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    ~ Eternal Sonata ~

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    Console : PlayStation 3<o:p></o:p>

    Développeur : Tri Crescendo<o:p></o:p>

    Editeur : Namco Bandai<o:p></o:p>

    Année : 2009<o:p></o:p>

    Genre : Jeu de rôle RPG


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    Aujourd'hui nous allons parler d'un genre de jeu plutôt rare sur PlayStation 3, les RPG. Nous allons donc en passer un à la moulinette : Eternal Sonata. Ce nom ne vous évoque peut être pas grand-chose, mais si je vous dit que ce jeu a était développé par la fine équipe de la série de "Tales of", cela devrait vous mettre la puce a l'oreille tant on connaît la qualité de leur productions.<o:p></o:p>

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    Je ne vous apprendrais rien en vous disant que les Japonais ne sont jamais avares en mélange pour le moins bizarre... Eternal Sonata en est une parfaite illustration. Le design du jeu est clairement d'inspiration manga, pourtant les développeurs n'ont pas hésité à choisir comme héros, un personnage qui a réellement existé et non des moindres puisqu'il s'agit de l'un de plus grand compositeur que cette terre est portée : Fréderic Chopin... Oui oui, vous avez bien lu. Il est plutôt étrange de voir cette figure de la musique classique "Mangaifié" et insérée dans un univers à très forte consonance Japonaise, mais au final... Pourquoi pas hein ?<o:p></o:p>

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    L'histoire débute dans le Paris du 19e siècle, on y voit un Fréderic Chopin alité, inconscient et entouré de sa famille et de son médecin, dont la discussion ne laisse rien présager de bon quant à la santé du pauvre musicien. Parallèlement a ca nous découvrons l'histoire d'une adolescente (Polka) qui semble porter sur ses épaules un lourd destin. L'histoire débute réellement lorsque Chopin, rencontre la jeune femme et lui explique que tout ce qu'ils sont en train de vivre n'est que le fruit de son imagination et que le monde qui les entours est en fait un rêve... Le déroulement du scénario nous dira peu a peu si la théorie de Chopin est bonne ou non... Outre cette rencontre de nombreux autres personnages aux intérêts communs ou opposés, viendrons grossir vos rangs et donner de l'épaisseur a un scénario complexe mais cohérent.<o:p></o:p>

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    Qu'est ce qui différencie un RPG d'un Bon RPG ? Et bien déjà la variété. Eternal Sonata n'est pas le dernier en la matière, puisqu'au total vous pourrez successivement choisir de composer votre équipe parmi douze personnages jouables, Polka donc, mais aussi entre autre, Jazz, Crescendo, Harpe ou encore Salsa (Vous l'aurez remarqué, l'univers de la musique est omniprésent, jusque dans les noms des protagonistes mais également des lieux que vous serez amené à traverser)<o:p></o:p>

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    Autre point essentiel a un bon RPG ; Le système de combat. La encore, Eternal Sonata ne se contente pas de copier l'existant et nous propose un mode combat très original et évolutif au fil des chapitres que vous traverserez. L'action se déroule au tour par tour, mais les déplacements des personnages sont à votre charge, le temps du tour est compté et oblige a réfléchir très rapidement sous peine de voir son temps d'action gaspillé. La principale originalité des combats réside dans le fait que vos personnages aurons accès a des attaques ou actions différentes selon qu'ils se trouvent a l'ombre ou a la lumière, je m'explique : Imaginons un combat en foret par exemple, lorsque la bataille débute, ennemis et alliés apparaissent dans un endroit clos dans lequel il aura des zones sombres (sous les arbres par exemple) ou lumineuse (au centre de la clairière) A vous donc de déplacer vos perso en fonction, afin qu'ils exécutent les actions appropriées. Mais ce n'est pas tout, puisque l'ombre et la lumière agit aussi sur les ennemis qui se métamorphosent, a votre avantage ou non, en fonction de leur exposition. Il fallait y penser mais cette très bonne idée pousse encore un peu plus a la réflexion en évitant ainsi les combats trop "bourrin".<o:p></o:p>

