ! Outre le sexe ou l'apparence physique, vous aurait le choix parmi les six professions du jeu (Troubadour, Guerrier, Mage, Prêtre, Voleur ou combattant martial) A vous de composer votre équipe (de un à quatre perso) comme bon vous semble, mais attention, soyez stratégique afin d'éviter les déconvenues a cause d'une équipe trop faible ou pas assez polyvalente par exemple. (Quel régal !!!)<o:p></o:p>
Essentiel a un bon RPG, le scénario est ici très bien ficelé, jamais linéaire il offre a plusieurs reprises quelques rebondissements très bien vus, qui dynamisent un peu plus la narration. Luxe ultime, vous pouvez aller et venir comme bon vous semble dans les lieux que vous avez déjà visité. En gros vous êtes libre d'avancer a votre rythme, en mettant entre parenthèse la trame principal au profit des très nombreuses quêtes annexes ou pour "farmer" (développer) vos personnages... Ce dont FF13 nous avait privé (oui je l'ai encore en travers de la gorge arrr !), DQ9 nous le sert sur un plateau, hum que c'est bon !<o:p></o:p>
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Parlons action et système de combat, DQ doit être l'une des rares sagas a en être toujours resté au combat classique au tour par tour, alors que certains autres soft s'égarent dans des systèmes toujours plus complexes, ici c'est a du basique que vous allez avoir a faire et dieu que c'est bon ! Lorsque chaque combat débute, le ou les ennemis vous font face de manière statique. Vous choisissez alors en fonction de lui et de votre stratégie, les actions de chacun de vos personnages. Une fois le choix fait, le tour débute et successivement (en fonction de votre niveau et de celui des adversaires) les actions se suivent jusqu'à ce que tous les protagonistes du combat aient agis une fois, c'est alors la fin du tour. Les tours se succèdent ainsi jusqu'à ce que l'ennemi trépasse... ou que vous succombiez. Jugé trop apathique par les gamer en mal d'action et de sang qui gicle, on a beau dire ce que l'on veut, ce système impose d'élaborer de réelle stratégie en fonction de ses capacités et de celle de l'adversaire, mais aussi de savoir anticiper ce que va donner l'attaque adverse et d'agir en fonction... Il faut réfléchir et ne pas faire le bourrin donc... Dites moi si je me trompe, mais c'est exactement ça un RPG non ?... On est bien d'accord !<o:p></o:p>
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Aller passons au coter réalisation du jeu, pour voir comment notre petite Déesse, euh DS pardon, s'en sort. Et bien, une fois de plus... suspens... Les gars Level-5 (Amen !) on faits des miracles !! Poussant la portable de Nintendo dans ses derniers retranchements, ils nous proposent un jeu en full 3D dont la qualité graphique est plus qu'honorable ! L'univers visuel est toujours aussi immersif est fantastique. L'ambiance unique, renforcée par les personnages "Toriyamaèsque" n'est pas étrangère a cette réussite. Niveau sonore, la aussi c'est du tout bon, Sugiyama (qui a déclaré qu'il continuerait a travailler sur la saga des Dragon Quest tant qu'il sera vivant...) nous livre une partition sans fausse note, bien qu'on aurait aimé un peu plus de variété. Préparez vous à voir toutes les musiques ancrées dans la tête et a ne plus pouvoir vous empêcher de les siffloter. (Un conseil, utiliser un casque, vous verrez, ça n'a rien à voir avec le son poussif que tente de sortir les malheureux hauts parleurs de la DS). Une fois de plus donc, vous avancerez en territoire connu, tous ce qui fait le succès de la série depuis des années et toujours présents. Du petit Slim bleu (rebaptisé "gluant" en France) aux multiples espèces de Dragons, ils sont venus, ils sont tous la ! Sans oublier l'humour omniprésent a tous les étages du jeu (Tous les noms d'ennemi sont des jeux de mot ainsi que la plupart des lieux) tout ça pour nous plus grand bonheur. <o:p></o:p>