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    Eternal Sonata est un RPG, un vrai de vrai, et par conséquent de nombreuses séquences animés viendrons ponctuer votre quête. Bon autant vous le dire de suite, il y a beaucoup de parlote et le ton, plutôt naïf, ne favorise pas l'immersion dans un scénario pourtant recherché. La narration souvent lente, prend parfois des tournures poétiques agréables. Sacher tout de même que l'humour est omniprésent et que les personnages sont très réussit et attachants. Cerise sur le gâteau, il est possible de remplacer les voix américaines (beurk) par les voix originales Japonaises (Youpi) A signaler une petite bizarrerie, Entre chaque chapitre du jeu vous aurez droit a un passage illustrer (en image réelle, mais cel-shader, de Paris par exemple) sur la vie réelle de Fréderic Chopin... Cross-over Power !<o:p></o:p>

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    Niveau Réalisation, Eternal Sonata respire la grosse production a la "Tales of" (et pour cause !) les connaisseurs reconnaitrons immédiatement la patte musical du compositeur attitré de la série, avec en bonus des somptueux morceaux de piano écrit par Mr Chopin et restitués tel quel, la classe. Usant et abusant du Cel-shading, l'aspect visuel du jeu et vraiment très réussit et agréable (pour peu que vous soyez sensible au chara-design très typé manga) Les environnements sont varier et agrémentés de couleurs chatoyantes et colorées jusqu'à l'écœurement. oui, c'est parfois limite guimauve, mais tout reste parfaitement cohérent. La partie technique n'est pas en reste, on sent la puissance de la PS3, tout fonctionne sans aucun accro, l'interface est simple et accessible ; Tout est fait pour vous mettre l'aise. Enfin en ce qui la durée, le soft se situe dans la bonne moyenne, comptez entre 30 et 40 heures de jeu en prenant votre temps et en consacrant du temps a développer vos personnages. La difficulté et plutôt bien jaugée, même si certains combats vous en ferons baver si vous n'avez pas suffisamment monté le niveau de vos personnages.<o:p></o:p>

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    Voila venu l'heure du verdict... L'accuser et condamner a manger dix chamalow et a boire un litre d'eau cul sec !!!... Euh désolé pour ce petit moment d'égarement, reprenons. Donc, sans être le jeu de rôle du siècle, Eternal Sonata propose de belles innovations, elles mêmes mises en valeur par une réalisation irréprochable. Pourtant il manque un tout petit quelque chose pour en faire un méga hit, bien que varier, le scenario s'avère linéaire, donnant ainsi l'impression d'un cruel manque de profondeur. Même très bien étudier, les combats peuvent d'avérer répétitif. Néanmoins, l'univers et vraiment attachant et je ne vous parle pas des personnages, faisant a eux seul oublier les quelques petits défaut de cette belle production. A n'en point douter, en vous y essayant, vous passerez de bon moments. Après tout, les RPG 100% Japonisant sont déjà rare, alors lorsque l'un d'en eux est réussit, il serait vraiment dommage de s'en priver !<o:p></o:p>

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    Graphisme : 17 /20<o:p></o:p>

    Tout et vraiment très fin et super Kawaï (mignon quoi), Merci au Cel-Shading.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>

    Les aficionados de Namco ne seront pas dépaysés, avec en bonus du Frédéric Chopin ! A noter que les voix sont en Japonais, et ça, j’aime !<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 17 /20<o:p></o:p>

    Même si la PS3 en garde sous le coude rien à redire sur le plan technique, ça respire le travail bien fait et avec une bonne dose d’amour.<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 16 /20<o:p></o:p>

    Rien de compliqué, le jeu est accessible à tous, tout en restant assez profond pour les plus exigeants.<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 16 /20 <o:p></o:p>

    Dans la moyenne haute des RPG, une bonne trentaine d’heures.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>

    Le scénarios s’avère plus complexe qu'il n'y parait, mais demeure sans réelles surprises. Les nombreuses cut-scènes sont bien faites et appréciables.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 17 /20<o:p></o:p>

    Le système de combat est peu commun et agréable. Eternal Sonata est un jeu qui se laisse jouer tout en douceur.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 16.6 /20<o:p></o:p>

     


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    6 commentaires
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    - PROFESSEUR LAYTON -<o:p></o:p>

    Et la boite de Pandore<o:p></o:p>

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    Console : Nintendo DS<o:p></o:p>

    Développeur : Level 5<o:p></o:p>

    Editeur : Nintendo<o:p></o:p>

    Année : 2009<o:p></o:p>

    Genre : Aventure / Réflexion


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    Pour la première fois dans cette rubrique, nous allons parler d'un jeu DS. Cette console à double écran a également une double personnalité : Même étant capable de nous offrir de super jeux pour gamers avertis, sa ludothèque est envahie de mini jeux plutôt moyen (voir nases), afin de satisfaire une nouvelle race de joueurs : Les "Causual gamer" (joueurs occasionnels). Je sais ce que vous vous dites : "Mais pourquoi il nous raconte ça lui ? Il a pas d'amis ou quoi ?"... du calme, si je vous parle du coté obscure de la DS, c'est parce que certains types de jeu arrivent à fusionner les deux genres ! Et les aventures du professeur Layton en font partie : Un vrai jeu très bien pensé, qui garde un coté occasionnel pour ceux qui le souhaite... Elle est pas belle la vie ? <o:p></o:p>

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    Pour ceux qui connaissent déjà la série, les enquêtes du professeur Layton, c'est avant tout une ambiance unique. Cross-over entre la bande dessinée, le comics et les mangas, l'univers visuel et sonore et vraiment singulier. On aime ou on n'aime pas, mais ce qui est sur c'est que vous ne trouverez ça nulle par ailleurs. Ce deuxième opus nous propose d'enquêter sur la mort du docteur Shrader (le mentor de Layton) alors qu'il était en pleine recherche sur un mystérieux coffret... Très vite les indices nous mène a emprunter un train, théâtre des premières énigmes, nous amenant par la suite, dans deux villes elles aussi peu avares en secrets...<o:p></o:p>

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    Tous les jeux estampillé "Layton" repose sur le même principe : Une narration très riche, basée sur des événements mystérieux a élucider et qui vous amènerons à devoir résoudre un grand nombre d'énigmes (151 pour cet épisode de la boite de pandore) Le jeu prend la forme d'un "point and click" comprenez par la que devrait évoluer dans des tableaux fixes ou il vous suffira de jouer du stylet pour vous déplacer ou interagir avec les personnages et le décor. Cette méthode qui a jadis fait le bonheur des "PCiste", s'avère très adaptée a ce type de jeu ; Simple et diablement efficace.<o:p></o:p>

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    Le point fort de "la boite de Pandore" réside avant tout dans la variété des énigmes qui vous sont proposées tout au long de votre périple. Même si certaines ne vous occuperons pas plus de quelques secondes, d'autre vraiment corsées, vous ferons transpirer des neurones. Ne vous inquiétez pas, le jeu inclus un système d'aide sous forme d'indices, que vous pourrez utiliser à loisir, moyennant quelques pièces, elle-même facilement accessible... Bon, par contre il faut bien le dire, une minorité d'énigmes sont plutôt tordues et j'avoue avoir eu recours a internet pour en résoudre certaine (Ou le vilain ! oui je sais ce n'est pas bien... J'ai honte... Euh, en fait non ^^)<o:p></o:p>

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    Bonne surprise, le jeu est entièrement doublé en Français, voix des personnages incluse. L'immersion dans le monde de Layton est donc parfaite d'autant que le soft bénéficie de nombreuses séquences animées, digne de minis dessins animés et dont la qualité est vraiment bluffante pour une DS. Une fois de plus les gars de Level 5 ont fait un boulot somptueux ! (comme pour l'ensemble de leur réalisation d'ailleurs) Autre point positif, cet épisode propose de nombreuses quêtes annexes afin de faire reposer votre cerveau déjà endolori par trop de réflexion : Prendre des photos et jouer au jeu des trois erreurs, composer des recettes de thé et le servir aux habitants ou même adopter un Hamster afin de le faire maigrir un peu... Autant de taches importantes auxquelles vous devrez vous atteler.<o:p></o:p>

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    Aller, aussi bon soit t'il, un jeu a forcement quelque petit défauts... Tout d'abord le coté très (voir trop) directif de l'aventure ; En fait l'action se résume a parcourir plusieurs fois en long en large et en travers les villes, afin de résoudre des énigmes qui n'ont la plupart du temps aucuns rapport avec l'intrigue principale. En même temps c'est le principe même du jeu qui veut ça et au final on s'en acquitte plutôt bien. Autre point gris (oui car ce n'est pas vrai un point noir... désolé) La durée de vie est moyenne puisqu'il vous faudra compter entre 12 et 15 heures (pour les plus rapides) pour boucler l'affaire. D'un autre coté, passer 12 heures à faire chauffer son cerveau, c'est bien suffisant non ? A noter que toute les semaines, de nouvelles énigmes sont téléchargeables gratuitement par la connexion Wifi Nintendo (avec effet rétroactif en plus, connectez vous et vous chargerez en quelques secondes toutes les énigmes publiées depuis la sortie du jeu en septembre 2009... merci qui ?)<o:p></o:p>