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Et la durée de vie dans tout ça ? En un mot : faramineuse ! DQ9 nous offre une profondeur de jeu rare sur console et jamais atteinte sur DS. Même si les plus rapide d'entre vous pourrons finir l'aventure principale en une petite quarantaine d'heure (ce qui est déjà énorme) il vous en faudra plus du double pour venir a bout des dizaines de quêtes annexes, des dizaines de "chasse au trésor" et des quête téléchargeables. Ajoutez a cela la possibilité de créer vos propres équipements via l'alchimie (parmi une liste sans fin d'arme, armure ou objet) et l'accès au magasin online proposant chaque semaine par thème, des articles exclusifs (gratuit, enfin, payable avec l'argent du jeu bien sur) et vous obtenez un titre a la durée de vie démentielle... Ca ne vous suffit pas ? Pas de soucis, DQ9 a aussi une fonctionnalité multi-joueurs online grâce a laquelle vous pourrez aller visiter les mondes de vos amis ou bien les inviter chez vous. Dans ce cas, l'ami en question prend la place de l'un de vos perso et devient un membre de votre équipe a part entière, vous offrant ainsi une manière unique de redécouvrir le jeu sous un autre angle... Génialissime !<o:p></o:p>
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HEUREUX ! Voila le mot qui nous vient à l'esprit lorsqu'on goute à ce 9ème opus. Se reposant sur les bases solides de ses glorieux ainés, sans vraiment innover, en étant un brin passéiste, ce jeu parvient tout de même à nous combler de bonheur ! La recette est tellement bonne qu'il serait vraiment dommage de la modifier ! Rien ne change et c'est tant mieux, surtout par les temps qui courent. En effet, dans le monde du jeu vidéo, tout fou le camp. Notre passion est trop souvent écrasée par des intérêts commerciaux et financier, (oui je raconte toujours la même chose parce que ça me pèse vraiment !) mais il nous reste au moins un pilier contre lequel, nous autres, gamers du RPG, pouvons nous appuyer sans crainte... et ce piler s'appel Dragon Quest ! Merci les gars !!! *soulagement*... Mais au fait, le 10ème volet est prévus pour 2011 sur Wii... et si d'ici la on adapté DG9 sur console de salon, histoire de nous faire patienter, ça serait cool non ? ... Je suis un rêveur c'est ça ?... Oh, un pigeon doré à patte verte vient de se poser sur mon épaule, si si je vous jure ! <o:p></o:p>
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Graphisme : 19 /20<o:p></o:p>
La DS a tout donné sur ce coup la ! Tout est très beau et l’univers des Dragon Quest y est retranscrit à la perfection.<o:p></o:p>
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Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>
De la grande et bonne musique (on aurait juste aimé un peu plus de variété). Il en va de même pour les bruitages : Pas de doute, vous êtes bien dans un Dragon Quest.<o:p></o:p>
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Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>
Du grand spectacle, on se demande même à quel moment notre DS va griller : Techniquement c’est un sans faute.<o:p></o:p>
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Jouabilité et gameplay : 17 /20<o:p></o:p>
La prise en main est instantanée et adaptable (croix ou stylet au choix) Vous retrouverez tout ce qui a fait le succès de la série (mais en mieux)<o:p></o:p>
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Durée de Vie : 20 /20 <o:p></o:p>
Inépuisable, entre la quête principale, la création et le développement de nouveau perso et l’exploration des innombrables grottes, DQ9 nous accorde la vie éternelle du jeu vidéo.<o:p></o:p>
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Scénario et mise en scène : 18 /20<o:p></o:p>
Plutôt réussit, attachant et agréable a suivre, le scénario est dans la bonne moyenne. Les nombreuses petites cinématiques contribuent a le rendre accrocheur.<o:p></o:p>
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Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>
Rien n'à changer dans la famille Dragon Quest, et rien que ça c'est original par les temps qui courent… Si un vrai RPGiste ne prend pas son pied avec DQ9, alors qu'il se mette aux FPS !<o:p></o:p>
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NOTE FINALE : 18.4 /20
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4 commentaires
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