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    Récapitulons ! Fort du succès du premier volet, et en améliorant certains points (feuille de brouillon dans les énigmes par exemple) Le professeur Layton revient en force et on ne s'en lasse pas. Bénéficiant d'une cote de sympathie énorme, le petit monde mystérieux du prof' constitue un très bon terrain de jeu qui saura satisfaire les joueurs aguerris, comme les néophytes. On y revient, Layton réussis à créer un consensus peu évident, celui de satisfaire tous les types de joueurs, quelque soit leur âge. Il est balèze quant même notre cher Layton. A quant la suite ? ... Ah il y a déjà 2 autres épisodes sortis au Japon et encore 2 autres en préparation ? ... OMG nos neurones n'ont pas fini de surchauffer !<o:p></o:p>

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    Graphisme : 17 /20<o:p></o:p>

    Dans la moyenne, les cinématiques, sont quant à elles somptueuses.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 18 /20<o:p></o:p>

    Une vrai réussite sonore, en parfaite adéquation avec l'ambiance voulut. Le doublage est en Français, et ça c'est bon !<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>

    Techniquement, Level 5 maitrise parfaitement son sujet, du très bon job.<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 18 /20<o:p></o:p>

    La jouabilité tout au stylet est très facile et accessible à tous, même au père Fouras !<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 16 /20 <o:p></o:p>

    Petit bémol, l’aventure principale se fini assez vite, mais la possibilité de télécharger de nouvelle énigme en WiFi rattrape un peu la chose.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 19 /20<o:p></o:p>

    Tout est prétexte à énigme, mais le scénario reste malgré tout bien ficelé et appuyé par de très belles séquences animées.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 18 /20<o:p></o:p>

    Il n'y a pas pléthore de jeu dans ce genre... Parfois agaçant, parfois valorisant... Quoi qu’il arrive, il est toujours motivant de tenter de résoudre une énigme qui parait impossible de prime abord.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 17.7 /20


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    4 commentaires
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    KILLZONE 2<o:p></o:p>

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    Console : PlayStation 3<o:p></o:p>

    Developpeur : Guerrilla<o:p></o:p>

    Editeur : Sony<o:p></o:p>

    Année : 2009<o:p></o:p>

    Genre : FPS


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    Attention événement, ce que vous allez lire restera un fait unique dans l'histoire de ce blog... Vous allez pouvoir lire le test d'un style de jeu que je n'aime pas vraiment (pour ne pas dire, pas du tout) Il s'agit d'un FPS (jeu de tir a la première personne pour les noob) il parait que c'est l'un des meilleurs en son genre, voici venir le test de Killzone 2... Tada !!!... Bon allez on y va, le plus dur pour moi sera de rester objectif alors n'hésitez pas a me remettre en place hein éhéh.<o:p></o:p>

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    Après avoir contenu l'invasion Helgast (les méchants) sur terre, les troupe de l'ISA (les gentils) décident d'aller "botter le cul" des vilains "yeux rouges" directement sur leur planète (excusez ce langage, mais ce sont les termes utilisés dans le jeu...). Sous les ordres du colonel Templar, vous intégrez l'équipe Alpha et accompagné de vos trois compères (haut en couleur et plus grossier les un que les autres) vous aurez comme mission d'aller capturer le dénommer Visari, le grand chef des "méchants" (ou qu'il est vilain pas beau)... Bref, vous l'aurez comprit, cette tache n'est rien d'autre qu'un prétexte à pouvoir évacuer toute votre folie meurtrière, par le biais d'un jeu vidéo.<o:p></o:p>

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    Il faut le reconnaître, Killzone 2 bénéficie d'une réalisation de haute volée qui est sensée faire office de vitrine technologique de la PS3 : c'est réussit. Les graphismes sont d'une finesse rare, les bruitages et l'ambiance sonore vous donnent vraiment l'impression permanente d'être au milieu du champ de bataille, les temps de chargement lors d'une mission son inexistant, et cerise sur le gâteau, le doublage tout en Français des personnages (malgré leur langage à base d'insultes) procure une immersion totale : c'est du bon boulot !<o:p></o:p>

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    Parlons du jeu en lui-même. Peu habitué a ce genre de jeu, je dois reconnaître qu'il m'a fallut un certain temps d'adaptation pour arriver à réaliser toutes les actions que je voulais. Dès le départ, une sensation de lourdeur et de lenteur des mouvements du personnage s'avère particulièrement gênante. Mais bon à la longue on s'y fait. Les missions sont simples et consistent le plus souvent à traverser des zones et à faire face a l'opposition, plus ou moins coriace, ennemie. Moi qui suis nul, j'ai réussis à finir le jeu sans trop de prise de tête (en niveau facile hein ! éhéh) Il est important de remarquer que le mode "campagne" (jeu en solo) est plutôt court, bien moins d'une dizaine d'heure pour les débutants et moins de cinq pour les pros ! C'est très peu...<o:p></o:p>

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    Mais comme tout bon FPS qui se respecte, l'intérêt de Killzone 2 ne réside pas dans son mode solo mais évidement dans son mode multi-joueurs en ligne, qui permet de vous affronter à tous les apprentis tueur en série du monde entier, dans des arènes ou la violence gratuite et une religion. On y arrive... Voila ce qui me gène dans ce genre de production. Certes sur le plan du jeu en lui-même il n'y a rien à redire, tout fonctionne très bien, mais au point de vu moral je trouve ça limite. Prendre du plaisir à exploser les autres dans un déluge de sang, je ne trouve pas ça très sain. Il suffit d'écouter les dialogues micro entre les participants pour voir que durant les parties, les "joueurs" se transforment pour la plupart en bête (l'autre jour je suis tombé sur un gars avec l'accent du nord, et je peux vous dire que son langage était très ... fleuris... il a prit des nouvelles des mères de tous les autres joueurs, enfin je vous fais pas un dessin...) <o:p></o:p>

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    Pour faire court sur Killzone 2 : Très bonne création technique, mais jeu très néfaste sur l'impact qu'il peu avoir chez certain. Oui je sais, sur la pochette il est écrit "interdit au moins de 18 ans" Honnêtement vous pensez que ça suffit à dissuader les gamer ? Non ! On sait pertinemment qui le cœur de cible de ce genre de produit sont les 14 – 18 ans justement, et franchement il y a de quoi se poser des questions. Le résultat sera et est déjà dévastateur auprès des jeunes joueurs qui emmagasine toute cette violence et l'intègre comme un élément comportemental banal et normal. En d'autre terme, ce type de jeu "fabrique" sans le vouloir, des individus avec un seuil d'acceptation de la violence très élevé et une perception du danger et de la valeur des vie humaine tronquée par des code de conduite virtuel en total opposition avec la moralité : Il y a vraiment de quoi s'inquiéter quant au comportement des prochaines générations, élevée avec de tels critère "d'amusement"... Ca craint vraiment. Pour moi le jeu s'arrête, la ou la violence malsaine commence, et Killzone, ainsi que les autres FPS d'ailleurs, ont allégrement franchi cette limite...<o:p></o:p>

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    Graphisme : 19 /20<o:p></o:p>

    Très Beau, très riche, vraiment réussis et ultra immersif.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 16 /20<o:p></o:p>

    Il n'y en a pas vraiment de musique en fait, le tout est très "guerrier" Par contre l'ambiance sonore est magnifique, on s'y croirait.<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 19 /20<o:p></o:p>

    Ca sent la grosse production, rien ne cloche et c'est bon ça !<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 15 /20<o:p></o:p>

    Maniabilité un peu lourde, il faut le temps de s'y faire mais au final tout répond bien. Les seules variantes de gameplay résideront dans le fait de choisir avec quelle arme vous truciderai votre ennemi…<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 15 /20 <o:p></o:p>

    Ridicule en mode solo, même si le mode multi rattrape le tout, une aventure plus longue n’aurait pas était superflue.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>

    Scénario : "Allons butter tous des ses enfoirés d'Helgasts"... (Extrait du jeu) La mise en scène est quant a elle réussie.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 15 /20<o:p></o:p>

    Hors mis une grosse débauche technique pas d'innovation majeures. En ce qui concerne le plaisir de jeu, on aime ou on n'aime pas, je vous laisse seul juge…<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 16.6 /20

     


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    Princesse Mononoké<o:p></o:p>

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    Titre original : Mononoke Hime<o:p></o:p>

    Réalisateur : Hayao Miyazaki<o:p></o:p>

    Musique : Joe Hisaishi<o:p></o:p>

    Année : 1997<o:p></o:p>

    Durée : 2h 10mn


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    Blessé par un sanglier rendu fou par les démons, le jeune prince guerrier Ashitaka doit quitter les siens et partir a la recherche du dieu-cerf qui, seul, pourra défaire le sortilège. Au cours de son voyage, Ashitaka rencontre Dame Eboshi, femme à poigne à la tête d'une communauté de forgerons, qui doit se défendre contre ceux qui lui reproche de détruire la forêt pour alimenter ses forges. Parmi ses pires ennemis se trouve San, une jeune fille sauvage élevée par les loups, aussi appelée "Princesse Mononoké"... La princesse des spectres.<o:p></o:p>

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    Profitant d'un décors rendu somptueux par les magicien de Ghibli ; Le japon du 16ème siècle, "Princesse Mononoké" est un véritable concentré de tout ce que maitre Miyazaki a à cœur : Une nature extrêmement présente et au cœur des débats, des "gentils" très loin des standards, des "méchants" multi-facette, le tout enrobé dans un déluge de sentiment a la fois forts et complexes. Emerveillement garantie !<o:p></o:p>

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    Une fois de plus la dream team des studios Ghibli a fait des merveilles : la formule de la réussite pourrait se résumer a quelque chose comme ça : Miyazaki + Hisaishi + Suzuki (producteur) = Chef d'œuvre... Un de plus, et pas le dernier !<o:p></o:p>

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    8 commentaires
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    THE LEGEND OF ZELDA<o:p></o:p>

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    Console : Nintendo Entertainment System (NES)<o:p></o:p>

    Développeur : Nintendo<o:p></o:p>

    Année : 1987<o:p></o:p>

    Genre : Aventure


    Il est des jeux qui vous marquent a vie, des jeux qui ont fait votre éducation videoludique, des jeux, qui, sans vous en rendre compte, aurons a jamais changé votre conception du gaming et du diversement en général... il est un jeu : The Legend of Zelda, tout simplement.<o:p></o:p>

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    Dans mon apprentissage du jeu vidéo, il y eu d'abord Mario, puis tout de suite après, Zelda. Reçu sans savoir a quoi m'attendre, je compris dès les premières minutes de jeu que l'aventure serait longue et surtout passionnante. Comment dire, vous savez cette impression que l'on a lorsque que chaque nouvelle action est une découverte. Et bien voila ce que je ressentais en voyageant dans le tout premier Hyrule du nom... Magique.<o:p></o:p>

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    Très rapidement nous somme mis dans l'action, pourtant une difficulté majeur s'offre a nous : Le jeu est en Anglais (et oui les joueurs d'aujourd'hui n'ont pas connu ça, mais ce n'est que depuis peu que les jeux sont traduis en Français) Je ne vous cache pas que je ne comprenais rien a ce qui se passait et oui, quant on a une dizaine d'année, on ne maitrise pas bien la langue de Shakespeare... Fort heureusement, Nintendo avait pansé à tout et une sorte de guide de traduction était fournis avec le jeu : Bien vu !<o:p></o:p>

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    Cette fois on y est, après avoir récupéré son épée, nous voila en quête du premier donjon (moment historique, quant on sait les nombreux autres qui vont lui succéder par la suite dans toute la saga !) La plupart des éléments qui vont devenir récurant à la série sont déjà la : les portes verrouillées, les clés, les interrupteurs, l'objet ou l'arme à découvrir et le réceptacle de cœur en cadeau de fin de niveau... Le Schéma est toujours le même : Progresser pour atteindre un boss toujours plus fort que le précédant et demandant une technique ou une arme particulière pour l'abattre... Serait ce la les ingrédients de la formule magique mise aux point par Miyamoto ? ... Au vu de la dynastie dont ce premier Zelda est l'ainé, aucuns doutes a avoir la dessus.<o:p></o:p>

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    Pour la première fois, un personnage dispose d'un véritable arsenal d'arme et d'objets. Boumerang, arc, bouclier et différentes épées sont déjà la. Mais Link a également dans son sac des objets plus singuliers tels que les bougies, échelle et autre radeau permettant d'accéder à des lieux jusqu'à lors hors de portée. Ah, je me souviens de ce réceptacle de cœur visible dès le début du jeu mais inaccessible. Quel questionnement ! J'ai tout tenté, la flute le boumerang, sans succès... Jusqu'au jour où j'ai comprit l'intérêt de l'échelle. Je sais, aujourd'hui cela fait sourire, mais a l'époque nous découvrions tout, même des mécanismes aujourd'hui basiques, étaient totalement novateur. Emerveillement permanant.<o:p></o:p>

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    Ce premier Zelda offre un challenge a la hauteur de la durée de vie, tout en restant accessible à tous les joueurs. La difficulté va croissante et bénéficie d'un dosage parfait. Pour progresser dans le vaste monde, Link doit d'affranchir de la découverte des nouveaux idem, qui lui permettrons d'en découvrir de nouveaux, et ainsi de suite jusqu'à l'aboutissement de la quête : Le premier face a face avec Ganon, auteur de sa première tentative d'enlèvement sur notre chère princesse Zelda. Quelle tension de se retrouver devant l'ultime épreuve d'une aventure qui nous a tenu en haleine des dizaine (pour pas dire des centaines) d'heures. Incroyable souvenir.<o:p></o:p>

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    Outre la quête en elle-même, The Legend of Zelda dispose d'une aura particulière, d'une magie qui vous envoute et qui vous traine presque de force sur les pistes d'Hyrule. Graphiquement très belle, l'ambiance générale est exceptionnelle et le fameux thème musical crée par Kôji Kondo y est pour beaucoup... Hum, douce mélodie à jamais inscrite en moi, hymne divin et eternel, symbole d'une passion nouvelle et inextinguible... Merci !<o:p></o:p>

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    Parler d'un Zelda, et qui plus est du premier, c'est évoquer directement a l'histoire du jeu vidéo et  notre patrimoine de gamer. Plus qu'un jeu c'est un mythe, pierre fondatrice d'un empire de créativité, d'innovation et surtout de plaisir de jeu. Vous l'aurez comprit, Ce jeu tient une place particulière dans mon cœur (et je ne pense pas être le seul) Pendant des années, lorsqu'on me demandait quel type de jeu je préférais, je répondais fièrement "les jeux d'aventure"... Je me méprenais, en réalité ce sont les Zelda que j'aimais, et que je j'aime toujours.<o:p></o:p>

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    Graphisme : 18 /20<o:p></o:p>

    Une réussite, sa richesse en fait l'un des plus beaux jeux NES.<o:p></o:p>

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    Musique et son : 19 /20<o:p></o:p>

    Les musiques sont plus que marquantes : Elles sont éternelles ! Tout comme les bruitages qui n’en finissent pas d’être remixés et réutilisés dans les nouvelles versions de la licence.<o:p></o:p>

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    Réalisation et Animation : 18 /20<o:p></o:p>

    Malgré quelques petits bugs d'affichage (Comme tous les jeux NES) L’ensemble frise la perfection pour un jeu 8 bits.<o:p></o:p>

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    Jouabilité et gameplay : 20 /20<o:p></o:p>

    The legend of Zelda a tout simplement inventé la notion de gameplay ! Tout simplement du jamais vu a l’époque.<o:p></o:p>

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    Durée de Vie : 18 /20 <o:p></o:p>

    Faramineuse ! C'est le premier jeu de l’histoire a disposé d'une pile de sauvegarde, qui permettait de reprendre la partie ou vous l’aviez laissée.<o:p></o:p>

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    Scénario et mise en scène : 17 /20<o:p></o:p>

    Scénario classique, mais le cheminement des événements et bien orchestré.<o:p></o:p>

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    Originalité et Fun : 20 /20<o:p></o:p>

    Révolutionnaire pour l'époque, Zelda est le premier d'un genre nouveau. Pour la première fois nous somme immergé dans un jeu, à la limite de l’addiction.<o:p></o:p>

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    NOTE FINALE : 18.4 /20


     

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